101 episodios

Tous les matins, le journaliste Thomas Sotto, du lundi au jeudi, et ses confrères, Jeff Wittenberg ou Guillaume Daret, le vendredi, interviewent en direct pendant dix minutes une personnalité de la vie politique, sociale, économique ou culturelle, sur l'actualité du jour. Un entretien quotidien, inclus dans l'émission Télématin, sur France 2.

Les 4 Vérités France Télévisions

    • Noticias

Tous les matins, le journaliste Thomas Sotto, du lundi au jeudi, et ses confrères, Jeff Wittenberg ou Guillaume Daret, le vendredi, interviewent en direct pendant dix minutes une personnalité de la vie politique, sociale, économique ou culturelle, sur l'actualité du jour. Un entretien quotidien, inclus dans l'émission Télématin, sur France 2.

    Le candidat qui veut changer d'Europe... Pierre Larrouturou est l'invité des 4V du 27 avril 2024

    Le candidat qui veut changer d'Europe... Pierre Larrouturou est l'invité des 4V du 27 avril 2024

    • 8 min
    Défense : la nouvelle priorité européenne - Sébastien Lecornu est l'invité des 4V du 26 avril 2024

    Défense : la nouvelle priorité européenne - Sébastien Lecornu est l'invité des 4V du 26 avril 2024

    « Notre Europe est mortelle » : c’est l’une des phrases chocs retenues lors du discours d’Emmanuel Macron à La Sorbonne ce jeudi 25 avril 2024. Invité à prendre la parole sur l’Europe, le président de la République a évoqué à plusieurs reprises la « puissance européenne » qui passe selon lui par un effort sur la défense et les crédits militaires. Est-ce donc l’antidote pour sauver l’Europe du péril ? Pour Sébastien Lecornu, ministre des Armées, les multiples conflits actuels justifient une telle prise de position, aussi alarmiste qu’elle soit. « Les risques d’insécurité sont bien là avec tous les défis que nous posent la Russie, l’Iran, les proliférations nucléaires, le terrorisme qui n’a pas disparu, les contestations d’espaces nouveaux, les fonds sous-marins, la militarisation de l’espace, les menaces cyber… On vit une époque objectivement qui n’est pas que romantique » constate notre invité. Longtemps déléguée à Washington, l’Europe doit à présent reprendre la main sur sa capacité de défense et s’émanciper progressivement de sa dépendance internationale pour consolider la souveraineté et l’autonomie du territoire. C’est certainement l'une des premières leçons que les gouvernement européens respectifs peuvent tirer de la guerre en Ukraine. Tous ou presque ont compris l’importance de produire en quantité malgré les réticences de la commission européenne qui a pendant longtemps freiné des quatre fers le financement des industries de défense. Aujourd’hui, les institutions européennes ont décidé de soutenir le développement de ces industries parfois stigmatisées en les finançant, en accompagnant les investissements en matière de production et d’innovation. « Les grands programmes européens entre nations créent de la valeur, de l’emploi et ça permet de résister au choc des compétitions internationales » défend le ministre des Armées.

    Dans ce jeu d’échec grandeur nature et malgré les alertes d’Emmanuel Macron, qui appelle à la préférence européenne, certains pays à l’instar de nos voisins allemands continuent d’acheter du matériel aux États-Unis. En effet, leur projet de bouclier anti-missile sera difficilement estampillé européen bien que la France n’y ait pas totalement renoncé. Emmanuel Macron est-il condamné à faire cavalier seul ? Pour Sébastien Lecornu, c’est avant tout un vieux réflexe protectionniste : « Beaucoup de capitales européennes […] sont dans la promesse que Washington viendra les protéger y compris avec un non-dit de ces opinions publiques là qu’est le parapluie nucléaire américain » explique notre invité. Pourtant, il soutient le modèle de dissuasion nucléaire européen qui est « complètement autonome ». Dans son allocution à la Sorbonne, Emmanuel Macron a donné quelques détails sur cette future défense européenne avec notamment la création d’une prochaine académie militaire. Le chef d'État français a également évoqué la cyber défense et a parlé d’une force de réaction rapide qui pourrait se constituer et atteindre 5000 hommes. « C’est un sujet clé et sur lequel je souhaiterais qu’on puisse aboutir dès l’année prochaine en étant très réactif. Il y a beaucoup de crises sur lesquelles l’OTAN n’est pas compétente et sur lesquelles la France mène souvent des opérations seules comme les exactions de nos ressortissants dans des pays qui sont en crise […] ce partage là a du prix et de la valeur. C’est du pragmatisme. Cette force la permet de faire de la mise en sécurité des ressortissants européens, on doit pouvoir la mettre en place très rapidement » affirme le ministre.



