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    Combien de fois par jour doit-on normalement aller aux toilettes ?

    Combien de fois par jour doit-on normalement aller aux toilettes ?

    Notre rythme biologique n’est pas le seul à conditionner la fréquence à laquelle nous allons aux toilettes. Des éléments externes ou internes peuvent également influencer nos besoins d’uriner et de déféquer. Pour identifier les situations pathologiques, il est utile de connaitre les normes habituelles en la matière.
    Fréquence normale pour uriner
    La fréquence de miction, qui est l’action d’uriner, varie considérablement d’une personne à l’autre. Elle est comprise entre 4 et 8 fois par jour. Mais un apport hydrique élevé augmente naturellement le nombre de visites aux toilettes. Certains aliments diurétiques peuvent aussi influencer la fréquence de miction : c’est le cas du concombre, de l’aubergine, du céleri ou de l’artichaut.
    Avec l’âge, des changements surviennent au niveau de la capacité de contenance et de rétention de la vessie. La santé de la prostate joue aussi un rôle majeur dans la fréquence des mictions. Certaines variations reviennent dans des conditions particulières. Les gens tendent ainsi à uriner plus fréquemment par temps froid, ou lorsqu’ils ont une activité physique qui amplifie la dynamique des fluides corporels.
    Fréquence normale pour déféquer
    La norme en termes de selles se situe entre 3 fois par jour et 3 fois par semaine. Cette large fourchette reflète la diversité des activités intestinales saines. Un régime alimentaire riche en fibres, par exemple, augmente la fréquence des selles et facilite leur passage. L’hydratation joue aussi un rôle clé dans la consistance des selles. Si la personne ne s’hydrate pas assez, elle peut connaitre des épisodes de constipation et déféquer moins souvent.
    Les jeunes enfants et les bébés ont souvent des selles plus fréquentes. À l’inverse, les personnes âgées expérimentent une diminution de la fréquence des selles, due au ralentissement du métabolisme et à la baisse de l’activité physique. Certaines conditions médicales comme le syndrome du côlon irritable causent de la constipation ou de la diarrhée, modifiant les habitudes intestinales.
    Ce qui affecte les fréquences normales
    La prise de médicaments impacte souvent la qualité du transit. Les laxatifs et diurétiques, par exemple, augmentent la fréquence des visites aux toilettes. Les complémentations en fer tendent plutôt à constiper. Le stress est un facteur connu d’affection de la digestion. Il bloque ou accélère le transit, menant à des bouleversements des habitudes d’élimination.
    En cas de maladie, il est également courant que la personne aille moins souvent ou plus souvent aux toilettes. Cet impact se trouve encore plus marqué lors d’infections urinaires ou de troubles gastro-intestinaux.
    Pour finir, l’équilibre hormonal peut aussi influencer les systèmes urinaires et digestifs. Pendant la grossesse ou la ménopause, il n’est pas rare que les femmes expérimentent des désordres dans leurs habitudes de miction et de défécation.


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    • 2 min
    Pourquoi certains légumes sont meilleurs pour la santé en conserve que frais ?

    Pourquoi certains légumes sont meilleurs pour la santé en conserve que frais ?

