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INSAS - Institut National Supérieur des Arts du Spectacle et Techniques de Diffusion de la Fédération Wallonie-Bruxelles
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Interview - XYZ – The City Hunter
Interview - XYZ – The City Hunter by INSAS
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Taxi
Elle roule, la nuit, dans Paris. Elle est taxi de nuit. Au détour des clients, du compteur et des heures qui défilent, elle se raconte.
L'exercice "Documentaire radiophonique" propose aux étudiants de seconde année théâtre de questionner leur rapport au réel en situation de captation. Cette réflexion entre l’être et le lieu considère le langage sonore comme médium de communication. -
Les oiseaux dans l'usine
Il y a trois générations. Il y a le travail comme fil conducteur. Il y a ma famille: mon grand-père , ma grand-mère et ma mère. Il y a Eran l'ouvrier et poète. Il y a d'un côté les ruines du passé et de l'autre la présente claustrophobie d'une usine. Il y a une rencontre. Un hommage. Des histoires. Une histoire. La leur. La mienne. La nôtre."
Réalisé par Lisa Sallustio.
L’exercice « Documentaire radiophonique » propose aux étudiants de seconde année théâtre de questionner leur rapport au réel en situation de captation. Cette réflexion entre l’être et le lieu considère le langage sonore comme médium de communication. -
Croquer la mort à pleines dents
Ce documentaire partait du projet de saisir l’une des plus grandes et inévitables mise en scène de l’existence : la mort. La réalité du terrain a transformé cet objectif. Ce documentaire est devenu l’histoire d’une rencontre avec la vie au plein cœur de la mort. La mort comme savoir faire interroge ici directement le savoir vivre de trois individus qui m’ont ouvert les portes de leur travail quotidien…
Réalisé par Fanny Lacrosse.
L’exercice « Documentaire radiophonique » propose aux étudiants de seconde année théâtre de questionner leur rapport au réel en situation de captation. Cette réflexion entre l’être et le lieu considère le langage sonore comme médium de communication. -
Au devant de nous
On marche vite, la tête en l'air ou les yeux roulant au rythme tyrannique de la valise vers le train soupirant. On marche au-devant de nous, rapide entre deux pays calmes. Nous aurons, une fois assis, une sensation éclair de surdité. Mais la mémoire des annonces, des mots qui fuient nous titille. Et je ressens comme l'envie de m'arrêter. De considérer les mille couloirs comme un lieu fixe, les mille gares en une seule. Ce que ça donne: l'infinie répétition des mêmes gestes, des mêmes sons, puis la découverte d'une certaine lenteur. La lenteur des sans-mouvement, des paresseux de la gare, de ceux qui n'entrent ni ne sortent de cet endroit où l'on ne fait qu'entrer et sortir. Des créateurs du lieu. J'ai la chance d'y voir du haut de mon perchoir sonore des danseurs, qui dansent dans le sens inverse de la ronde. Ce sont les blasés des annonces, auxquelles ils ne trouvent plus aucun sens. Ceux à qui il fallut apporter un piano pour satisfaire leur appétit d'existence. Ceux qui font chanter la gare, elle qui siffle d'habitude. Puis je découvre d'autres habitants, des visages marqués, des habitants aux allures de premiers hommes. Ceux pour qui la gare est lieu d'attente le jour, et devient traîtresse la nuit. Ils rêvent d'immobilité, que la gare enfin soit le pic solide en mer agitée, qu'elle ne soit plus le flou des photographes. Vision grotesque voire incompréhensible pour celui qui ne fait que passer, celui à la tête haute. C'est à ce moment que la nuit intervient, quand elle pousse dehors les visages pâles. Alors pour comprendre, il faut sortir.
Réalisé par Victor Rachet.
L’exercice « Documentaire radiophonique » propose aux étudiants de seconde année théâtre de questionner leur rapport au réel en situation de captation. Cette réflexion entre l’être et le lieu considère le langage sonore comme médium de communication. -
Dans le désert des grandes villes
Au cœur des grandes villes, entre le vagissement du fromager et le vacarme des sirènes, quelques femmes trouvent leur plénitude dans le silence.
Réalisé par Nina Blanc.
L’exercice « Documentaire radiophonique » propose aux étudiants de seconde année théâtre de questionner leur rapport au réel en situation de captation. Cette réflexion entre l’être et le lieu considère le langage sonore comme médium de communication.