    Européenne : le RN creuse le fossé



    Malgré de nombreuses dissonances avec l’Allemagne du point de vue de la défense, Sébastien Lecornu s’apprête à signer avec son homologue allemand un accord sur le char du futur, un véhi

    • 9 min
    Le programme du RN pour les européennes - Jordan Bardella est l'invité du 25 avril 2024

    Le programme du RN pour les européennes - Jordan Bardella est l'invité du 25 avril 2024

    Jordan Bardella, le président du parti d’extrême-droite fondé par Marine Le Pen, revient sur les propos qu’il a tenu dans le Journal du Dimanche ce weekend : « ma plus grande peur, c’est de décevoir ». Il explique cette phrase sur le plateau de Télématin, indiquant qu’il est « conscient de l’imminente responsabilité qui pèse sur ses épaules » en tant que chef d’un parti qui pourrait arriver au pouvoir dans les prochaines années ; rappelant que « la politique, c’est aussi des sentiments, on reste des hommes et des femmes comme tout le monde ».

    Le président de la République va tenir aujourd’hui un discours à la Sorbonne sur le thème de l’Europe, discours où le président du Rassemblement national a indiqué, au micro de Thomas Sotto, ne pas se rendre. Il estime l’invitation d’Emmanuel Macron « provocatrice » puisqu’il le considère comme son grand adversaire politique et quelqu’un qui se fiche de l’Europe : « je pense qu’Emmanuel Macron sera le seul à se réjouir s’il y a des abstentions le 9 juin ». Pour son propre programme dans la campagne des élections européennes, Jordan Bardella annonce son intention de résister au pacte vert (qui vise à interdire les moteurs thermiques d’ici 2035) qui pèserait, selon lui, trop lourd sur le pouvoir d’achat, ainsi que protéger le continent d’une concurrence internationale qu’il estime « déloyale », et insister sur plus de patriotisme économique en France.

    Un programme antisocial

    Autre sujet au cœur du programme du Rassemblement national : l’immigration. L’homme politique avoue avoir retiré Saidali Boina Hamissi, le délégué départemental de Marine Le Pen à Mayotte, de sa liste aux élections européennes. La cause ? Des déclarations précédemment faites par ce dernier mettant mal à l’aise les représentants de l’extrême-droite. Il a notamment qualifié les migrants comoriens de « vermines », tenu des propos complotistes sur la pandémie de coronavirus, fait l’éloge de Vladimir Poutine, et parlé de « soumission de la femme ».

    Il soutient à l’inverse la candidature de Fabrice Leggeri, ancien patron de Frontex, et accusé de crimes contre l’humanité par diverses associations. Jordan Bardella défend son collaborateur et s’estime fier de son travail fait « au service de la France » de renvoyer des migrants clandestins dans leurs pays d’origine. Pour lui, les ONG qui combattent les positions anti-immigrationnistes prônées par le RN sont « complices du trafic d’être humains ». Il indique également souhaiter que les demandes d’asile soient traitées dans les pays d’origine, et non sur le sol français.

    Autre sujet dans les préoccupations du jeune leader d’extrême-droite : la gestation pour autrui. Sur la plateau de France 2, il s’annonce « opposé » à ce droit, considérant qu’il « participe à une logique de marchandisation du corps des femmes ». Rappelons que la GPA reste interdite en France. Questionné à propos de la mise en examen de Mathilde Panot pour apologie du terrorisme, Jordan Bardella estime que les propos tenus par des représentants de la France insoumise « fleurtent avec les communautarismes les plus hostiles à notre civilisation ». Enfin, le « retour à l’autorité » proclamé par le gouvernement n’est pas assez « ferme » pour le conseiller régional d'Île-de-France, qui veut retirer les allocations familiales des ménages avec des enfants délinquants, et « responsabiliser les parents face à la violence et l’ensauvagement ». Il se dit favorable à un couvre-feu généralisé pour les mineurs.