    Les recommandations de Santé Publique France en termes de nutrition préconisent 5 portions de fruits et légumes par jour. Mais avec l’inflation, les végétaux frais ont vu leur prix augmenter considérablement. Ils ne sont d’ailleurs pas toujours faciles à intégrer dans les repas quotidiens, car une bonne partie d’entre eux nécessitent d’être épluchés, coupés et souvent cuits. Les conserves jouent donc un rôle crucial dans l’accès égalitaire à des légumes de qualité, bons pour la santé, pour le portefeuille et pour les papilles.
    L’impact de la conservation sur le profil nutritionnel des légumes
    La mise en conserve des légumes implique généralement la stérilisation des aliments. Cette procédure élimine les micro-organismes et s’accompagne d’ajout de conservateurs comme le sel ou le vinaigre. Les légumes restent ainsi comestibles pendant des mois, voire des années, sans perdre significativement en valeur nutritionnelle.
    Malgré ce que l’on pourrait croire, les légumes en conserve maintiennent des niveaux élevés de vitamines et de minéraux. La mise en conserve peut même améliorer la disponibilité de certains nutriments. Par exemple, le chauffage augmente la quantité du lycopène dans les tomates, un antioxydant précieux pour lutter contre le vieillissement cellulaire.
    La dégradation rapide des légumes frais
    Même si des légumes ultra-frais regorgent de vitamines, ils perdent rapidement de leurs atouts nutritionnels entre la récolte et la consommation. Le transport de longue durée, la manipulation et le stockage contribuent à la perte de nutriments. Au contraire, les légumes en conserve sont traités et emballés rapidement après la récolte, ce qui minimise cette dégradation. Ce moindre délai permet aux producteurs de sélectionner des légumes goûteux et matures, contrairement aux légumes frais qui sont généralement cueillis avant d’atteindre leur plein potentiel.
    Des avantages spécifiques pour les conserves
    Les études montrent que la mise en conserve préserve et, parfois, augmente la teneur des légumes en nutriments essentiels. La cuisson préalable des légumes facilite aussi leur digestion. L’organisme absorbe mieux les fibres et les protéines qu’ils contiennent. C’est d’autant plus le cas pour les pois, les haricots et les carottes. D’ailleurs, la cuisson des carottes avant la mise en conserve améliore la disponibilité de la bêta-carotène ou vitamine A. Celle-ci aide le système immunitaire à rester performant, et est également impliquée dans le fonctionnement de la vision.
    Considérations pratiques
    La commodité des conserves favorise leur utilisation par rapport aux légumes frais. Disponibles toute l’année, les légumes en conserve aident à diversifier l’alimentation. Ils se conservent longtemps, réduisant le gaspillage alimentaire. Prêts à l’emploi, ils limitent aussi le temps de préparation en cuisine.


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    • 2 min
    Comment la qualité du sommeil influence la libido ?

    Comment la qualité du sommeil influence la libido ?

    Le sommeil et la libido constituent deux pans fondamentaux du bien-être. Leur interrelation reste cependant méconnue. La qualité des temps de repos affecte en effet directement le désir et la capacité à avoir des relations sexuelles.
    Quelques bases biologiques
    Le sommeil, divisé en plusieurs cycles, comprend des phases de sommeil profond qui favorisent la récupération physique. Le sommeil paradoxal, lui, s’avère essentiel à la consolidation de la mémoire et à la régulation des émotions. Mais le sommeil influence aussi la production d’hormones diverses. Parmi elles, la testostérone et les œstrogènes se trouvent très impliquées dans la libido masculine et féminine. Elles conditionnent aussi bien le désir sexuel que les comportements reproductifs et la santé globale.
    Sommeil et libido : impact direct
    D’après les études menées sur la question, les individus qui dorment moins de 7 heures par nuit rapportent couramment une baisse de leur désir sexuel. Celle-ci s’accompagne d’une diminution de la fréquence des activités sexuelles. La perturbation de la production hormonale liée à un manque de sommeil induit donc une baisse de la libido significative.
    Au contraire, un sommeil de bonne qualité régule les hormones de stress telles que le cortisol. De façon générale, la production hormonale se montre plus efficace. Le sommeil réparateur améliore aussi l’humeur et l’énergie, deux facteurs susceptibles d’accroitre le désir et la capacité à avoir des rapports sexuels satisfaisants.
    Conséquences psychologiques du manque de sommeil
    Au-delà des implications physiologiques, le manque de sommeil a un impact profond sur l’humeur. Il accroit le stress, l’anxiété et les symptômes dépressifs. Ces états psychologiques affectent potentiellement la libido en réduisant l’intérêt pour les activités sexuelles.
    Le maintien d’un sommeil adéquat favorise quant à lui la régulation des émotions et de l’humeur. Il renforce aussi la connexion intime avec le partenaire grâce à de meilleures dispositions mentales.
    Facteurs interactifs
    Certaines habitudes de vie influencent la qualité du sommeil et, par rebond, la libido. L’alimentation équilibrée contenant tous les nutriments essentiels au corps soutient un cycle de sommeil sain. L’exercice régulier favorise aussi la meilleure qualité de sommeil.
    La consommation importante de café et d’alcool tend plutôt à l’effet inverse en perturbant le déroulement normal des cycles réparateurs. Par ailleurs, l’alcool en excès est connu pour son action négative sur le fonctionnement sexuel masculin.
    Enfin, les bonnes conditions d’endormissement – au calme, dans le noir et à heure régulière – soutiennent la qualité du sommeil et, par conséquent, celle de la libido.


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    • 2 min
    Pourquoi les cleptomanes ne peuvent pas s'empêcher de voler ?

