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LA TECH TOUS LES JOURS A 6H30 PéTANTE !

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    • Technology

LA TECH TOUS LES JOURS A 6H30 PéTANTE !

    J’ai mangé !

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    • 2 sec
    Facebook Vs MBS

    Facebook Vs MBS

    Facebook supprime des centaines de comptes de propagande en lien avec le gouvernement saoudien...

    • 2 min
    20HTECH S2E5 : Des backdoors dans les iphones ?

    20HTECH S2E5 : Des backdoors dans les iphones ?

     

    La société israélienne Cellebrite a révélé qu’elle était désormais en mesure de déverrouiller tous les iPhone d’Apple, meme la derniere mise ajour iOS 12.3.

    Si Cellebrite a tendance à rester discrète sur ses activités professionnelles, l’entreprise prend parfois la parole pour évoquer ses progrès concernant l’évolution de ses outils.

    Pour rappel, ces derniers permettent de déverrouiller et d’extraire les données de nombreux modèles de smartphones, une fonction qui peut être très utile aux forces de l’ordre.

    Cette fois-ci, Cellebrite a annoncé qu’elle était capable de déverrouiller n’importe quel terminal fonctionnant sous iOS, allant de la version 7 jusqu’à 12.3, soit la version la plus récente du système d’exploitation d’Apple. 

    De la même manière, elle pourrait aussi extraire les données de smartphones Android récents et haut de gamme, dont le Samsung Galaxy S9.

    Sur son site web, Cellebrite ajoute que sa nouvelle solution exploite 

    « des algorithmes sophistiqués qui minimisent les tentatives de déverrouillage d’un appareil » et qu’elle peut « effectuer une extraction médico-légale du système de fichiers complet ».

    Cellebrite indique aussi quelle peut Accédez à des données d’applications tierces, à des conversations de chats, à des emails et des pièces jointes téléchargées, à du contenu supprimé.

    Pour rappel, Apple a annoncé l’an dernier qu’elle était désormais en mesure de neutraliser les boîtiers GrayKey, des outils similaires à ceux de Cellebrite. 

    Comme une réponse qui aurait mis quelques mois à arriver, cette dernière riposte donc en annonçant qu’elle a une longueur d’avance sur la marque à la pomme.

    Comme pour ses précédents outils, Cellebrite proposera sa dernière solution directement sur son site de façon à ce que les autorités puissent le louer et l’acheter pour l’utiliser elles-mêmes. Une pratique qui n’est pas sans risque puisque cela augmente les chances que ces outils tombent entre de mauvaises mains. Il y a quelques mois, certains boîtiers de Cellebrite, utilisés entre autres par le FBI pour extraire des données des smartphones, se sont retrouvés en vente sur eBay pour des sommes allant de 100 à 1 000 dollars à peine.

    Huawei Vs silicon-valley: A quoi jouent-ils ?

    Huawei Vs silicon-valley: A quoi jouent-ils ?

     

    Catastrophe en vue chez Huawei, les ventes divisées par deux ?

    Les problèmes américains de Huawei vont affecter les ventes du constructeur en dehors du marché chinois.

    Huawei a été ajouté sur la liste noire des sociétés chinoises bannies des États-Unis et avec lesquelles les entreprises américaines (dont Google et sons système d’exploitation Android) n’ont plus le droit de collaborer. Si la division smartphones de Huawei survivra certainement à cette décision de l’administration Trump, il est clair qu’il y aura des conséquences sur les ventes de l’entreprise. Huawei a d’ailleurs revu ses ambitions, qui étaient de devenir numéro un mondial en dépassant Samsung dès 2020.

    Une chute des ventes jusqu’à 60% ?

    Pire encore, il semblerait que le second plus important constructeur de l’industrie du smartphone prévoirait de voir ses ventes à l’international (i.e. hors Chine) baisser de plus de la moitié. Pour le moment, il est encore trop tôt pour mesurer les conséquences de bannissement américain de Huawei. L’entreprise se préparerait toutefois à une baisse de 40 à 60 % de ses ventes en dehors de son pays d’origine.

