7 episodes

Amateur de nature et d’aventure, voyageurs d’ici et d’ailleurs, passionnés de biodiversité et d’environnement, ce podcast Grandeur Nature est fait pour vous ! Pour écouter ce que la nature a à nous raconter, il suffit de tendre l’oreille. Au micro d’Adrien Joveneau, écoutez les histoires de gardes-forestiers, de baroudeurs, d’activistes environnementaux, d’auteurs mais surtout de neige qui craque, de cerfs qui brâment, d’oiseaux qui piaillent ou de loups qui hurlent.

Ce podcast vous emmène sur les traces de la nature, la vraie, celle qui parle quand l’humain se tait, celle qui vit dans nos esprits, celle qu’on oublie parfois dans le vacarme de nos sociétés mais qui est là, toujours. Au cœur de la capitale, à flanc de montagne, ou en lisière de forêt, la biodiversité est partout et on se doit de la préserver. A travers ce podcast, de nombreux acteurs et actrices du milieu environnemental et climatique se passe la parole pour nous aider à comprendre les enjeux.

Astuces, conseils, anecdotes, témoignages, transmettons les bons messages pour préserver notre planète.

Grandeur Nature Vivacité (RTBF)

    • Leisure
    • 5.0 • 9 Ratings

Amateur de nature et d’aventure, voyageurs d’ici et d’ailleurs, passionnés de biodiversité et d’environnement, ce podcast Grandeur Nature est fait pour vous ! Pour écouter ce que la nature a à nous raconter, il suffit de tendre l’oreille. Au micro d’Adrien Joveneau, écoutez les histoires de gardes-forestiers, de baroudeurs, d’activistes environnementaux, d’auteurs mais surtout de neige qui craque, de cerfs qui brâment, d’oiseaux qui piaillent ou de loups qui hurlent.

Ce podcast vous emmène sur les traces de la nature, la vraie, celle qui parle quand l’humain se tait, celle qui vit dans nos esprits, celle qu’on oublie parfois dans le vacarme de nos sociétés mais qui est là, toujours. Au cœur de la capitale, à flanc de montagne, ou en lisière de forêt, la biodiversité est partout et on se doit de la préserver. A travers ce podcast, de nombreux acteurs et actrices du milieu environnemental et climatique se passe la parole pour nous aider à comprendre les enjeux.

Astuces, conseils, anecdotes, témoignages, transmettons les bons messages pour préserver notre planète.

    Au Trièves

    Au Trièves

    a completer

    Merci pour votre écoute

    Grandeur Nature, c'est également une émission radio, en direct tous les dimanches de 14h à 16h sur www.rtbf.be/vivacité

    Retrouvez tous les épisodes de Grandeur Nature sur notre plateforme Auvio.be
    https://auvio.rtbf.be/emission/grandeur-nature-1371

    Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

    • 1 hr 11 min
    au coeur de la nature sauvage sur le territoire de la Matheysine

    au coeur de la nature sauvage sur le territoire de la Matheysine

    Après cinq bonnes heures passées à bord du TGV Inoui SNCB International reliant Bruxelles à Valence, l’équipe de « Grandeur Nature » prend la direction de la Matheysine.
    La Matheysine, kesako ?Son nom vient du latin matta humide)et cena ( plateau) . Elle se situe à moins d’une heure au Sud de Grenoble et du massif du Vercors, Logée au Sud du département de l’Isère, elle s’étend jusqu’aux portes du massif des Ecrins. Territoire très peu peuplé, il déroule une nature très sauvage, qui fait la part belle aux lacs et aux montagnes aux sommets enneigés. Moins célèbre que les massifs préalpins proches de Grenoble, comme la Chartreuse, la Belledonne, le Vercors ou l’Oisans, il offre pourtant une succession de paysages à couper le souffle et une biodiversité préservée.
    Histoire de se dérouiller les jambes, l’équipe a pris rendez-vous avec Damien Girard, moniteur de ski et d’escalade au lac du Sautet, un lac immense aux eaux d’un bleu turquoise. et au pied de la via ferrata. « La Matheysine est l’endroit idéal pour la pratique des sports de nature et de montagne, des sports nautique à la baignade, De la pratique du bateau dans les bases nautiques aux sports de montagne, l’escalade le ski alpin, le ski de fond, le saut à l’élastique, la tyrolienne ou la via ferrata. Qui propose un circuit dans la montagne, en étant sécurisé par un câble- la fameuse ligne de vie - à laquelle on s’accroche avec nos longes et nos mousquetons. »

    Merci pour votre écoute

    Grandeur Nature, c'est également une émission radio, en direct tous les dimanches de 14h à 16h sur www.rtbf.be/vivacité

    Retrouvez tous les épisodes de Grandeur Nature sur notre plateforme Auvio.be
    https://auvio.rtbf.be/emission/grandeur-nature-1371

    Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

    • 1 hr 5 min
    au coeur du Parc naturel régional des Baronnies provençales

    au coeur du Parc naturel régional des Baronnies provençales

    Influences alpines et provençales marquent les espaces du Parc naturel des Baronnies. Entre Hautes Alpes et Drôme, blottis au pied du Mont Ventoux et s'étendant jusqu'à Sisteron, paysages et villages surprennent. Des falaises d'Orpierre aux vallées du Buëch, en passant par les vergers ou oliveraies du pays Buxois, Grandeur Nature vous emmène sur les hautes terres sauvages et singulières de Provence.
    Les gorges de la Méouge, site d'exception
    Les Baronnies provençales, c’est ce Parc naturel régional qui s’étend entre les Alpes et le Mont Ventoux. En son cœur, coule notamment le Buësch qui se jette dans la Durance. Nous sommes dans un pays de gorges et cascades tourbillonnantes couleur vert turquoise ; un massif aux influences alpines et provençales. Ce mélange assure douceur du climat et paysages remarquables ; chaque vallée a sa faune et sa flore. Grandeur Nature se rend dans les gorges de la Méouge ; rendez-vous sur le pont roman. Plantes méditerranéennes et d’Afrique du Nord occupent ce décor minéral contenant une succession de marnes bleu ardoise, de grès gris bleuté et de calcaires sableux. « Ce site est reconnu pour sa flore et sa géologie, précise Théophane en charge de sa gestion Natura 2000. Mais il est un peu victime de sa beauté l’été. L’érosion a créé des toboggans et des marmites, des trous d’eau très appréciés des baigneurs. Tout comme ces plages de galets polis. » Mais les étés secs sont une période de stress pour la vie aquatique en recherche d’oxygène, comme pour le barbeau méridional. « Quand les enfants construisent de petits barrages, cela perturbe aussi les invertébrés qui ont besoin de caches sous les galets… » On pense aux pouponnières de libellules. Outre une grande diversité de papillons, comme le damier de la succise, on trouve ici le lézard oscellé. Comme les scarabées, ils apprécient la chaleur des roches. Le petit rhinolophe, lui, une chauve-souris qui pèse l’équivalent de deux morceaux de sucre, occupe les creux des falaises inaccessibles. On gravit maintenant la montagne de Chabre pour retrouver Mathieu.
    La montagne de Chabre pour la vue
    D’habitude, c’est en descendant en trottinette non motorisée qu’on la découvre autrement. Aujourd’hui, on utilisera à peine les pédales des quad-bike pour redescendre de son sommet qui offre une vue panoramique sur toutes les Alpes du Sud. On n’a pas dérangé la gélinotte des bois, ni le Circaète Jean le Blanc. Et encore moins le Grand-Duc d’Europe ou le Sonneur à ventre jaune. Ces quatre espèces patrimoniales vivent dans cette zone naturelle classée d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). Entre 560 et 1352 m d’altitude, les climats supra-méditerranéen et montagnard mêlent forêt et un mélange étrange de pelouses, garrigues ou landes.
    Tout cela mérite bien, au retour, une bière brassée chez Céline et Olivier. Chimistes de formation, à Châteauneuf de Chabre, ils font désormais confiance aux arômes naturels et à l’eau issue d’un captage profond au pied des gorges de la Méouge. « Sans ajouter de sucre, on arrive à plaire à tout le monde avec notre production ». Le couple multiplie les recettes maltées et houblonnées. Pour le plus grand plaisir des locaux et des randonneurs harassés.

    En Baronnies, la nature souffle le chaud et le froid
    « Hiver comme été, j'aime transmettre des émotions sur ces sentiers de chèvre qui sillonnent la garrigue ». Jonathan Mathieu est guide de montagne et naturaliste. Un passionné d'orchidées. Une passion qui lui fait dire que nous devons prendre du bon temps dans la nature. Ce qu'on fait dans ses pas sur les hauteurs du village de Brande, dans la vallée du Toulourenc. Nous progressons en file parmi les genévriers sur le versant adret. Ce côté sud qui fait face au Ventoux encore enneigé en cette mi-mars. « Toulourenc est le nom de la rivière qui coule au fond de la vallée. Le

    • 1 hr 3 min
    avec Sylvain Tesson

    avec Sylvain Tesson

    En ce we de la foire du livre, nous voyagerons dimanche avec la navigatrice Djemila Tassin, qui vient de boucler une transpacifique et l’explorateur Sylvain Tesson, qui raconte son voyage en voilier le long des côtes celtes dans son dernier livre "Avec les fées", paru aux Éditions de l'Equateur.
    Tassin/Tesson: deux personnalités qui cultivent l’amour de la nature et le goût de l’aventure.