    Pourquoi les cleptomanes ne peuvent pas s'empêcher de voler ?

    La cleptomanie se définit comme une incapacité récurrente à résister à l’envie de voler des objets. Cette pathologie se distingue des vols ordinaires par le fait que la personne ne présente ni besoin réel, ni intention de profit. Les objets volés sont d’ailleurs souvent de faible valeur. Comment expliquer que les cleptomanes subissent cette impulsion qui leur cause de la détresse, de la honte et de la culpabilité ?
    Ce qui définit la cleptomanie
    Un cleptomane est obsédé par le fait de voler. Il subit régulièrement des pulsions incontrôlables qui mènent à un comportement compulsif de prendre des objets appartenant à d’autres personnes. À partir du moment où la personne ressent le désir de voler, la tension monte en elle de façon croissante. Elle finit par succomber à la tentation du vol, même si les objets s’avèrent sans utilité réelle pour elle. Parfois, elle restitue elle-même le produit de ses vols, soumise à un fort sentiment de culpabilité et de honte.
    Facteurs psychologiques
    Il est courant que la cleptomanie soit associée à d’autres troubles psychiatriques. Par exemple, les individus touchés par la dépression peuvent trouver une échappatoire temporaire à leur tristesse et leur sentiment de vide en volant. Les personnes qui souffrent de TOC, troubles obsessionnels compulsifs, ressentent des compulsions assez similaires aux cleptomanes. Elles peuvent cumuler les deux pathologies, ou alterner entre l’une et l’autre.
    État neurologique et cérébral
    Le déséquilibre neurochimique de l’organisme est fortement impliqué dans le développement de la cleptomanie. La sérotonine et la dopamine, deux neurotransmetteurs qui régulent l’humeur et les comportements, contribuent ainsi aux pulsions de cleptomanie. Un faible taux de sérotonine augmentée la réactivité au stress et abaisse l’inhibition qui retient de passer à l’acte. Des anomalies dans la voie de la dopamine peuvent rendre le vol plus gratifiant pour la personne, qui va alors rechercher cette récompense plus souvent.
    Les scientifiques ont aussi identifié des anomalies de structure et de fonctionnement du cerveau chez les cleptomanes. Ces anomalies touchent les zones liées à la prise de décision et au contrôle des impulsions, comme le cortex préfrontal ou l’amygdale. Ces régions s’avèrent essentielles pour évaluer les conséquences d’un acte et réguler des comportements sociaux inadaptés. Quand elles fonctionnent mal, elles induisent une moindre capacité de la personne à modifier son comportement de vol.
    Facteurs environnementaux et génétiques
    La cleptomanie est plus fréquente chez les personnes qui présentent des ascendants souffrant de dépendances ou de troubles impulsif. La composante génétique et l’apprentissage comportemental dans la famille jouent donc un rôle important dans la transmission de ce trouble.
    Le stress, les traumatismes et les expériences de vie difficiles participent aussi à déclencher ou exacerber la cleptomanie.


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    • 2 min
    Pourquoi y a-t-il de plus en plus de cancers chez les jeunes adultes ?

    Pourquoi y a-t-il de plus en plus de cancers chez les jeunes adultes ?

