Max DAUBER-C'EST PARTI POUR UN TOUR SUR SIS RADIO-19 décembre 2022 C'est parti pour un tour

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En collaboration avec Exploration du Monde, nous allons évoquer un ami à toi, cinéaste d’Explo, Max Dauber ...
Max est plus qu’un ami, c’est un complice de vie depuis bientôt 50 ans ! C’est aussi lui qui m’a mis le pied à l’étrier pour rentrer dans l’aventure d’Exploration du Monde comme cinéaste...
Explo ... tu connaissais bien ... tu en as été le patron ?
Je connaissais comme spectateur avec mes parents ... puis j’en ai été le directeur entre 2000 et 2008 ... puis j’ai eu envie de passer de l’autre côté, de devenir conférencier ... puis cinéaste grâce à mon ami Max Dauber !
C’est parti pour un tour ... à la découverte d’un des cinéastes belges qui fait partie de la « grande histoire » d’Explo
Oui ... je n’ai pas peur de le dire ... mon ami Maximilien Dauber, Max l’Explorateur en chair et en os ... cinéaste reconnu, au départ, spécialisé dans le documentaire saharien. Maximilien Dauber a accumulé des films, des photographies, des enregistrements et des observations ethnographiques sur les nomades du Sahara. Il signe la réalisation en Algérie, au Niger et au Mali, de films documentaires sous le titre générique de « Mémoires sahariennes ». Il participe aux tournages de « Bornéo » de Douchan Gersi et des « Antilles » de Jean Raspail, deux cinéastes-auteurs-conférenciers mythiques, avant de réaliser un long métrage au Niger sur les Peuls Bororos.
 Il n’a pas fait que des films sur le Sahara ?
De 1980 à 1989, il se consacre à l’étude des nomades du Turkestan chinois et réalise un long métrage sur les « Routes de la Soie ».  Puis il va aller en Egypte, au Soudan, en Afrique orientale et centrale où il fixe sur pellicule la vie des explorateurs d’Afrique orientale dans un film intitulé « La légende du Nil ».
 Et puis une rencontre étonnante ... mythique, elle aussi 
En 1996, il tourne en Nubie soudanaise un court métrage sur le professeur Théodore Monod. En 1997, il organise et filme une recherche botanique, celle d’une fleur appelée la « Monodiella flexuosa » dans le massif du Tibesti en Libye et au Tchad, toujours avec Théodore Monod. Un an plus tard, il monte une nouvelle expédition au Tchad, à la recherche de la mythique fleur de Théodore. La troisième expédition dans le Tassili, en Algérie, prévue en 1999 pour compléter cette « trilogie du Graal botanique » est reportée : le Professeur est hospitalisé. En 2000, Théodore Monod nous quittera définitivement et sa disparition signera la fin de cette quête botanique saharienne qui lui tenait tant à cœur.
... son parcours ne s’arrête pas là ...
Maximilien Dauber va s’attacher à la réalisation d’un long métrage aérien, terrestre et sous-marin en Egypte ainsi qu’à celle d’un film artistique sur la capitale de l’Europe, « Bruxelles, ... ma belle ».
En 2005, il achève le tournage d’un nouveau film sur le pays des Pharaons.
Deux ans plus tard, c’est en Italie qu’il tourne. Au cœur de la Toscane, qui comble sa curiosité culturelle, esthétique et gustative.
Parallèlement à ses tournages au Pays du Soleil Levant d’où il ramène le documentaire « Un thé au Japon », il réalise un documentaire télévisuel diffusé par la RTBF intitulé la « Wallonie, le terroir au fil de l’eau ».
En 2014, il réalise un film sur « Roma »... avec moi !
Les années suivantes seront consacrées à la réalisation d’un « Japon des extrêmes », que l’on devrait voir à Explo la saison prochaine.