    • 12 min
    Espionnage et ingérence étrangère au Parlement européen - Raphaël Glucksmann est l'invité du mercredi 24 avril

    Espionnage et ingérence étrangère au Parlement européen - Raphaël Glucksmann est l'invité du mercredi 24 avril

    Jian Guo, un assistant parlementaire de l’eurodéputé allemand et tête de liste pour le parti d’extrême droite AfD Maximilian Krah, a été arrêté hier, mardi 23 avril, pour des soupçons d’espionnage pour la Chine. Après la Russie et le Qatar, le parlement européen serait-il une nouvelle fois victime d’ingérence étrangère ? Raphaël Glucksmann, tête de liste du parti de centre-gauche Place Publique pour les élections européennes, estime l’affaire grave, mais pas étonnante. Selon lui, nos démocraties seraient trop naïves et laisseraient la porte ouverte à des espions étrangers. Il exhorte nos gouvernements européens à « cesser de se comporter comme des serpillères » et à « se donner les moyens de lutter contre ces ingérences étrangères ». Il estime la récente affaire de l’assistant de Maximilian Krah comme un cas de trahison de l’extrême-droite et une preuve de leur patriotisme « de pacotille ».

    Toujours au sujet de l’espionnage par des régimes autoritaires comme la Chine et la Russie, l’ancien journaliste estime l’application Tik Tok un grave danger pour nos démocraties et notre jeunesse. Il affirme : « on a un problème Tik Tok, il faut oser le dire ». L’application chinoise est en effet soupçonnée de vendre les données de ses utilisateurs au Parti Communiste Chinois, ce qui explique selon l’invité des 4 vérités pourquoi les fonctionnaires européens n’ont pas le droit d’utiliser l’application. « Pourquoi les citoyens sont-ils laissés sans aucune protection ? », interroge-t-il. Il invite à enquêter sur les pratiques des gérants de Tik Tok, et à bannir l’application si « les réponses ne sont pas satisfaisantes ». Questionné à propos de la campagne de désinformation imputée à la Chine dont il est lui-même victime sur les réseaux sociaux, Raphaël Glucksmann s’enorgueillit d’être traité comme l’ennemi d’un régime qu’il combat et dont il dénonce notamment le traitement de la communauté ouïghour.

    La gauche et le projet européen

    Que dire de la fracture de la gauche française depuis l’attaque du Hamas à Gaza le 7 octobre dernier ? Alors que les membres de la France insoumise soutiennent la cause palestinienne, d’autres représentants des différents partis de gauche ne veulent rien céder à une organisation terroriste. Mathilde Panot, porte-parole de LFI, a notamment été convoquée par la police pour apologie du terroisme. Pour le mari de Léa Salamé, cette enquête de police questionne notre démocratie et l’importance du pluralisme dans le débat politique, bien qu’il réitère sa condamnation des prises de position du parti mélenchoniste. Il estime que leur défense du Hamas est une « faute politique » pour ne pas avoir qualifié un groupe terroriste de terroriste, mais qu’il ne s’agissait en aucun cas d’une apologie.

    Demain, jeudi 25 avril, Emmanuel Macron donnera son discours sur l’Europe à la Sorbonne. Une date malheureuse pour les eurodéputés, pourtant conviés à l’événement, qui tombe au même moment que les derniers votes de la session parlementaire. Raphaël Glucksmann indique au micro de Télématin qu’il fera partie de ceux qui seront à Strasbourg plutôt que sur les bancs de l’université. Il concède au Président un seul succès au sujet de l’Europe : la mutualisation des dettes pendant la pandémie. Mais il estime qu’entre les 7 ans qui séparent ses deux discours, il y a eu beaucoup de déceptions, notamment un mépris des luttes sociales par Macron au profit d’intérêts privés. À l'inverse, Glucksmann défend sa vision d’une Europe comme puissance géopolitique, puissance solidaire et puissance de transformation écologique, dans le but de ressusciter une « gauche humaniste » dont il entend bien se faire le porte-étendard.

