Côté parentalit‪é‬ Mathilde Sieurin

Vous écoutez la deuxième partie de l’histoire de Marlène. Si jamais vous n’avez pas encore écouté la première, je vous invite à le faire avant d’écouter cet épisode pour ne pas être perdu dans son récit.



Marlène a une particularité, elle a un utérus bicorne. Cette malformation n’empêche normalement pas de tomber enceinte mais cela peut engendrer des grossesses arrêtées (fausses couches), des accouchements prématurés ou un retard de croissance du fœtus.



Et en effet, Marlène est maman de 3 enfants Juliette née à 32+4 SA et Gabriel et Victoire nés à 31+1 SA. Elle a donc connu, la prématurité pour ses 3 enfants mais aussi une grossesse arrêtée. Cela fait beaucoup d’épreuves à surmonter, qui plus est lorsque l’on est d’un tempérament angoissé comme l’est Marlène.

Mais ses 3 enfants s’en sont très bien sortis et sont tous les trois aujourd’hui en parfaite santé. Des parcours de vie incroyables et exemplaires pour ces petits battants qui ont rapidement pu sortir de l’hôpital pour être suivis en HAD (hospitalisation à domicile) avant de rapidement pouvoir voler de leurs propres ailes.



Je vous souhaite une très bonne écoute.

 

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Marlène a une particularité, elle a un utérus bicorne. Cette malformation n’empêche normalement pas de tomber enceinte mais cela peut engendrer des grossesses arrêtées (fausses couches), des accouchements prématurés ou un retard de croissance du fœtus.



Et en effet, Marlène est maman de 3 enfants Juliette née à 32+4 SA et Gabriel et Victoire nés à 31+1 SA. Elle a donc connu, la prématurité pour ses 3 enfants mais aussi une grossesse arrêtée. Cela fait beaucoup d’épreuves à surmonter, qui plus est lorsque l’on est d’un tempérament angoissé comme l’est Marlène.

Mais ses 3 enfants s’en sont très bien sortis et sont tous les trois aujourd’hui en parfaite santé. Des parcours de vie incroyables et exemplaires pour ces petits battants qui ont rapidement pu sortir de l’hôpital pour être suivis en HAD (hospitalisation à domicile) avant de rapidement pouvoir voler de leurs propres ailes.



Je vous souhaite une très bonne écoute.



Ce témoignage sera diffusé en deux épisodes, vous pourrez retrouver la deuxième partie la semaine prochaine.

 

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Vous écoutez la deuxième partie de l’histoire de Juliette. Si jamais vous n’avez pas encore écouté la première, je vous invite à le faire avant d’écouter cet épisode pour ne pas être perdu dans son récit.

Dans la première partie, Juliette nous a raconté comment elle s’était mise la pression pour être la mère parfaite et comment elle s’était perdue dans sa maternité. Et puis enfin comment elle avait retrouvé son équilibre, comment elle s’était retrouvée en tant que femme. Jusqu’à ce qu’un jour elle fasse un test de grossesse qui s’avère positif au moment où enfin l’équilibre était trouvé et qu’une seconde grossesse n’était pas du tout envisagée en tous cas, pas pour le moment.

Alors, ont-ils gardé ou non ce bébé ? Vous verrez que la vie a énormément challengé Juliette, elle qui a le besoin de tout contrôler et que travaillait justement sur son lâcher-prise.



Je vous laisse avec la suite de l’histoire de Juliette.

 

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Parce que l'on devient parent toute sa vie et que l'on a parfois besoin d'en parler.

On vous propose un temps rien qu'à vous, pour parler de tout ce qui vous traverse.

En visio, de chez vous ou d'ailleurs.

Professionnelles de la parentalité et mamans, notre objectif est de pouvoir offrir un endroit sécure et bienveillant afin de libérer la parole autour de vous et de votre parentalité.

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Au plaisir d'échanger avec vous.

 

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Etre maman. MAMAN. Ce rôle si important, le rôle d’une vie. C’est beaucoup de responsabilités. Et quelle responsabilité que celle d’être le modèle d’un tout petit bébé, si fragile, si petit, si innocent. De devoir en prendre soin, l’éduquer, le stimuler, le câliner, lui donner confiance, le rassurer, et tellement tellement plus que ça.

Il y a de quoi se mettre la pression. Et la pression Juliette se l’est mise et pas qu’un peu. Oui Juliette, elle est axillaire de puériculture donc forcément elle sait faire, forcément ça sera facile pour elle, forcément elle n’a pas le droit à l’erreur.

Oui mais voilà, ça n’est pas si simple de devenir mère. Même quand on est professionnelle de la petite enfance, peut-être même encore plus d’ailleurs.

Aujourd’hui je vous invite à découvrir l’histoire de Juliette qui s’est mise une énorme pression à vouloir atteindre la perfection lorsqu’elle est devenue maman. Pour que son fils se développe le mieux possible et je sais qu’elle n’est pas la seule, je sais que bon nombre d’entre nous avons fait pareil.



Je vous souhaite une très bonne écoute.



Ce témoignage sera diffusé en deux épisodes, vous pourrez retrouver la deuxième partie la semaine prochaine.

 

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