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Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.

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Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.

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    J-8 : tic tac et tactique - L'intégrale

    J-8 : tic tac et tactique - L'intégrale

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    C dans l'air du 22 juin - J-8 : tic tac et tactique

    A huit jours du premier tour des élections législatives anticipées, la campagne se poursuit.
    Sous le feu des critiques des oppositions, mais aussi de figures de son propre camp pour après avoir dissous l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron balaie l’hypothèse d’une démission en cas de victoire du Rassemblement national. Mais si le président de la République se veut catégorique, ce n'est pas l'avis de Marine Le Pen. La députée sortante et cheffe de file du parti a en effet affirmé hier, en marge d’un déplacement à Courrières, dans le Pas-de-Calais, qu’il ne resterait pas d’autre choix au chef de l'Etat pour sortir potentiellement d’une crise politique.


    Alors que le RN adopte depuis des années une stratégie de normalisation pour conquérir le pouvoir, le profil de nombreux candidats du parti d'extrême droite pose question. Investis et soutenus par le Rassemblement national, certains défendent des positions bien plus extrémistes que celles affichées par le président du parti, Jordan Bardella.
    Propos antisémites et racistes, discours complotistes ou soutien au Kremlin, les casseroles sont nombreuses. Ainsi Françoise Billaud rend hommage à Philippe Pétain, ou Frédéric Boccaletti, député sortant et réinvesti, est le fondateur d’une librairie spécialisée dans les ouvrages antisémites et négationnistes. Le parti a également investi des militants ayant un passé documenté au sein de groupes violents, identitaires ou proches des milieux néonazis.


    La campagne a été percutée mercredi par une actualité sordide. L'agression antisémite et le viol d'une enfant à Courbevoie a saisi le pays d'effroi. Les membres de la communauté juive s'interrogent. Certains réfléchissent à voter pour le RN. L'historien rescapé de la Shoah, Serge Klarsfeld, a ainsi affirmé sur LCI samedi dernier qu'il n'aurait « pas d'hésitation » à voter pour l'extrême droite face à un candidat Insoumis au second tour des élections législatives. Selon lui, le parti de Jean-Luc Mélenchon est « résolument antijuif », tandis que le RN « a fait sa mue » et « soutient les juifs ».
    « Si même les juifs se mettent du côté de l'extrême droite, on n'en finira jamais » a réagit Ginette Kolinka, rescapée d'Auschwitz-Birkenau. La question du vivre ensemble sera un facteur déterminant du scrutin.


    L'éventualité de l'arrivée de l'extrême droite aux responsabilités inquiète en France, en Italie c'est une réalité. Deux ans que Georgia Meloni. Sur le plan international, concernant la guerre opposant la Russie à l'Ukraine, elle s'est alignée sur les positions de l'Otan. En matière d’immigration, question centrale pour son camp, elle a dû faire des concessions, sous la pression du patronat et de son besoin de main d'œuvre pour faire tourner l'économie. Sur les questions de société, elle affiche en revanche des positions très conservatrices. Quant à la lutte contre la pauvreté, la suppression des minimas sociaux a fait de très nombreux perdants. Les anciens bénéficiaires se retrouvent ainsi bien souvent dans des situations encore plus précaires qu'avant l'arrivée aux affaires de l'extrême droite.


    Le Rassemblement national a-t-il vraiment changé ? Comment retrouver la voie d'une société apaisée ? Quel est le bilan de l'extrême droite au pouvoir en Italie ?

    LES EXPERTS :
    - Bernard SANANES - Politologue – Président de l’institut de sondages Elabe
    - Mathilde SIRAUD - Journaliste politique – « Le Point »
    - Lou FRITEL - Journaliste politique - “Paris Match”
    - Richard WERLY - Correspondant en France du site d'information suisse Blick
    - en skype de Rome/ Bruno DUVIC - Correspondant de Radio France à Rome

    • 1 hr 11 min
    Charles Sapin - L'Europe vire-t-elle à l'extrême droite?

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    C dans l'air l'invité du 21 juin - Charles Sapin, reporter pour Le Point, auteur de “Les moissons de la colère”.

