Nathalie Cros-Coitton : « Le but d’une Top modèle est de devenir une égérie. ‪»‬ Tout Pour Réussir -

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Tout Pour Réussir, dix minutes d’interview avec Saad Merzak. Un retour sur la carrière d’une personnalité du monde médiatique, artistique ou économique, et les raisons de son succès. Aujourd’hui Saad reçoit Nathalie Cros Coitton,dirigeante de la plus grosse agence de mannequins en France, Women Management. Elle est également la présidente de la fédération des mannequins.

Bonjour Nathalie…Comment vous est venue cette passion pour l’univers de la mode ?

Cela a démarré très jeune puisque j’avais 18 ans…A l’époque il y avait des soirées au « Palace » où j’ai rencontré des gens…J’ai été fascinée par cet univers qui était très créatif avec des photographes, des stylistes, des gens très originaux et ça m’a tout de suite fasciné.

Dans les années 80…vous étiez plutôt organisatrice de festivals rocks…Comment passe-t-on de la musique à la direction d’une agence de mannequins ?

J’aimais beaucoup ce que je faisais avec les musiciens et d’un seul coup je me suis dit que je préférais écouter de la musique plutôt que de travailler dans cet univers. Finalement, j’ai intégrer le milieu de la mode et celui des agences de mannequins parce que je trouvais ce milieu très fun, très festif…très intéressant aussi car il y’avait beaucoup de gens très excentriques et originaux !

Quelles ont été les rencontres qui vous ont le plus marqué ?

Je vais rendre un hommage à Gérald Marie qui a été le premier à m’avoir engagé lors que j’avais 20 ans. Il était dirigeant de l’agence Elite. Il m’a très vite confié de très grandes mannequins et je suis même devenue sa directrice à 28 ans…Je le salue donc ! J’ai eu aussi la chance de travailler avec Hedi Sliman qui est quelqu’un de tellement brillant et qui m’a apporté beaucoup de choses.

Votre agence représente 600 mannequins en France. Qui sont vos principaux clients et vos mannequins les plus connus ?

Yves Saint Laurent, Chanel, Dior, Louis Vuitton…Je l’ai ai tous !!! Parmi les mannequins connus, nous avons Winnie Harlow, Anna Ewers, MariaCarla (Boscano), Jourdan Dunn, Natasha Poly et j’en passe…La liste est longue !

Quelle différence y’-a il en gérer la carrière d’un mannequin « Nobody » et celle d’une célébrité ?

Le « nobody » d’aujourdhui devient la célébrité de demain. Un mannequin qui débute…Et bien…il faut s’en occuper, lui apprendre le métier…Il faut le former, lui faire prendre les bons choix…Nous sommes très sollicités, il faut donc aussi bien négocier les contrats qui sont faramineux. Le but d’une Top modèle est de devenir une égérie. Il faut donc l’emmener tout doucement vers cela.

Dans toute votre carrière, quelle a été votre pire souvenir ?

Lorsque j’étais jeune, il m’est arrivé un jour où j’étais seule au bureau. Naomi Campbell appelle me demande un « Concorde » car elle avait loupé son premier avion « Conconrde ». Je ne savais pas quoi faire et j’étais en panique car il y’avait qu’un avion Concorde par jour. J’étais très paniquée…

Et votre meilleure souvenir ?

C’était lorsque je suis allé voir le défilé Yves Saint Laurent avec Béatrice Dalle devant la tour eiffel. Tellement magique et magnifique.

Aujourd’hui, quels sont les critères pour être sélectionné en tant que mannequin chez « Women management » ?

Au delà des critères physiques, effectivement il faut être grande…J’aime bien les mannequins qui racontent une histoire. J’aime bien les beautés qui ont charismatiques…Pour moi c’est primordial !

Avec l’ère numérique, vous leur demandez aussi leurs nombres de followers ?

C’est important aujourd’hui d’avoir une communauté avec pleins de followers. Lorsque nos mannequins n’en n’ont pas, on se bat pour leur en obtenir. Nous mettons en place des stratégies et nos équipes travaillent là dessus.