    C’est du moins ce qu’indique aujourd’hui un article de nos confrères de Bloomberg, qui citent des sources proches du dossier. En 2018, Huawei a écoulé 206 millions de smartphones, et l’on estime que la moitié de ses ventes se faisaient encore en Chine. A cause des dernières sanctions de Washington, l’entreprise prévoirait que les ventes sur ce marché international baisseraient de 40 à 60 millions d’unités cette année. En France, les ventes auraient déjà enregistré une baisse de plus de 20% depuis le début du scandale.

    Huawei privé d’Android

    Étant donné que Google est obligé de couper les ponts avec Huawei, ce dernier ne pourra plus utiliser la licence Android de la firme de Mountain View. De même, il ne pourra plus installer les applications comme YouTube ou Gmail par défaut sur ses appareils. En raison de cette incertitude, les utilisateurs pourraient progressivement basculer vers d’autres marques.

    On notera cependant que de nombreuses rumeurs circulent déjà sur les alternatives que Huawei pourrait utiliser. D’après plusieurs sources, à défaut de licence Google, le constructeur pourrait dégainer un système d’exploitation baptisé HongMeng OS, qui supporterait les applications Android. En même temps, Huawei essaie également de convaincre des développeurs de proposer leurs applications sur l’AppGallery, une alternative au Play Store de Google qui est déjà présente sur les modèles Huawei (comme l’excellent P30 Pro).

    • 2 min
    Le scandal du robot Monsieur Cuisine Connect de Lidl

    Le scandal du robot Monsieur Cuisine Connect de Lidl

    Le robot Monsieur Cuisine Connect de Lidl dissimulerait un micro

    https://www.youtube.com/watch?v=vth4v22Ji6U

    Depuis sa sortie début juin 2019, le nouveau robot cuiseur multifonctions low cost de Lidl, Monsieur Cuisine Connect, ne cesse de faire parler de lui. Bousculades dans les magasins, rupture de stock, revente sur Internet à prix d'or : le robot n'est pas passé inaperçu. Mais deux Français qui s'amusaient avec son écran tactile ont découvert des éléments curieux. Avec l'aide de Numerama, qui publie son enquête ce jeudi, ces tests ont notamment révélé qu'un micro a été installé sur le robot sans que ce ne soit mentionné sur la notice. 

    C'est en essayant d'installer le jeu vidéo Doom sur le Monsieur Cuisine Connect qu'Alexis Viguié et Adrien Albisetti, deux internautes futés, ont remarqué que le clavier du robot était le même que celui d'Android, le système d'exploitation le plus utilisé au monde sur les smartphones et les appareils électroniques. Une découverte déjà faite par un utilisateur allemand qui avait réussi à "déverrouiller" l'interface Android de son robot, et qui l'avait ensuite utilisé en guise de tablette connectée.

    Mais ça n'est pas tout : un micro A ETE intégré à Monsieur Cuisine Connect, alors que sa présence n'est mentionnée nulle part. Le micro semble pourtant très bien fonctionner, à tel point que les deux Français ont même réussi à utiliser l'application de messagerie vocale Discord. 

    Le micro pourrait donc avoir été installé par défaut, sans que les utilisateurs de l'appareil en aient réellement besoin. Pourtant, en démontant le robot, Alexis Viguié et Adrien Albisetti ont découvert que le micro a été déporté volontairement sur le côté, en dehors de la tablette, par une extension mécanique. Le youtubeur allemand Gauster Haus avait fait les mêmes constations lorsqu'il avait filmé le démontage du robot en mai 2018. 

    Et lorsqu'on regarde le robot de l'extérieur, aucun doute possible : deux trous ont été percés des deux côtés de la ventilation, ils sont même visibles sur les photos promotionnelles (voir ci-dessous). 