    • 10 min
    La lutte contre la délinquance juvénile - Sabrina Agresti-Roubache est l'invitée du 23 avril 2024

    La lutte contre la délinquance juvénile - Sabrina Agresti-Roubache est l'invitée du 23 avril 2024

    Jeudi 18 avril, au centième jour de ses fonctions, le Premier ministre Gabriel Attal était en déplacement à Viry-Châtillon, pour tenir un discours sur la violence chez les mineurs. C’est dans cette ville de l’Essonne, non loin de la capitale, que Shemseddine, un adolescent de 15 ans, a été assassiné par des membres d’une bande rivale, à quelques mètres seulement de son établissement scolaire. Le Premier ministre a annoncé des mesures répressives fortes pour lutter contre la délinquance chez les jeunes, en cherchant à les responsabiliser et à remettre en cause leur éducation : « la culture de l’excuse, c’est fini », annonçait-il. Ce discours prenait place à peine deux jours après un autre meutre, celui de Philippe, 22 ans, à Grande-Synthe (Nord). Pour l’exécutif, le constat est clair : il faut prioriser la lutte contre la violence chez les jeunes.

    Face aux mesures prônant un retour à l’autorité et à la laïcité annoncées Gabriel Attal, Sabrina Agresti-Roubache réitère au micro de Thomas Sotto la volonté affichée par le gouvernement. Elle indique vouloir « rétablir cette stratégie de prévention contre la délinquance », en incitant notamment les parents à « reprendre confiance en eux ». Il est clair pour elle que les parents ont perdu en autorité face à leurs adolescents, et rappelle que ces derniers « n’ont pas de vie privée », estimant normal qu’un parent fouille la chambre ou le téléphone portable de sa progéniture.

    Deuxième cause de l’augmentation de la violence chez les jeunes selon l’ancienne députée des Bouches-du-Rhône : les réseaux sociaux. Inflexible, elle affirme : « les réseaux sociaux sont une arme de destruction massive de notre jeunesse ». Elle précise travailler sur plus de régulation sur internet, rappelant la prise de position du gouvernement en juillet dernier avec la loi plaçant la majorité numérique à 15 ans pour protéger les enfants et lutter contre la haine en ligne. Malgré son travail et ses ambitions, elle avoue à demi-mot « la puissance publique ne peut pas tout », enjoignant donc les parents et les membres du personnel éducatif à prendre leurs responsabilités dans cette lutte contre les dérives de la jeunesse.

    Des mesures autoritaires ?

    Pourtant, l’exécutif pourrait imposer des règles, comme à Béziers, où le maire Robert Ménard propose de mettre en place un couvre-feu à partir de 23 heures pour les jeunes non accompagnés de moins de 13 ans. Pour Sabrina Agresti-Roubache, il s’agit encore d’une interdiction qui devrait être portée par les parents, rappelant qu’un mineur « n’a pas à être seul la nuit dehors ». Le service militaire ? Pas une solution non plus, pour la femme politique.

    Questionnée sur son manque d’action et sa concentration sur le débat plus que sur des mesures concrètes, la secrétaire d’État se défend en rappelant son engagement pour créer plus d’EPIDE, des établissement pour aider les jeunes en décrochement de 18 à 25 à s’insérer sur le marché du travail, et sa lutte pour donner le statut de repentie aux mères « nourrices », forcées par des malfrats à stocker de la drogue. Des prises de positions pouvant sembler aux périphéries des problèmes imputant à l’Éducation Nationale : la femme politique se justifie en disant qu’elle regarde à 10 voire 15 ans dans le futur, expliquant la difficulté face à laquelle le pouvoir est confronté dans cette lutte.