Allez sur le site explorationdumonde.be ... pour la reprise des séances en 2023
... et partagez cette chronique en PODCAST sur spotify, deezer, iTunes et bien sûr via l’appli SIS RADIO sur Google Play, Facebook, Instagram ... 
... et n’oubliez pas notre chaine Youtube avec les séquences vidéo « SIS EXPLO » où on retrouve Philippe Soreil en interview avec les cinéastes-conférenciers qui passent par notre studio

En collaboration avec Exploration du Monde, nous allons évoquer un ami à toi, cinéaste d’Explo, Max Dauber ...
Max est plus qu’un ami, c’est un complice de vie depuis bientôt 50 ans ! C’est aussi lui qui m’a mis le pied à l’étrier pour rentrer dans l’aventure d’Exploration du Monde comme cinéaste...
Explo ... tu connaissais bien ... tu en as été le patron ?
Je connaissais comme spectateur avec mes parents ... puis j’en ai été le directeur entre 2000 et 2008 ... puis j’ai eu envie de passer de l’autre côté, de devenir conférencier ... puis cinéaste grâce à mon ami Max Dauber !
C’est parti pour un tour ... à la découverte d’un des cinéastes belges qui fait partie de la « grande histoire » d’Explo
Oui ... je n’ai pas peur de le dire ... mon ami Maximilien Dauber, Max l’Explorateur en chair et en os ... cinéaste reconnu, au départ, spécialisé dans le documentaire saharien. Maximilien Dauber a accumulé des films, des photographies, des enregistrements et des observations ethnographiques sur les nomades du Sahara. Il signe la réalisation en Algérie, au Niger et au Mali, de films documentaires sous le titre générique de « Mémoires sahariennes ». Il participe aux tournages de « Bornéo » de Douchan Gersi et des « Antilles » de Jean Raspail, deux cinéastes-auteurs-conférenciers mythiques, avant de réaliser un long métrage au Niger sur les Peuls Bororos.
 Il n’a pas fait que des films sur le Sahara ?
De 1980 à 1989, il se consacre à l’étude des nomades du Turkestan chinois et réalise un long métrage sur les « Routes de la Soie ».  Puis il va aller en Egypte, au Soudan, en Afrique orientale et centrale où il fixe sur pellicule la vie des explorateurs d’Afrique orientale dans un film intitulé « La légende du Nil ».
 Et puis une rencontre étonnante ... mythique, elle aussi 
En 1996, il tourne en Nubie soudanaise un court métrage sur le professeur Théodore Monod. En 1997, il organise et filme une recherche botanique, celle d’une fleur appelée la « Monodiella flexuosa » dans le massif du Tibesti en Libye et au Tchad, toujours avec Théodore Monod. Un an plus tard, il monte une nouvelle expédition au Tchad, à la recherche de la mythique fleur de Théodore. La troisième expédition dans le Tassili, en Algérie, prévue en 1999 pour compléter cette « trilogie du Graal botanique » est reportée : le Professeur est hospitalisé. En 2000, Théodore Monod nous quittera définitivement et sa disparition signera la fin de cette quête botanique saharienne qui lui tenait tant à cœur.
... son parcours ne s’arrête pas là ...
Maximilien Dauber va s’attacher à la réalisation d’un long métrage aérien, terrestre et sous-marin en Egypte ainsi qu’à celle d’un film artistique sur la capitale de l’Europe, « Bruxelles, ... ma belle ».
En 2005, il achève le tournage d’un nouveau film sur le pays des Pharaons.
Deux ans plus tard, c’est en Italie qu’il tourne. Au cœur de la Toscane, qui comble sa curiosité culturelle, esthétique et gustative.
Parallèlement à ses tournages au Pays du Soleil Levant d’où il ramène le documentaire « Un thé au Japon », il réalise un documentaire télévisuel diffusé par la RTBF intitulé la « Wallonie, le terroir au fil de l’eau ».
En 2014, il réalise un film sur « Roma »... avec moi !
Les années suivantes seront consacrées à la réalisation d’un « Japon des extrêmes », que l’on devrait voir à Explo la saison prochaine.

Allez sur le site explorationdumonde.be ... pour la reprise des séances en 2023
... et partagez cette chronique en PODCAST sur spotify, deezer, iTunes et bien sûr via l’appli SIS RADIO sur Google Play, Facebook, Instagram ... 
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