23 min

Saison 2 #3 Benjamin Benmoyal Dans le rétro de la mode

    • Moda e beleza

Il a à peine 30 ans et pourtant Benjamin Benmoyal a déjà plusieurs vies derrière lui. Une vie de militaire en Israël où il servit en tant que parachutiste durant trois ans, près des frontières syriennes. Lors de cette expérience hors normes, où se côtoient sans arrêt la vie et la mort, le franco-israélien se rend compte de sa grande sensibilité et se promet de l’exprimer une fois son devoir accompli.
C’est donc à la mode que Benjamin choisit de dédier le nouveau chapitre de sa vie. Il se forme à la prestigieuse Central Saint Martins School à Londres où lui vient l'idée de lancer une ligne à base de bandes magnétiques, très remarquée. Il nous raconte son parcours insolite lors d'une conversation où il est question de tout sauf de politique.

3 phrases clés:

- 4'07: "Je connais le Maroc à travers le récit de mes grands-parents ou de mon père et via la culture qu'ils ont transposée à la maison. Il y avait toujours du monde pour manger ou dormir. C'est une culture très chaleureuse"

- 10'30: "Quand j'étais à l'armée, je voulais toujours en partir. Je ne suis pas pour la guerre. C'est extrêmement dur. J'étais commando parachutiste. On n'est pas prêt à ça à 18/19 ans. C'est quelque chose de pesant. Mais vivre au jour le jour nous a appris à apprécier les petits plaisirs de la vie"

- 15'27: "A Central Saint Martins School, j'ai appris ce qu'était la liberté. C'est grâce à cette école qui pousse les étudiants à développer un concept presque philosophique pour la création que j'en suis arrivé à tisser des bandes magnétiques. Je voulais recouvrer la naïveté perdue à l'armée. Les VHS de mon enfance représentent mon innocence"

Il a à peine 30 ans et pourtant Benjamin Benmoyal a déjà plusieurs vies derrière lui. Une vie de militaire en Israël où il servit en tant que parachutiste durant trois ans, près des frontières syriennes. Lors de cette expérience hors normes, où se côtoient sans arrêt la vie et la mort, le franco-israélien se rend compte de sa grande sensibilité et se promet de l’exprimer une fois son devoir accompli.
C’est donc à la mode que Benjamin choisit de dédier le nouveau chapitre de sa vie. Il se forme à la prestigieuse Central Saint Martins School à Londres où lui vient l'idée de lancer une ligne à base de bandes magnétiques, très remarquée. Il nous raconte son parcours insolite lors d'une conversation où il est question de tout sauf de politique.

3 phrases clés:

- 4'07: "Je connais le Maroc à travers le récit de mes grands-parents ou de mon père et via la culture qu'ils ont transposée à la maison. Il y avait toujours du monde pour manger ou dormir. C'est une culture très chaleureuse"

- 10'30: "Quand j'étais à l'armée, je voulais toujours en partir. Je ne suis pas pour la guerre. C'est extrêmement dur. J'étais commando parachutiste. On n'est pas prêt à ça à 18/19 ans. C'est quelque chose de pesant. Mais vivre au jour le jour nous a appris à apprécier les petits plaisirs de la vie"

- 15'27: "A Central Saint Martins School, j'ai appris ce qu'était la liberté. C'est grâce à cette école qui pousse les étudiants à développer un concept presque philosophique pour la création que j'en suis arrivé à tisser des bandes magnétiques. Je voulais recouvrer la naïveté perdue à l'armée. Les VHS de mon enfance représentent mon innocence"

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