    Cela fait maintenant 30 ans que les diagnostics de cancers chez les jeunes adultes augmentent. Cette observation valable à l’échelle mondiale soulève des questions majeures sur les facteurs qui contribuent à la montée des cas. Elle exige également de mettre en place des stratégies de prévention et de détection précoces pour les publics les plus à risque.
    Tendances épidémiologiques
    Depuis 1990, le nombre d’adultes de moins de 50 ans diagnostiqués avec un cancer a augmenté de 79%. La hausse concerne plus précisément certains types de cancers, comme le cancer du sein, de la trachée et de la prostate. Bien que les techniques modernes permettent de dépister plus efficacement les cancers, y compris à des stades précoces, les avancées technologiques n’expliquent pas pourquoi autant de jeunes adultes sont concernés par l’augmentation des diagnostics.
    L’incidence du cancer varie par ailleurs d’une région à l’autre. En Amérique du Nord et en Europe occidentale, les taux s’avèrent beaucoup plus élevés. Ces disparités suggèrent que des facteurs environnementaux et liés au mode de vie ou à la santé publique pèsent aussi dans la prévalence des cancers chez les jeunes adultes.
    L’enjeu d’un tel changement se manifeste au niveau des systèmes de santé. La demande croissante de soins oncologiques adaptés à une population jeune implique de complètement réorganiser les ressources affectées aux patients atteints d’un cancer.
    Les facteurs de risques possibles
    L’une des pistes expliquant cette situation concerne le mode de vie. Les régimes alimentaires riches en viande rouge et en sel, courants en Europe et en Amérique du Nord, sont liés à un risque accru de certains cancers. La consommation moindre de fruits et de produits laitiers va également dans ce sens. D’autre part, l’alcool et le tabac restent une préoccupation majeure, en tant que facteurs de risques bien documentés pour divers cancers.
    En parallèle, le surpoids, le taux élevé de glycémie et le manque d’exercice physique contribuent à aggraver le risque de cancer. Ces conditions s’observent de plus en plus chez les jeunes adultes et provoquent inflammation chronique, déséquilibre hormonal et autres dysfonctionnements métaboliques. Ces terrains s’avèrent particulièrement propices au développement de tumeurs cancéreuses.
    Le poids de l’environnement
    Dans les pays développés ou les grandes villes des régions pauvres, la pollution de l’air expose les habitants à des particules fines et des polluants organiques persistants. Leur inhalation régulière augmente les risques de cancers des poumons ou de la trachée. De même, l’usage répété de produits chimiques au travail ou à la maison participe à cette hausse du risque.
    Conjointement à ces expositions externes, des perturbations du microbiome intestinal jouent sur la santé générale et le risque de cancer. L’usage excessif d’antibiotiques peut par exemple affaiblir considérablement la flore intestinale, donc le système immunitaire.
    La multitude de facteurs liés à la hausse des cancers chez les jeunes adultes fournit de nombreuses pistes pour établir une prévention efficace et ciblée de ces maladies graves.

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    • 2 min
    Syndrome de l'auto-brasserie : comment peut-on être ivre sans consommer d'alcool ?

    Syndrome de l'auto-brasserie : comment peut-on être ivre sans consommer d'alcool ?

    Il s’agit d’une condition médicale rare et assez surprenante. Le syndrome de l’auto-brasserie concerne des personnes qui, sans avoir consommé une seule goutte d’alcool, se retrouvent en état d’ébriété. Un test d’alcoolémie indique alors la présence d’éthanol dans le sang, alors que l’entourage peut attester que l’individu n’a pas bu de boisson alcoolisée. Cette anomalie métabolique s’explique par une fermentation anormale de levures dans l’intestin.
    Le syndrome de l’auto-brasserie
    Dans le cas du syndrome de l’auto-brasserie, une fermentation se produit dans le système digestif, qui transforme le sucre en alcool. Concrètement, des levures ou d’autres micro-organismes agissent sur les glucides présents dans l’intestin et les fermentent en alcool éthylique. Lorsque la dose d’alcool est suffisamment élevée, l’individu ressent les symptômes de l’ébriété.
    La plupart de ces symptômes sont les mêmes qu’en cas d’ivresse alcoolique. Ils comprennent des troubles de l’équilibre et de la parole, une grande fatigue, des migraines et un état de désorientation notable. Sur le long terme, le syndrome de l’auto-brasserie menace la santé du foie et de l’état mental de façon identique que pour les personnes qui boivent régulièrement de l’alcool.
    Causes et facteurs de risque
    La fermentation inhabituelle implique généralement des levures et des champignons, comme Candida, un micro-organisme naturellement présent dans le système digestif. Si l’activité normale de ces organismes ne pose pas de problème, elle devient plus gênante quand elle dépasse les taux classiques. Certains facteurs influencent en particulier le développement des levures et champignons intestinaux.
    Un régime alimentaire riche en sucre fournit par exemple beaucoup d’énergie à ces levures, qui peuvent alors fermenter et se multiplier davantage que de coutume. Les perturbations de la flore intestinale qui suivent la prise excessive d’antibiotiques contribuent aussi à détruire les bonnes bactéries. Ces dernières contrôlent habituellement la croissance des levures. En leur absence, les micro-organismes se développent sans limite.
    Pose du diagnostic
    La rareté du syndrome de l’auto-brasserie rend son diagnostic complexe. Les médecins peuvent utiliser une combinaison de tests de tolérance au glucose et des analyses de sang ou d’urine pour détecter la présence d’alcool. Mais, comme les symptômes évoluent fortement selon le régime alimentaire de la personne, la pose du diagnostic nécessite généralement une observation prolongée et des évaluations répétées.


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