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A la dérive avec Bertrand Manioc À la dérive

    • Music

On part à la dérive avec le réalisateur Bertrand Mandico 
Il m’a donné rendez-vous chez lui dans le 18eme à Paris. Il vit avec sa compagne et actrice fétiche, Elina Löwensohn. Ici les objets ont une âme : deux têtes de poupées rescapées d’un film, des os de baleine, des masques sacrés, un piano bastringue, une chouette à collier, des doudous massacrés, ses disques préférés. Ensuite on a déambulé direction Les puces de Saint Ouen vers la librairie de l’Avenue qui compte 150000 livres et 1km d’étagère.
Pour cette dérive surréaliste, Bertrand Mandico a convoqué ses deux amis, l’écrivain cinéphile et vidéaste Pacome Thiellement et la chanteuse Barbara Carlotti. Ensemble, on s’est perdu dans les livres, on a dansé sur du jazz manouche et sur un pied, chanté sur un piano en or. A la dérive avec 3 dandy déconfinés et bien coiffés, ça commence rue Championnet.
Il y avait un air de liberté, une joie d’être ensemble. Pour Barbara Carlotti, on a même trouvé un piano en or, un instrument précieux pour qu’elle chante « Les paradis perdus » de Christophe. On a finit chez le compositeur Pierre Desprat dans le 11ème, il était en pleine recherche musicale pour la BO du nouveau film de Bertrand Mandico.

On part à la dérive avec le réalisateur Bertrand Mandico 
Il m’a donné rendez-vous chez lui dans le 18eme à Paris. Il vit avec sa compagne et actrice fétiche, Elina Löwensohn. Ici les objets ont une âme : deux têtes de poupées rescapées d’un film, des os de baleine, des masques sacrés, un piano bastringue, une chouette à collier, des doudous massacrés, ses disques préférés. Ensuite on a déambulé direction Les puces de Saint Ouen vers la librairie de l’Avenue qui compte 150000 livres et 1km d’étagère.
Pour cette dérive surréaliste, Bertrand Mandico a convoqué ses deux amis, l’écrivain cinéphile et vidéaste Pacome Thiellement et la chanteuse Barbara Carlotti. Ensemble, on s’est perdu dans les livres, on a dansé sur du jazz manouche et sur un pied, chanté sur un piano en or. A la dérive avec 3 dandy déconfinés et bien coiffés, ça commence rue Championnet.
Il y avait un air de liberté, une joie d’être ensemble. Pour Barbara Carlotti, on a même trouvé un piano en or, un instrument précieux pour qu’elle chante « Les paradis perdus » de Christophe. On a finit chez le compositeur Pierre Desprat dans le 11ème, il était en pleine recherche musicale pour la BO du nouveau film de Bertrand Mandico.

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