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You and The Night and The Music, journée spéciales, cartes blanches, réveillons, rencontres d'exception, célébrations musicales...
Tous ces moments uniques sont à vivre sur nos ondes !



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Emissions Spéciales TSFJAZZ

    • Música

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    LES SOIRÉES DE L'AMBASSADRICE #2

    LES SOIRÉES DE L'AMBASSADRICE #2

    On installe notre studio à l'Hôtel de Pontalba, la résidence officielle de l'Ambassadrice des États-Unis en France, Denise Campbell Bauer, en plein coeur du 8e arrondissement de Paris.
    Jon Hendricks sans armes sur les plages normandes, les jam sessions dans les bases des GI’s, Django qui s’apprête à retrouver Grappelli... 80 ans après, soirée spéciale Débarquement allié ce vendredi 12 avril à 19h à l’ambassade des Etats-Unis à Paris avec pour la partie musicale le Collectif Paris Swing, le clarinettiste Giacomo Smith et le trompettiste Ludovic Louis. Également à notre micro, l’universitaire Anne Legrand et le guitariste des Primitifs du Futur Dominique Cravic, directeur artistique de la collection Patrimoine des Productions Frémeaux.

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    • 2 h 2 min
    Centenaire de Sarah Vaughan : l'Abécédaire - Partie 5, U-Z

    Centenaire de Sarah Vaughan : l'Abécédaire - Partie 5, U-Z

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    • 9 min
    Centenaire de Sarah Vaughan : l'Abécédaire - Partie 4, P-T

    Centenaire de Sarah Vaughan : l'Abécédaire - Partie 4, P-T

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    • 8 min
    Centenaire de Sarah Vaughan : l'Abécédaire - Partie 3, K-O

    Centenaire de Sarah Vaughan : l'Abécédaire - Partie 3, K-O

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    • 7 min
    Centenaire de Sarah Vaughan : l'Abécédaire - Partie 2, F-J

    Centenaire de Sarah Vaughan : l'Abécédaire - Partie 2, F-J

    Née à Newark le 27 mars 1924, Sarah Vaughan aurait eu 100 ans cette année. TSFJAZZ célèbre à la fois une voix et une femme qui ont marqué le jazz moderne à travers un abécédaire qui retrace le parcours de celle qu'on surnommait Sassy, ou encore La Divine ..

    F comme Féminisme. Sarah Vaughan a été au cœur de deux biographies aux États-Unis, dont l'une, parue en 2018 sous le titre Queen of Bebop: The Musical Lives of Sarah Vaughan, a privilégié une lecture résolument féministe, et plus précisément Black Feminism, du parcours de la chanteuse. D'après l'historienne Elain M. Hayes, celle qu'on surnommait Sassy aura été une pionnière du "crossover", déjouant sans cesse, en passant d'un genre à l'autre, les stéréotypes de genre ou de couleur suscités par une voix féminine noire tout en subissant, notamment dans sa vie conjugale, les affres du patriarcat. Aspirant dans le même temps au respect qu'on témoigne envers les grandes cantatrices d'opéra, Sarah Vaughan aura ainsi été une chanteuse très politique, même si elle ne s'est jamais engagée publiquement pour telle ou telle cause.

    G comme George Treadwell. C'est en septembre 1946 que Sarah Vaughan épouse le trompettiste George Treadwell qui l'accompagnait au Café Society et qui devient bientôt son manager et directeur musical. C'est lui qui arrache Sarah Vaughan au be-bop pour la transformer en diva. Cours de diction, robes de scène, nouvelle dentition... Ainsi remodelée au regard des stéréotypes de l'époque, Sassy signe ses premiers succès sur le label Musicraft, comme par exemple It's Magic ou encore Tenderly. Dès la fin des années 40, et grâce à George Treadwell avec lequel elle sera en couple jusqu'à la fin des années 50, la chanteuse a changé de braquet. Plus aucun club new-yorkais n'a les moyens de se l'offrir, contrairement au label Columbia Records qui lui offre, toujours par l'intermédiaire de George Treadwell, un contrat en or en 1949.

    H comme Héritières. L'œuvre de Sarah Vaughan a si bien résisté à l'érosion du temps qu'elle a inspiré d'autres voix, à l'instar de la chanteuse Dianne Reeves qui, en 2001, consacrait tout un album à Sarah Vaughan sous le titre The Calling. Dans un tout autre registre, Amy Winehouse idolâtrait Sarah Vaughan, la citant nommément dans l'une de ses chansons, October Song, avant de reprendre sa version de Lullaby of Birdland. Cécile McLorin-Salvant a souvent également cité Sarah Vaughan parmi ses influences, tout comme Samara Joy, aussi mutine, joyeuse et sincère dans son rapport à la mélodie que son illustre devancière. 

    I comme I'll Wait and Pray. C'est le premier enregistrement de Sarah Vaughan, mais pas sous son nom. C'est en effet pour l'orchestre de Billy Eckstine qu'elle grave le 5 décembre 1944 I'll Wait and Pray, une ballade que John Coltrane revisitera également en 1960. Immédiatement séduit par cette performance alors qu'elle n'a que 19 ans, le critique et producteur Leonard Feather demande alors à Sarah Vaughan d'enregistrer, le 31 décembre de la même année, quatre autres morceaux mais cette fois-ci sous son nom, parmi lesquels East of The Sun ainsi qu'Interlude, une version vocale de A Night in Tunisia signée Dizzy Gillespie, qui accompagne la chanteuse.