    La montée annoncée de l’extrême droite s’est confirmée dans les urnes à l’issue des élections européennes, qui se sont déroulées du 6 au 9 juin dans les 27 Etats membres de l’Union européenne. Différents partis eurosceptiques, nationalistes, anti-immigration ou néofascistes ont envoyé d’imposants contingents d’eurodéputés dans plusieurs grands pays d’Europe, comme la France, l’Italie et la Pologne. Selon les estimations, plus de 180 élus d’extrême droite devraient faire leur entrée au Parlement européen.


    L’extrême droite arrive en tête dans deux pays, la France et l’Autriche, et progresse dans la majorité des Etats membres de l’Union européenne par rapport au scrutin de 2019. La seule exception notable réside dans les pays de la Baltique, ce qui peut s’expliquer en partie par une plus forte sensibilité à la menace expansionniste russe. Dans de rares cas, comme en Finlande, le vote eurosceptique a même reculé.


    Charles Sapin, reporter pour Le Point, a couvert les partis nationalistes en France pour Le Figaro. Il est l’auteur de "Les moissons de la colère – plongée dans l’Europe nationaliste", aux éditions du Cerf. Il reviendra sur la poussée de l’extrême droite en Europe à l’issue des élections européennes.

    • 10 min
    Macron, la dissolution et les "cloportes" - Vos questions sms -

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    C dans l'air du 21 juin - Macron, la dissolution et les "cloportes"

    LES EXPERTS :
    - Fabrice LHOMME - Grand reporter au Monde, co- auteur avec Gérard Davet du livre intitulé Le traître et le néant, publié aux éditions Fayard
    - Caroline VIGOUREUX - Journaliste politique à La Tribune Dimanche
    - Gaël SLIMAN - Président et cofondateur de l’Institut de sondages Odoxa
    - Yves THRÉARD - Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction du Figaro

    • 2 min
    Macron, la dissolution et les "cloportes" - L'intégrale

    Macron, la dissolution et les "cloportes" - L'intégrale

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    C dans l'air du 21 juin - Macron, la dissolution et les "cloportes"

    Le premier tour des élections législatives est dans neuf jours, mais déjà dans le camp de la majorité présidentielle, les remises en question et les règlements de compte ont commencé. La décision d'Emmanuel Macron de prononcer la dissolution de l'Assemblée nationale au soir des élections européennes y est toujours incomprise ou critiquée, et sur le terrain, les candidats sont nombreux à faire campagne sans la photo du chef de l’Etat sur leurs tracts et affiches. A commencer par le Premier ministre Gabriel Attal, qui entend "porter cette campagne" des législatives seul.


    Une prise de distance dont ne se cachent plus également plusieurs poids lourds du camp d'Emmanuel Macron comme Edouard Philippe. L’ancien Premier ministre a estimé jeudi soir sur TF1 que le chef de l’Etat "a pris sa décision seul, souveraine. On peut parfaitement s'interroger pour savoir si c'est une décision opportune ou inopportune […] Je sais ce que j'en pense, mais je n'ai pas envie de faire beaucoup de commentaires car l'important est de parler de l'élection qui vient". Précisant qu'il aura "l'occasion de dire" ce qu'il pense du choix présidentiel, le maire du Havre, dont les candidats de son parti, Horizons, ne font pas campagne sous la bannière "Ensemble", a accusé Emmanuel Macron d’avoir "tué la majorité présidentielle. Il l'a dissoute", a-t-il asséné, ajoutant vouloir créer "une nouvelle majorité parlementaire qui fonctionnera sur des bases différentes de l'ancienne majorité présidentielle" sans plus de précisions.


    Interrogé sur TV5 Monde, le ministre de l’Economie Bruno Le Maire s'en est pris pour sa part aux conseillers du président de la République accusés d'être derrière cette dissolution. "Les parquets des ministères et des palais de la République sont pleins de cloportes. Il y a toujours eu des cloportes. Ils sont dans les parquets, dans les rainures des parquets. Il est très difficile de s'en débarrasser. Le mieux est de ne pas les écouter et de rester à sa place qu'on soit président de la République, Premier ministre, ministre et de prendre ses décisions en conscience", a-t-il déclaré.