    • 9 min
    Violences chez les mineurs, groupe de niveau, élection européennes... Nicole Belloubet est l'invitée du 22 avril 2024

    Violences chez les mineurs, groupe de niveau, élection européennes... Nicole Belloubet est l'invitée du 22 avril 2024

    En France, les faits de violences chez les mineurs se multiplient. Et le milieu scolaire est particulièrement touché. Dans ce cadre, le Premier ministre a annoncé, lors d’un déplacement à Viry-Châtillon, où le jeune Shemseddine, 15 ans, est mort après avoir été battu à la sortie de son collège, une série de mesures juridiques et éducatives afin de restaurer l’autorité. « Nous avons la volonté de constituer un bouclier autour de l’école. Et cela se traduit réellement sur la sécurisation physique des établissements », réagit Nicole Belloubet, invitée des 4 Vérités, lundi 22 avril 2024, sur France 2. « Nous prenons responsabilités, assure la ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse, assurant qu’il en était fini du « pas de vague ». « Nous sommes en marche pour répondre à cette absence de pas de vague. Derrière, il faut suivre les situations difficiles, c’est ce que nous faisons », souligne-t-elle. Dans son discours, Gabriel Attal a notamment évoqué le cas des élèves perturbateurs, évoquant notamment une série de sanctions. « La réponse est à plusieurs niveaux. (…) L’école répond par la prise en charge spécifique de ces élèves », estime l’ancienne garde des Sceaux. Gabriel Attal est attendu ce lundi 22 avril à Nice pour évoquer notamment la question des internats éducatifs. Ces établissements concernent les élèves repérés comme étant « hautement perturbateurs » et les prennent en charge « pendant les vacances scolaires, avec un encadrement scolaire presque militaire ». Un autre dispositif est également prévu par l’Education nationale. Pour l’heure ce dispositif repose sur le volontariat. Les mesures annoncées par le Premier ministre doivent être débattues lors d’une concertation dans les huit prochaines semaines.

    Le Premier ministre a, par ailleurs, confirmé, la formation de groupes de niveaux au collège, dès la rentrée de septembre. « Ma volonté c’est de faire réussir tous les élèves. C’est le seul objet de l’école, je ne suis à la tête de ce ministère que pour cela », affirme Nicole Belloubet. « Nous avons pensé qu’en sixième et en cinquième nous pouvions apporter plus de soutien à l’ensemble des élèves. (…) Nous mettons en place des groupes de besoin qui vont prendre en charge ces élèves », ajoute la ministre, qui refuse le « tri social ». De leur côté, les syndicats enseignants veulent faire annuler cette mesure devant le Conseil d’Etat. « Nous verrons ce que dit le conseil d’Etat. Mais ce qui importe, c’est le soutien que nous pouvons apporter aux élèves ».

    Groupe de niveau : les recours devant le Conseil d’Etat

    Face à la crise de recrutement au sein de l’Education nationale, le président de la République a annoncé que le concours des enseignants se passera désormais à la fin de la licence (bac+3), et non plus après un master (bac+5). « Notre idée est de donner une trajectoire d’excellence aux jeunes qui veulent être professeurs. Aucun enseignant n’exercera avant le master, mais pendant ces deux années, ils seront en stage ou en responsabilité devant les élèves », explique la ministre.

    A sept semaines du scrutin des élections européennes, le Front national, porté par Jordan Bardella caracole toujours en tête des sondages et paraît intouchable. De son côté, la macroniste Valérie Hayer, lancée en mars par la majorité, ne parvient pas à inverser la tendance. « L’Europe est une ambition, un besoin, une nécessité », martèle Nicole Belloubet.

    • 8 min

Top podcasts en Noticias

Noticias Quimera
Noticias Quimera
Carlos Pagni en Odisea Argentina
LA NACION
Lo que hay que saber
LA NACION
The Daily
The New York Times
La Estrategia del Día Argentina
Bloomberg Línea
Oppenheimer
CNN en Español

También te podría interesar

BFM Politique
BFMTV
Le Grand Jury
RTL
Face à Face
RMC
La Grande interview Europe 1 - CNews
Europe 1
Les invités de RTL
RTL
Le grand rendez-vous
Europe 1

Más de France Télévisions

La Grande Librairie
France Télévisions
C dans l'air
France Télévisions
Méta Media france tv
France Télévisions
Au comptoir de l'info
France Télévisions
Plus belle la vie
France Télévisions
Un si grand soleil : le podcast
France Télévisions