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L’invitée de Haute Fréquence est Fabienne Konik, associée au sein des équipes Business Consulting d’EY, en charge du Wealth and Asset Management en France.

Altiste au conservatoire, Fabienne Konik se prédestinait à une carrière de musicienne. Mais elle préfère garder cette passion pour elle et s’ouvrir au monde économique et aux enjeux internationaux. Elle réalise ses études à HEC, où elle découvre la finance, puis choisit de travailler dans le conseil en stratégie. Ce métier, qu’elle exerce dix ans, à Londres chez Booz & Company, lui permet de découvrir une grande variété de secteurs, de métiers et de pays et de s’adapter à différentes situations. Ensuite, Fabienne Konik rejoint Coutts, la banque de la famille royale anglaise, où elle apprend à devenir « leader ». Quelques années plus tard, elle se lance dans l’entrepreneuriat, qui lui offre un meilleur équilibre vie pro/vie perso à un moment où elle avait besoin de passer du temps avec ses enfants. Au-delà de cette flexibilité, Fabienne Konik y fait l’expérience de la résilience. Il y a deux ans, elle rejoint EY, à Paris. Parallèlement, grâce à l’aide du cabinet, elle fonde avec d’autres femmes le club Women in Finance, pour accélérer la parité aux postes de direction et emmener les femmes encore plus loin, et plus haut.

Fabienne Konik me parle de la magie des rencontres, de prendre sa place et de réinventer les codes.

Épisode réalisé par Laurence Marchal, journaliste à L’Agefi.

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Delphine Di Pizio-Tiger, responsable monde de la ligne métier gestion d’actifs au sein d’Indosuez Wealth Management, est la nouvelle invitée de Haute Fréquence.

Le cinéma mène aussi à la finance ! Ce sont des films comme Wall Street ou Working Girl qui ont donné envie à Delphine Di Pizio-Tiger de se tourner vers la finance, mais aussi de se réaliser en tant que femme. Après des études à l’université Assas Paris II, où elle obtient un Magistère Banque Finance et un DESS Techniques Bancaires et Financières, Delphine Di Pizio-Tiger postule pour être gérante. Econduite, elle devient finalement sales trader chez Indosuez Carr Future, une société de courtage. Persévérante, la jeune femme garde en tête l’objectif d’être gérante et finit par le devenir en 2004, chez Crédit Agricole Asset Management, qui deviendra par la suite Amundi. De 2008 à 2016, Delphine Di Pizio-Tiger occupe plusieurs postes au sein d’Amundi avant de devenir responsable de la Gestion Epargne Salariale et Retraite ainsi que de la gestion Impact Investing de la société de gestion d’actifs française. Avant de prendre son poste actuel, en 2022, elle a aussi été directrice générale d’Indosuez Gestion.
 
Delphine Di Pizio-Tiger me parle de son addiction aux marchés, mais aussi de sa ténacité dans un monde parfois hostile, et de l’importance de sortir du cadre !

Episode réalisé par Laurence Marchal, journaliste à L'Agefi

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La nouvelle invitée de Haute Fréquence est Léa Dunand-Chatellet, gérante et directrice de l'investissement responsable chez DNCA Finance.

Passionnée par l’architecture et férue de sport, Léa Dunand-Chatellet se dirige vers la finance après des études à l’Ecole Normale Supérieure. Un peu par défaut, elle se retrouve analyste ISR sell side chez Oddo Securities. L’investissement socialement responsable en est à ses balbutiements, mais l’expérience l’intéresse et forge le caractère de la jeune femme. En 2010, Lea Dunand-Chatellet rejoint Sycomore, où elle va bâtir le pôle de recherche ISR de la boutique et devenir gérante. Une expérience entrepreneuriale où elle s’épanouit, dans un environnement dynamique et sportif, et un contexte enfin porteur. Cinq ans plus tard, elle décide de partir chez Mirova pour un poste de direction. Un choix de carrière qui ne lui convient pas vraiment. D’un tempérament radical, elle démissionne et quitte Paris pour l’Australie. Pendant un an, elle travaille dans une école de kite surf et fait le point sur sa vie. Indécise quant à l’avenir, elle est convaincue par les dirigeants de DNCA de rentrer en France et de retourner dans la gestion d’actifs. Léa Dunand Chatellet parle sans filtre de ses choix, du sport qui est resté un fil rouge dans sa carrière et de l’importance du terrain.
Episode réalisé par Laurence Marchal, journaliste à L'Agefi.

