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Régine Thill extraits de l'interview Exposition Rose pour Octobre Rose Booste ta Résilience Se libérer, se réparer, se transformer

    • Self-Improvement

Bonjour Sabine, je vais me présenter avec grand plaisir et d'abord merci de m'inviter sur votre podcast. Je m'appelle Régine, j'ai 48 ans, je vis et je travaille près de Reims depuis 20 ans. J'ai grandi en Moselle et près de chez vous, à Metz. Alors si je dois me présenter, me raconter un peu en quelques mots, je ne peux pas ne pas parler de ma passion pour l'art puisqu'elle a guidé toute ma vie. Tous mes grands choix de vie.

Ma passion pour l'art a toujours été présente. Et si bien que lorsque j'étais au collège, il a fallu s'orienter. Le choix est vite fait. Moi, je voulais faire un métier qui dans lequel je serais en contact permanent avec l'art. C'était ça et rien d'autre, j'ai fait une filière A 3 à l'époque avec l'art plastique et philosophie. Je suis partie ensuite à la fac d'arts plastiques à Strasbourg. J'ai fait une maîtrise. Je me suis dirigée vers l'enseignement, donc j'ai passé le CAPES.

Je l'ai eu en 99 et depuis, j'enseigne les arts plastiques en collège et c'est un métier dans lequel je m'épanouis parfaitement. En parallèle, j'ai également poursuivi une pratique artistique, celle dont vous parliez il y a deux minutes.

Alors des femmes nues en rose, non, mais des corps, oui. J'ai commencé alors mon travail. En fait, c'est une immense série. J'ai toujours peint des corps.

Ça a commencé lorsque j'étais en maîtrise. Je vous disais tout à l'heure que je. À ce moment-là, j'ai eu un déclic et c'est là que tout a commencé. Et j'ai pendant longtemps peint des décors non sexués, on va dire, est plutôt monstrueux. Pas du tout aussi figuratifs qu'aujourd'hui. Une dizaine d'années, peut être que je peins des femmes. Finalement, ma démarche s'est affinée. Il s'est précisé Et donc, aujourd'hui, je peins des corps de femmes nues essentiellement et exclusivement des femmes.

Le rose, c'est devenu ma couleur de prédilection pour un tas de raisons. Mais non, ça n'a pas toujours été le cas.

Ce qui est devenu de plus en plus clair au fil des années, c'est que ce qui m'intéressait dans la peinture des corps, notamment féminins, c'était une réflexion sur la féminité. Qu'est-ce que la féminité ? Dans sa complexité et dans son ambiguïté, dans ses contradictions ? Et c'est ça qui m'anime, en fait. Dans Ma peinture et le rose, j'ai aussi une passion pour le rouge quand même. Mais le rose, plus particulièrement dans toutes ses nuances, dans toutes ses valeurs, me permettent, je trouve, d'évoquer de multiples aspects de la féminité, aussi bien positifs que négatifs, et bien plus que tout autre couleur.

Le rose, c'est bien sûr la couleur de la féminité. C'est la couleur de la chair, une couleur qui est forte à tout point de vue. Ma couleur fétiche. Vraiment, avec le rouge.

Interview complète sur Spotify, Apple podcast, Anchor et mon site web www.sgresilience.eu


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Bonjour Sabine, je vais me présenter avec grand plaisir et d'abord merci de m'inviter sur votre podcast. Je m'appelle Régine, j'ai 48 ans, je vis et je travaille près de Reims depuis 20 ans. J'ai grandi en Moselle et près de chez vous, à Metz. Alors si je dois me présenter, me raconter un peu en quelques mots, je ne peux pas ne pas parler de ma passion pour l'art puisqu'elle a guidé toute ma vie. Tous mes grands choix de vie.

Ma passion pour l'art a toujours été présente. Et si bien que lorsque j'étais au collège, il a fallu s'orienter. Le choix est vite fait. Moi, je voulais faire un métier qui dans lequel je serais en contact permanent avec l'art. C'était ça et rien d'autre, j'ai fait une filière A 3 à l'époque avec l'art plastique et philosophie. Je suis partie ensuite à la fac d'arts plastiques à Strasbourg. J'ai fait une maîtrise. Je me suis dirigée vers l'enseignement, donc j'ai passé le CAPES.

Je l'ai eu en 99 et depuis, j'enseigne les arts plastiques en collège et c'est un métier dans lequel je m'épanouis parfaitement. En parallèle, j'ai également poursuivi une pratique artistique, celle dont vous parliez il y a deux minutes.

Alors des femmes nues en rose, non, mais des corps, oui. J'ai commencé alors mon travail. En fait, c'est une immense série. J'ai toujours peint des corps.

Ça a commencé lorsque j'étais en maîtrise. Je vous disais tout à l'heure que je. À ce moment-là, j'ai eu un déclic et c'est là que tout a commencé. Et j'ai pendant longtemps peint des décors non sexués, on va dire, est plutôt monstrueux. Pas du tout aussi figuratifs qu'aujourd'hui. Une dizaine d'années, peut être que je peins des femmes. Finalement, ma démarche s'est affinée. Il s'est précisé Et donc, aujourd'hui, je peins des corps de femmes nues essentiellement et exclusivement des femmes.

Le rose, c'est devenu ma couleur de prédilection pour un tas de raisons. Mais non, ça n'a pas toujours été le cas.

Ce qui est devenu de plus en plus clair au fil des années, c'est que ce qui m'intéressait dans la peinture des corps, notamment féminins, c'était une réflexion sur la féminité. Qu'est-ce que la féminité ? Dans sa complexité et dans son ambiguïté, dans ses contradictions ? Et c'est ça qui m'anime, en fait. Dans Ma peinture et le rose, j'ai aussi une passion pour le rouge quand même. Mais le rose, plus particulièrement dans toutes ses nuances, dans toutes ses valeurs, me permettent, je trouve, d'évoquer de multiples aspects de la féminité, aussi bien positifs que négatifs, et bien plus que tout autre couleur.

Le rose, c'est bien sûr la couleur de la féminité. C'est la couleur de la chair, une couleur qui est forte à tout point de vue. Ma couleur fétiche. Vraiment, avec le rouge.

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