    Dans les coulisses de l’émission, Olivier Vandecasteele, grand lecteur de Sylvain Tesson, l’a sensibilisé à la plateforme qu’il vient de créer pour venir en aide aux humanitaires en danger : Protect Humanitarians.

    Merci pour votre écoute

    Grandeur Nature, c'est également une émission radio, en direct tous les dimanches de 14h à 16h sur www.rtbf.be/vivacité

    Retrouvez tous les épisodes de Grandeur Nature sur notre plateforme Auvio.be
    https://auvio.rtbf.be/emission/grandeur-nature-1371

    Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

    • 35 min
    au coeur du parc naturel régional du Mont-Ventoux

    au coeur du parc naturel régional du Mont-Ventoux

    Réserve de biosphère riche et fragile, le Ventoux et son Parc d’un peu plus de 3000 ha mêlent combes, vallons, crêtes et plateaux riches en espèces végétales et animales. Sa singularité, le Parc le doit à on étagement bioclimatique qui en fait un géant de vie, de diversité et de cultures.
    Un agriculteur-cueilleur, producteur des senteurs du Ventoux
    A la sortie de Pernes-les-Fontaines, Jean-Christophe Raffin reproduit ses propres plantes pour en faire une trentaine d’huiles essentielles. Mais il cueille aussi en pleine nature des plantes aromatiques et médicinales dont il transformera feuilles, fleurs ou bourgeons. Un savoir qu'il transmet aux nouvelles générations. Ancien cuisinier, fils de Vendéens attachés à la terre, il a trouvé son bonheur au pied du Ventoux en distillant romarin et tirant mille vertus d'autres plantes du terroir provençal. Son atelier est une ancienne gypserie dont les murs séculaires ont vu passer les troupes de Napoléon. « Mes parents se soignaient avec des plantes. Je perpétue ce savoir-faire en macérat, tisanes, sirops, huiles essentielles et eaux florales. »
    Dans la serre, au fond de sa propriété pernoise, il sème et bouture ; le thym mettra 4 ans avant de produire. Son jardin de 2 ha n'est qu'un embryon de son terrain de jeu. C'est en effet en plein champ, à Villes sur Auzon, que ses parcelles explosent au printemps, quand thym, romarin, lavande et sarriette donnent le meilleur de leur nature. « Goûtez-moi ce sirop de cataire et coquelicot. Ou encore ce macérat de bourgeons de figuiers qui a macéré vingt jours dans um mélange d’eau de source, de sirop d’agave et d’alcool... ». On découvre, étonné, la richesse de ces cellules souches, qui, à elles seules, contiennent tout ce qui fera le végétal adulte ; soit les racines, les feuilles, les fruits. Dans ce coin de Provence à l’ombre du Ventoux, la nature variée des sols, mélangeant sable, argile et galet, assure la diversité botanique. Du fumier de cheval couvre la menthe, mais l'odeur d'huiles essentielles domine. « A force de cueillir, de distiller, on s’en imprègne », sourit Jean-Christophe qui détient tous les secrets pour mélanger fleurs, alcool et huile. « Un tiers de ma production vient aussi de cueillettes parmi les aubépines, cornouillers, amélanchiers, sureaux ou pins sylvestres. »
    On termine la visite par le séchoir construit en cèdre du Ventoux. C'est la saison du romarin. Il sèche bien sagement sur des clayettes à l'abri des insectes rebutés par le répulsif naturel dégagé par les planches. « Je suis agriculteur, je ne vends que ma production. » Et la liste est longue, entre les pots et flacons aux milles vertus.

    Miel et amandes de Saint-Didier pour un nougat maison chez Silvain
    « Nous sommes Entreprise du Patrimoine Vivant, label qui distingue les entreprises françaises aux savoir-faire artisanaux d’excellence. » Claire nous accueille. Elle dirige la nougaterie Chez Silvain. Ici, à Saint-Didier, on décline le nougat du champ au chaudron. Depuis plus de 30 ans, la famille Silvain fabrique ses confiseries sublimant le fruit, l’amande et le miel... Cette confiserie est une histoire de famille. Claire et son frère perpétuent ce que leurs agriculteurs de parents, oncle et tante, ont créé. Ils possédaient des amandiers sur leurs terres et se sont lancés progressivement dans la fabrication de nougat. Aujourd'hui, En mélangent le fruit sec avec du miel de lavande, chez Silvain, on propose le nougat noir ou blanc en de multiples goûts surprenants. Comme ce nougat aux olives noires de Nyons, ou celui au poivre, que l'on peut goûter ici-même en terrasse, à deux pas des ateliers. « Au printemps les centaines de ruches de mon frère Jean assurent la pollinisation de nos 7 ha d'amandiers. Nous nous sommes associés à des producteurs locaux sous l'appellation Paysans-Nougatiers. Cette filière représente aujourd’hui 30 ha d’amandiers, 2000 ruch

    • 1 hr 1 min
    à Boulogne-Sur-Mer

    à Boulogne-Sur-Mer

    Ce coin du Pas-de-Calais est la capitale de la Côte d’Opale. Bien avant la Bretagne et la Normandie, on venait à Boulogne pour des bains de mer au début du 19ème siècle. En bord de Manche, la ville portuaire est une ville de pêche depuis toujours. On y découvre le plus grand aquarium d’Europe, mais aussi la vie rythmée par les marées à deux pas des plages et des prairies bocagères.