    Au lendemain de l’annonce de la dissolution, le 10 juin, la présidente de l’Assemblée nationale avait, elle, estimé sur franceinfo qu’il y avait un autre chemin, préférable, "celui de la coalition". Candidate dans les Yvelines à sa réélection, elle a affirmé vouloir redevenir présidente de l'Assemblée nationale, et être favorable à une "coalition républicaine" de partis pour gouverner le pays. De son côté, malgré la défaite de son camp aux européennes, et les prises de distance, Emmanuel Macron croit encore un sursaut du "bloc central" les 30 juin et 7 juillet face à l'alliance de gauche et à l'extrême droite.


    Dans cette dernière ligne droite, la question de la participation s’annonce cruciale alors que le nombre de demandes de procuration explose, plus d’un million ont été enregistrées en dix jours, et les sondages se multiplient. Selon une dernière enquête Ifop-Fiducial, le RN et ses alliés de l'aile LR-Eric Ciotti reculeraient un peu, à 34 % des intentions de vote au premier tour, devant le nouveau Front populaire qui grignote un point à 29 %, et la majorité présidentielle estimée à 22% (+ 2 % ). Une situation qui est scrutée par nos voisins européens mais également la Russie. Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a confirmé la semaine dernière "suivre tout cela avec attention".

    LES EXPERTS :
    - Fabrice LHOMME - Grand reporter au Monde, co- auteur avec Gérard Davet du livre intitulé Le traite et le néant, publié aux éditions Fayard
    - Caroline VIGOUREUX - Journaliste politique à La Tribune Dimanche
    - Gaël SLIMAN - Président et cofondateur de

    • 1 hr 4 min
    Marion Van Renterghemran - Europe: La France déjà affaiblie?

    Marion Van Renterghemran - Europe: La France déjà affaiblie?

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    C dans l'air l'invitée du 20 juin - Marion Van Renterghemran, grand reporter, chroniqueuse à L'Express et auteure de “Le piège Nord Stream”.

    Alors que la France est en pleine campagne législative, l’Europe semble inquiète des conséquences économiques de cette élection. Hier, Bruxelles a ouvert une procédure pour déficit excessif à l’encontre de 7 pays dont la France. Les programmes pour ces législatives sont pour certains coûteux. Jordan Bardella a expliqué qu’il baissera la contribution de la France à l'Europe de 2 milliards et qu’il imposera la baisse de la TVA sur l'énergie.


    Il y a quelques semaines, d’autres pays en Europe ont fait face à une montée de l’extrême droite. En Espagne le parti d'extrême droite a obtenu 7 sièges, le double par rapport à 2019. Aux Pays-Bas, l’extrême droite est en seconde position. En Italie, le parti de Giorgia Meloni est arrivé en tête et a obtenu un meilleur résultat qu’aux législatives de 2022. En Autriche, le parti d'extrême droite est aussi arrivé en 1ère position. Au même titre que la France, l’Allemagne a aussi essuyé une lourde défaite lors de ces élections. La coalition d’Olaf Scholz est arrivée en troisième position, après la droite et l'extrême droite. Pour Marion Van Renterghem, grand reporter, chroniqueuse à L'Express, "l'Europe fait face à un renversement du système démocratique libéral et parlementaire". Selon elle, "la France a déjà perdu de sa puissance dans l'UE, dans le monde et sur les marchés. Elle renvoie l'image d'un pays instable et imprévisible".


    Après des élections européennes qui ont abouti à une crise politique en France suite à un score du RN record et une dissolution de l'Assemblée nationale, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a déclaré suivre la montée des partis d’extrême-droite en Europe "avec attention".

    Marion Van Renterghem reviendra sur les différentes conséquences que pourrait essuyer l’Union européenne après les élections législatives françaises.

    • 10 min
    Programmes : des promesses... et des questions - Vos questions sms

    Programmes : des promesses... et des questions - Vos questions sms

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    C dans l'air du 20 juin - Programmes : des promesses... et des questions

    LES EXPERTS :

    - BRUNO JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche

    - NATHALIE MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale Ebra

    - NICOLAS BOUZOU - Économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès, chroniqueur à L’Express

    - MATHIEU PLANE - Économiste - OFCE - Observatoire Français des Conjonctures Économiques

    • 6 min

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