    J comme John Malachi. Le pianiste John Malachi, qu'elle a connu dès ses débuts, va accompagner Sarah Vaughan de 1952 à 1954. C'est à lui qu'elle doit son diminutif, Sassy, qui signifie impertinente en français. Bel hommage à son indépendance d'esprit, mais aussi réminiscence, peut-être, d'un épisode plus trivial lors d'une tournée. Alors que Sarah Vaughan et John Malachi s'empressaient de ne pas rater un train en gare de Washington, le pianiste aurait voulu jouer les galants en tenant une porte ouverte pour que sa partenaire puisse passer, ce qui aurait fortement déplu à Sarah Vaughan,: "Pourquoi es-tu là à me regarder, idiot ?" lui aurait-elle répondu... C'est un DJ renommé de

    • 7 min
    Centenaire de Sarah Vaughan : l'Abécédaire - Partie 1, A-E

    Centenaire de Sarah Vaughan : l'Abécédaire - Partie 1, A-E

    A comme Apollo Theater. Il y a foule en ce mercredi d'automne 1942 à l'Apollo Theater, au cœur d'Harlem, où se déroule un concours de musique amateur assez réputé. Encouragée par des amis qui connaissent ses talents de musicienne, Sarah Vaughan s'est décidée à concourir même si sa mère, Adda, qui a contribué à sa formation musicale et qui est blanchisseuse à Newark, dans la banlieue de New-York, redoute l'ambiance quelque peu dissolue, dit-on, du côté de Harlem. Et pourtant, Sarah Vaughan triomphe devant un public exigeant en chantant Body & Soul. Elle remporte ainsi le prix d'un montant de 10 dollars, et surtout un engagement un peu plus tard dans l'orchestre de l'Apollo en première partie d'une certaine...

    B comme Black-out. Alors que sa performance de 1942 au concours pour amateurs de l'Apollo d'Harlem lui ouvrait une voie royale, les tout débuts de Sarah Vaughan ont fait l'objet d'un véritable black-out, et pour cause... Alors que le pianiste Earl Hines venait de l'engager dans son orchestre aux côtés de Dizzy Gillespie et Charlie Parker, la musique de cette formation n'a jamais pu se transmettre sur le plan discographique en raison d'un conflit assez sévère, de 1942 à 1944, entre le syndicat des musiciens et celui des disquaires... Et le syndicat des musiciens a répondu par la grève pure et simple des studios. Il n'y a donc aucun témoignage en cabine de cet orchestre. C'est seulement après la fin de cette grève en 1944, et dans le big band de Billy Eckstine, que la voix de Sarah Vaughan pourra enfin être enregistrée. 

    C comme Clifford Brown. C'était l'un de ses albums préférés. Le 18 décembre 1954, Sarah Vaughan signe une session historique avec le jeune trompettiste Clifford Brown qui se tuera un an et demi plus tard dans un accident de la route. La chanteuse venait alors de signer chez Mercury et sa division jazz, Emarcy, tandis que Clifford Brown enchaînait une série d'enregistrements avec de grandes chanteuses. Après Dinah Washington et avant Helen Merrill, il est vraiment au top aux côtés de Sarah Vaughan, à l'instar d'une version d'anthologie de Lullaby of Birdland, la composition de George Shearing, arrangée et orchestrée par Ernie Wilkins avec notamment Roy Haynes à la batterie, Paul Quinichette au ténor et Herbie Mann à la flûte.

    D comme Dualité. Dualité ou double jeu ? Très vite, Sarah Vaughan a adopté un mode de fonctionnement binaire: d'un côté, les enregistrements pour le grand public, et de l'autre, des enregistrements pour elle et son plaisir de musicienne de jazz. C'est surtout le label Columbia qui va exploiter à partir de la fin des années 40 cette facette glamour et pop star de celle qu'on surnomme Sassy, mais on trouve aussi, sur le même label, des enregistrements avec d'authentiques jazzmen, à l'instar de ce All Stars de 1950 où figure un certain Miles Davis. Même dualité en 1954 quand elle signe pour Mercury et sa division jazz, Emarcy. "Mon contrat pour Mercury, c'est pour la chanson populaire, dira-t-elle, Emarcy, c'est pour moi". Pari gagnant, même si le succès est un peu moins au rendez-vous à partir du début des années 60.

    E comme Ella Fitzgerald. Quand elle est engagée en 1ère partie d'Ella Fitzgerald à l'Apollo Theater, quelques mois avoir remporté le fameux concours de musique amateur, Sarah Vaughan est sensible aux recommandations de son aînée qui lui conseille d'attendre un peu avant de se lier par contrat à l'un des nombreux agents qui rodent désormais autour d'elle. Ceci étant, il n'y a pas que des agents qui stationnent à l'Apollo à cette époque. Les deux premiers employeurs de Sarah Vaughan, Earl Hines et Billy Eckstine sont également là... Quant à Ella Fitzgerald, elle retrouvera sa cadette des décennies plus tard à travers un bref duo sur l'album de Quincy Jones, Back on the Block, en 1989, notamment autour d'un réarrangement du célèbre morceau de Joe Zawinul, Birdland. Ce sera le dernier e

    • 7 min

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