    Wimereux, là où niche le Fulmar boréal

    Nous cheminons sur la digue piétonne de Wimereux, à l’entrée de Boulogne-Sur-Mer. Un fleuve côtier, du même nom que la station balnéaire de Wimereux, se jette dans la Manche qui nous fait face. Lieu de villégiature avec d’anciennes villas classées, certes, Wimereux est aussi un nid d’amour pour le Fulmar Boréal. Cet oiseau marin, de la famille de l’albatros, passe sa vie en l’air et pleine mer au-dessus de eaux froides de l’Atlantique Nord et du Pacifique Nord. « Il ne gagne la terre que pour se reproduire », nous explique Sylvie Petitbois de l’association Charme de Wimereux. D’avril à août, dix à quinze couples nichent ici. Sur des corniches et dans les anfractuosités des falaises côtières, comme celle de la Pointe de la Crèche. « Ces pentes nous sont inaccessibles. L’éclosion des œufs a lieu vers la mi-juillet. Les poussins restent environ six semaines en falaise, et ne s’envolent que fin août, début septembre. » Sur la bande côtière, sur le sentier du littoral plus exactement, la Pointe aux oies à l’entrée de la baie de la Slack, témoigne du passage des oiseaux migrateurs. Des lièvres bondissent non loin des dunes dont le minéral gris-jaune tranche avec le bleu-vert du détroit nous séparant des côtes anglaises. Des scientifiques belges sont venus ici-même il y a près de 150 ans pour des observations et des découvertes. Paul Pelseneer, zoologiste bruxellois, était un spécialiste des mollusques et de leur développement. De son époque, où on arrivait par le train, il ne reste quelque 250 villas aujourd’hui classées. Le marbre de Marquise, extrait à proximité dans les calcaires carbonifères affleurants, a bien servi les architectes de l’époque. Le sentier entre dunes blanches, dunes grises et dunes à fourrés est survolé par des goélands bruns et des mouettes rieuses. On n’a pas vu de faucon crécerelles, ni entendu de pics-verts. Mais ils sont bien présents toute l’année.
    Le plus grand aquarium d’Europe nous accueille à l’entrée de Boulogne. Les océans et leurs plages sont fragiles ; les 1600 espèces et 58 000 animaux que l’on retrouve dans les bassins et terrariums de Nausicaa le sont tout autant. Abysses, hautes mers, grottes sous-marine, océans, failles… On plonge. Derrière les vitres, les bassins et la machinerie, des hommes et des femmes veillent, soignent, cultivent, entretiennent, éduquent, transmettent… Comme Célia. Biologiste, elle est aux petits soins pour ses otaries de Californie. Une espèce longtemps en danger, et pas seulement à cause des orques ou du grand requin blanc. « Leur vétérinaire est Belge et voyage dans le monde entier pour soigner ces mammifères marins. Capable de plonger une vingtaine de minutes en apnée, l’animal gras et musclé file sous l’eau à du 27 km/h pour traquer le poisson. Chaque otarie reçoit ici sa quantité de nourriture quotidienne en fonction de son âge et de son poids. » Au menu du jour : sprat, merlan et maquereau décongelés et inspectés pour éviter tout problème de santé.

    Seize espèces font ici partie de programmes de reproduction inter-aquariums. Des spécialistes s’occupent ainsi des coraux dont certaines boutures sont réimplantées aux Maldives. Les méduses ont aussi leur pouponnière. Elles sont ici reproduites et élevées pour être étudiées et exposées. « On reproduit entre 15 et 20 espèces de méduses différentes. Elles sont importantes pour la vie marine et font partie du plancton », détaille Coralie qu

    • 1 hr 11 min

Customer Reviews

5.0 out of 5
9 Ratings

9 Ratings

Top Podcasts In Leisure

Geldtaboe door Slim Sparen
Charlotte Van Brabander van Slim Sparen
+33 TYCIA
Tycia
Trash Taste Podcast
Trash Taste Podcast
READ THIS!
MNM
ORIGAMI L'Hebdo
ORIGAMI
ZQSD
ZQSD.fr

You Might Also Like