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Elle le méritait déjà après Katlyn Chookagian. Et après Rose Namajunas. Alors après Erin Blanchfield, dominée de A à Z sur 5 rounds fin mars à Atlantic City, il n’y a plus aucun débat. Manon Fiorot doit avoir sa chance pour le titre des -57 kilos de l’UFC. Il faudra patienter un peu et laisser passer le troisième opus entre Alexa Grasso et Valentina Shevchenko. Mais « The Beast » va bien avoir l’opportunité de devenir la première représentante tricolore, hommes et femmes confondus, à remporter le titre incontesté de la plus grande organisation de MMA. Pour évoquer cet avenir qui fait saliver, le RMC Fighter Club reçoit Aldric Cassata, coach de Manon Fiorot et du Boxing Squad. Où d’autres talents pourraient eux aussi rejoindre bientôt la célèbre organisation aux trois lettres.

On nous en avait promis monts et merveilles. Et on n’a pas été déçu. D’une densité folle avec 12 actuels ou anciens champions au programme, la carte de l’UFC 300 a tenu toutes ses promesses ce samedi soir dans la T-Mobile Arena de Las Vegas. Avec deux moments à jamais gravés dans le grand livre du MMA : Max Holloway qui termine sa masterclass de striking en éteignant Gaethje après l’avoir appelé à la bagarre au centre de la cage pour les 10 dernières secondes, Alex Pereira qui conserve sa ceinture des light heavyweight en mettant KO Jamahal Hill après avoir repoussé une offre de temps-mort de l’arbitre et avant une célébration iconique. Le RMC Fighter Club débriefe une soirée historique que les amoureux de MMA ne sont pas près d’oublier.

Dana White avait promis un événement « historique ». Sur les chiffres, difficile de lui donner tort. Douze actuels ou anciens champions, quasi que des combattants classés dans un top 15, quasi que des combats qui pourraient être un main event : le très attendu UFC 300, qui aura lieu ce week-end à Las Vegas, présente une densité rare. La carte est-elle à la hauteur des attentes ? Quels combats nous excitent le plus et pourquoi ? Le RMC Fighter Club fait les présentations d’un événement numéroté pas comme les autres, avec des focus sur les chocs Pereira-Hill, Gaethje-Holloway et Oliveira-Tsarukyan.

Elle passait un nouveau test en forme de demi-finale mondiale. Elle l’a passé avec les félicitations du jury. Manon Fiorot a dominé Erin Blanchfield pendant cinq rounds ce samedi soir à Atlantic City, en main event d’une UFC Fight Night, pour s’ouvrir la route vers un combat pour la ceinture des -57 kilos. Plus complète, à l’aise dans tous les compartiments, la Niçoise n’a laissé aucun doute sur sa supériorité sur l’Américaine. Et maintenant, direction le titre ! Le RMC Fighter Club débriefe la masterclass signée Manon Fiorot et se projette sur la suite pour celle qui est (encore plus) la représentante tricolore la plus proche du Graal de la ceinture UFC hommes et femmes confondus.

C’est le retour de l’enfant prodigue… et prodige. Sept ans et quinze jours après son dernier combat en France en pancrace, à une époque où le MMA allait encore attendre trois ans avant d’être légalisé dans notre pays, Salahdine Parnasse retrouve son public ce samedi dans la flambant neuve Adidas Arena de Paris pour le premier événement du KSW sur le sol français. Double champion de l’organisation polonaise, le combattant de la Atch Academy défend sa ceinture des -70 kilos face au Moldave Valeriu Mircea. Avant ce rendez-vous tant attendu par ses fans, le RMC Fighter Club reçoit la pépite du MMA français et son coach Boris Jonstomp pour raconter la construction sportive d’une étoile qui n’a pas fini de briller.

Il y a Manon Fiorot en main event à l’UFC pour une demi-finale avant la ceinture. Mais le sport de combat français va vivre un moment encore plus fort ce week-end : Arsen « Feroz » Goulamirian, seul boxeur français masculin champion du monde, défend sa couronne WBA des lourds-légers en main event d’une soirée Golden Boy Promotions en Californie face à un homme bien connu des amoureux du noble art, le Mexicain Gilberto « Zurdo » Ramirez. Un choc malheureusement trop dans l’ombre médiatique après un seul combat en plus de quatre ans pour Goulamirian. Mais le RMC Fighter Club ne pouvait pas passer à côté d’un rendez-vous rare pour la boxe tricolore.