    Y aurait-il des mises à jour incluant une commande vocale prévues à l'avenir ? Dans la notice de l'appareil, Lidl mentionne effectivement que l'appareil pourra faire l'objet de mises à jour logiciel automatiques, donc sans l'accord de l'utilisateur, comme le souligne Numerama. Alexis Viguié et Adrien Albisetti ont de plus remarqué que la tablette utilisée dans l'appareil tournait sur Android 6.0 avec des correctifs de sécurité datant de 2017. Monsieur Cuisine Connect a pourtant été commercialisé un an après que Google a sorti les dernières mises à jour de cette version de l'OS. Bien qu'aucune attaque n'ait été constatée pour le moment, cette vieille version d'Android rend le robot cuiseur vulnérable aux pirates.

    Lidl affirme que l'enseigne "ne veut et ne peut accéder au micro à distance". Elle confirme cependant la présence d'un micro dans la dernière version du Monsieur Cuisine Connect sortie le 3 juin dernier mais insiste sur le fait qu'il n'est pas actif "et ne peut être activé par le client que de façon fortuite". Lidl s'explique tout de même sur la présence de ce micro : "Cette option de microphone est installée dans la machine pour permettre des évolutions futures comme par exemple la commande vocale. L'activation de cette dernière fera l'objet d'une mise à jour et le client pourra opter ou non pour cette fonctionnalité", en précisant que le groupe ne souhaitait pas communiquer pour l'instant sur cette mise à jour. 



    https://www.youtube.com/watch?v=vth4v22Ji6U

    • 2 min
    AURORA: l'OS futur de huawei ?

    AURORA: l'OS futur de huawei ?

     

    Huawei s’intéresserait aussi à Aurora, un système d’exploitation mobile russe

    Aurora, EST un fork de Sailfish OS, développé en Russie, qui pourrait servir d’alternative à Android.

    Si Pékin et Washington ne trouvent pas un accord pour mettre fin à la guerre commerciale, Huawei pourrait être définitivement banni des États-Unis et privé des technologies américaines, dont les services de Google.

    De ce fait, le constructeur chinois pourrait donc se tourner vers son propre système d’exploitation, dont le nom serait HongMeng OS.

    Mais aujourd’hui, quelques médias évoquent également la possibilité que le constructeur utilise Aurora.

    Si vous n’en avez jamais entendu parler, c’est normal, puisqu’il s’agit d’un système d’exploitation peu utilisé dans le monde.

    Aurora a été développé en Russie et est un fork (une version hybride) de Sailfish OS, développé en Finlande par Jolla.

    En substance, d’après le média russe The Bell, un haut responsable de Huawei aurait récemment discuté de ce système d’exploitation avec le ministre russe chargé des télécommunications. 

    Huawei testerait même déjà le système d’exploitation Aurora sur certains de ses modèles.

    Pour le moment, il s’agit de rumeurs qui sont à prendre avec les pincettes d’usage. 

    Basculer vers un système d’exploitation comme Aurora (malgré tous les avantages du système d’exploitation Sailfish OS sur lequel il est basé) serait risqué pour Huawei. 

    Mais on peut également considérer l’hypothèse que si la majorité des smartphones Huawei utilisaient l’OS HongMeng développé par le constructeur chinois (qui supporterait les applications Android), celui-ci pourrait aussi installer Aurora OS sur certains modèles destinés aux pays comme la Russie.

    Récemment, nous avons appris que Huawei essaie d’encourager des développeurs à proposer leurs applications sur l’AppGallery, l’alternative au Google Play Store qui est déjà présent sur les modèles vendus par le constructeur (comme le P30 Pro).

    Pendant ce temps, Google essaierait de garder Huawei dans son écosystème. D’après d’autres rumeurs, la firme de Mountain View demanderait aux autorités américaines de permettre à celui-ci de continuer à collaborer avec Huawei. 

    fEn effet, pour Google, le véritable risque pour la sécurité nationale des États-Unis serait que Huawei se tourne vers son propre OS basé sur Android mais qui ne bénéficie plus des fonctionnalités de sécurité développées par Google.

    • 1 min

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