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Le nouvel invité de Haute Fréquence est François Deltour, le président du directoire d’Arkéa Investment Services.
Par mimétisme familial, François Deltour voulait initialement travailler dans la tech. Il s’orientera finalement vers la finance, un domaine lui permettant de concilier son goût pour les matières scientifiques et celui pour les entreprises. Après Centrale et des études aux Etats-Unis, François Deltour réalise quelques stages qui le confortent dans son envie de travailler dans la finance, mais avec un ancrage dans le monde réel. Il passe plusieurs années chez McKinsey, en France et à l’international, travaille sur des projets très différents les uns des autres, et se spécialise peu à peu dans les services financiers. En 2014, il est approché par le Crédit Mutuel Arkea, une banque qui lui plaît pour sa culture entrepreneuriale. Il y occupe différents postes jusqu’à être nommé président du directoire d’Arkea Investment Services, le pôle regroupant les activités de gestion d’actifs de la banque, en 2022.  
François Deltour parle des missions qui l’ont le plus marqué et surpris, évoque son intérêt pour l’histoire, et confie que le succès ne vient pas toujours de là où on l’attend !

Un épisode réalisé par Laurence Marchal, journaliste à L'Agefi.

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Estelle Castres, directrice générale de BlackRock pour la France, la Belgique et le Luxembourg, est la nouvelle invitée de Haute Fréquence.
Face aux fins de mois difficiles de sa famille, Estelle Castres cherche très tôt à comprendre le fonctionnement de l’argent. Et à l’âge où les enfants lisent des BD, elle se plonge dans les revues économiques. Nait alors une passion pour l’économie, qui se transformera en passion pour la finance, à la faveur de ses études et de ses stages.
Après une première expérience de trader à la Dresdner, puis dans d’autres maisons, Estelle Castres se tourne vers la gestion de fonds, chez Crédit Agricole AM, avant de passer côté commercial. Un domaine dans lequel elle s’épanouit et prend de l’ampleur chez Axa IM, puis Natixis IM.
En retraçant son parcours, Estelle Castres confie qu’elle a toujours choisi ses emplois par passion et curiosité, plutôt que par calcul. Si elle avoue qu’être une femme dans ce monde de la finance n’a pas toujours été facile, elle préfère regarder vers l’avenir et soutenir les jeunes femmes qui entrent dans ce secteur. Plus largement, elle s’implique dans la promotion de la diversité sous toutes ses formes et dans l’éducation financière.
Enfin, malgré son expérience solide, Estelle Castres garde la même envie d’apprendre qu’à ses débuts et une passion inébranlable pour la finance.

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Le nouvel invité de Haute Fréquence est David Vaillant, le responsable Global Finance, Stratégie et Participations chez BNPP AM, également directeur général adjoint pour la France.

Avide d'apprendre, David Vaillant multiplie les études et c’est ainsi qu’il découvre la finance et le droit. Après une brève incursion dans l’entrepreneuriat, il travaille pour un cabinet d’avocats, Skadden, où il se spécialise dans le droit des affaires. Son parcours le conduit ensuite à la Banque de France, où il participe à l’analyse d’opérations d’importance dans le secteur financier. C’est en 2007 que David Vaillant rejoint le groupe BNP Paribas, d’abord à la banque d’investissement, puis à la gestion d’actifs. Il évoque les missions qui l’ont le plus marqué ces dernières années et décrit avec passion le quotidien de son métier actuel. En parallèle de sa carrière, David Vaillant s'investit dans l'éducation en enseignant et en s'engageant activement pour l'égalité des chances, notamment à travers le mentorat d'étudiants. Pour lui, la transmission du savoir est presque une responsabilité morale quand on a beaucoup reçu. Pour finir, David Vaillant dévoile ses goûts musicaux, qui vont du jazz au hip hop en passant par la musique électronique.

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