A quoi ressemble votre

Tout Pour Réussir, dix minutes d’interview avec Saad Merzak. Un retour sur la carrière d’une personnalité du monde médiatique, artistique ou économique, et les raisons de son succès. Aujourd’hui Saad reçoit Nathalie Cros Coitton,dirigeante de la plus grosse agence de mannequins en France, Women Management. Elle est également la présidente de la fédération des mannequins.

Bonjour Nathalie…Comment vous est venue cette passion pour l’univers de la mode ?

Cela a démarré très jeune puisque j’avais 18 ans…A l’époque il y avait des soirées au « Palace » où j’ai rencontré des gens…J’ai été fascinée par cet univers qui était très créatif avec des photographes, des stylistes, des gens très originaux et ça m’a tout de suite fasciné.

Dans les années 80…vous étiez plutôt organisatrice de festivals rocks…Comment passe-t-on de la musique à la direction d’une agence de mannequins ?

J’aimais beaucoup ce que je faisais avec les musiciens et d’un seul coup je me suis dit que je préférais écouter de la musique plutôt que de travailler dans cet univers. Finalement, j’ai intégrer le milieu de la mode et celui des agences de mannequins parce que je trouvais ce milieu très fun, très festif…très intéressant aussi car il y’avait beaucoup de gens très excentriques et originaux !

Quelles ont été les rencontres qui vous ont le plus marqué ?

Je vais rendre un hommage à Gérald Marie qui a été le premier à m’avoir engagé lors que j’avais 20 ans. Il était dirigeant de l’agence Elite. Il m’a très vite confié de très grandes mannequins et je suis même devenue sa directrice à 28 ans…Je le salue donc ! J’ai eu aussi la chance de travailler avec Hedi Sliman qui est quelqu’un de tellement brillant et qui m’a apporté beaucoup de choses.

Votre agence représente 600 mannequins en France. Qui sont vos principaux clients et vos mannequins les plus connus ?

Yves Saint Laurent, Chanel, Dior, Louis Vuitton…Je l’ai ai tous !!! Parmi les mannequins connus, nous avons Winnie Harlow, Anna Ewers, MariaCarla (Boscano), Jourdan Dunn, Natasha Poly et j’en passe…La liste est longue !

Quelle différence y’-a il en gérer la carrière d’un mannequin « Nobody » et celle d’une célébrité ?

Le « nobody » d’aujourdhui devient la célébrité de demain. Un mannequin qui débute…Et bien…il faut s’en occuper, lui apprendre le métier…Il faut le former, lui faire prendre les bons choix…Nous sommes très sollicités, il faut donc aussi bien négocier les contrats qui sont faramineux. Le but d’une Top modèle est de devenir une égérie. Il faut donc l’emmener tout doucement vers cela.

Dans toute votre carrière, quelle a été votre pire souvenir ?

Lorsque j’étais jeune, il m’est arrivé un jour où j’étais seule au bureau. Naomi Campbell appelle me demande un « Concorde » car elle avait loupé son premier avion « Conconrde ». Je ne savais pas quoi faire et j’étais en panique car il y’avait qu’un avion Concorde par jour. J’étais très paniquée…

Et votre meilleure souvenir ?

C’était lorsque je suis allé voir le défilé Yves Saint Laurent avec Béatrice Dalle devant la tour eiffel. Tellement magique et magnifique.

Aujourd’hui, quels sont les critères pour être sélectionné en tant que mannequin chez « Women management » ?

Au delà des critères physiques, effectivement il faut être grande…J’aime bien les mannequins qui racontent une histoire. J’aime bien les beautés qui ont charismatiques…Pour moi c’est primordial !

Avec l’ère numérique, vous leur demandez aussi leurs nombres de followers ?

C’est important aujourd’hui d’avoir une communauté avec pleins de followers. Lorsque nos mannequins n’en n’ont pas, on se bat pour leur en obtenir. Nous mettons en place des stratégies et nos équipes travaillent là dessus.

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