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Info environnement, musiques du monde, ambiance Nature

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    Le problème des pandémies animales

    Le problème des pandémies animales

    La journaliste Lucile Leclair vient de publier un livre qui a retenu toute l’attention de Fréquence Terre. « Pandémies, une production industrielle », publié chez « Seuil-Reporterre ». Nous parlons là d’élevage industriel. Un élevage de plus en plus surveillé – et c’est paradoxal – où se développent de plus en plus de maladies et de pandémies. Les normes de biosécurité qui se sont mises en place après l’alerte de pandémie humaine issue de la grippe porcine H1N1 en 2009 ont finalement eu un effet inverse… Et même si aujourd’hui nous semblons avoir écarté le risque de transmission des maladies de l’animal à l’homme, ce sont des cheptels entiers, des milliers d’animaux qui sont éliminés à chaque alerte de contamination. Pour éviter que les animaux qui ne sont pas élevés dans de bonnes conditions ne tombent malades, nous les gavons d’antibiotiques… Que nous assimilons bien entendu lors de nos repas…puis nous les évacuons dans dans nos toilettes, ce qui finit irrémédiablement dans nos fleuves et nos océans… Peut-on dire que nous avons trouvé la solution ? C’est tout l’objet de l’enquête qu’a menée Lucile Leclair dans son ouvrage.

    La solution ? : l’agroécologie. Une technique d’élevage qui éloigne les animaux les uns de autres, qui favorise une production à petit échelle, qui multiplie les exploitations et les circuits courts. Tout le contraire d’un système intensif, concentré dans les mains de quelques industriels qui est à bout de souffle et qui n’est au final pas si productif.

    L’agroécologie est un modèle qui favorise l’installation de nouveaux éleveurs, de nouvelles exploitations, donc créatrice d’emplois.

    Dans notre podcast, Lucile Leclair nous explique l’absurdité du système de biosécurité. Elle dénonce les intermédiaires qui favorisent la propagation lors du transport des animaux de l’exploitation vers les abattoirs et les entreprises de transformation.



    Plus de renseignements sur l’autrice : Lucile Leclair

    • 5 Min.
    Algérie : de 1950 à aujourd’hui, récit du combat d’une vie

    Algérie : de 1950 à aujourd’hui, récit du combat d’une vie

    Fréquence Terre a profité de l’édition du livre co-écrit par Pierre Guelff et Larbi Adouane pour mettre en exergue un témoignage, celui de Larbi Adouane, retraité de l’éducation nationale Algérienne, participant invétéré aux marches du vendredi qui, à l’heure de ces écrits (le 29 nov 2019) en sont à leurs 41e édition.

    “Combats d’un humaniste algérien”, ce livre écrit à « quatre mains » reflète la situation très actuelle, où deux humanistes, l’un à Bruxelles, l’autre à Bejaia en Kabylie défilent dans les rues dans ces mouvements populaires emprunts de liberté et de bon sens.

    En faisant cette interview par Skype avec nos deux compères, je souhaitais en savoir plus sur ce qui à l’évidence était l’histoire d’une rencontre.

    Cela s’est traduit par le récit poignant d’un Algérien qui a avait 7 ans quand la guerre d’Algérie éclate pour se terminer aujourd’hui fin 2019…

    « A la fin de la guerre d’Algérie – nous dit Larbi Adouane – nous étions emprunts d’idéalisme, d’Humanisme, c’était l’époque d’Albert Camus, du communisme ! »

    « 1962 a finalement été une déchirure humaine immense »

    Pour finir par « Aujourd’hui, avec l’armée, c’est le même combat qui se retrouve ».

    Vous découvrirez également, dans ce récit vivant et plein de détails comment la radicalisation a fait son entrée dans le Lycée dont Larbi Adouane etait le proviseur. En 1994, un événement vient troubler les esprits.

    “Combats d’un humaniste algérien” de Larbi Adouane (Éd Champs-Élysées-Deauville)

    Larbi Adouane

    • 24 Min.
    Assises nationales des déchets de Nantes : bilan de la quinzième édition

    Assises nationales des déchets de Nantes : bilan de la quinzième édition

    Il y a un mois, nous présentions sur Fréquence Terre la tenue des 15e assises nationales des déchets de Nantes. Des assises organisées sous le mode associatif avec plusieurs « partie-prenantes » :



    * Ceux qui produisent les déchets (industriels, BTP, travaux publics, collectivités, particuliers…)

    * Ceux qui collectent les déchets (éco-organismes, collectivités, SEM..)

    * Ceux qui trient et valorisent (Véolia, Paprec, Séché…)

    * L’État qui donne des directives (Projet de loi sur l’économie circulaire par exemple…)



    Tout les acteurs de la filière se retrouvent donc pendant deux jours, tous les deux ans (à Nantes) pour faire le point sur les actions menées et les actions à engager pour optimiser la collecte et la valorisation des déchets que produisent les Français. (ouvre un nouvel onglet)

    Il y a donc un mois, j’avais interviewé Thierry Meunier, le président des Assises nationales des déchets, afin qu’il fasse pour nous un état des lieux, après 30 ans d’existence. Grand enseignement, il était d’accord pour dire que nous étions « au milieu du gué » et que tous les acteurs ramaient bien dans le même sens, ce qui était plutôt encourageant.

    A l’heure de cet article, les assises ont donc eu lieu (les 2 et 3 octobre 2019) et chacun est venu exposer ses avancées, faire part de ses difficultés, engager des réflexions sur le chemin qu’il reste à parcourir.

    C’est donc un bilan que j’ai demandé de faire à Thierry Meunier après ces deux jours intenses.

    Je vous propose ici une rédaction synthétique que je vous propose dans cet article. Le reste, plus complet et plus précis, est à écouter dans le podcast qui accompagne cette page.

    Premier constat, tout s’est bien passé. L’année 2019 était un bon cru, et il y avait bien plus de participants cette année, signe d’un engouement, signe aussi que la cause mobilise.

    Les grands chantiers de cette années : la responsabilité élargie du producteur (les écotaxes). Un chantier qui est déjà en place, mais qui tend à se développer sur de plus en plus de filiales. Les écotaxes se développent donc et tendent à se développer dans tous les secteurs de la consommation pour organiser sa filière de valorisation.

    Si tout se passe pour le mieux dans une nouvelle filière, celle des travaux public, il n’en va pas de même pour le où les acteurs ne semblent pas réussir à se mettre d’accord. Problèmes dans le recyclage du bois, le plastique et les vitres… C’est une filière dans laquelle il y a encore beaucoup d’efforts à faire  avoue Thierry Meunier.

    Les décharges sauvages coûtent chaque année entre 450 et 500 millions d’euros / an

    Pour ce qui est de l’avenir, Monsieur Meunier insiste sur le fait qu’il faille revenir aux fondamentaux. C’est un message qu’il a fait passer avec insistance lors des assises : il faut mobiliser… Le citoyen, mais aussi le citoyen en qualité de responsable dans une entreprise. Les déchets, nous en faisons en tant que citoyen, mais nous en faisons aussi dans notre activité économique, au travail.

    Il y a urgence à amplifier et continuer encore et encore à sensibiliser. A donner plus de pouvoir aux éco-organismes pour qu’ils sensibilisent. Il y a aussi urgence à faire mieux, à orienter notre consommation (pour faire moins d’emballages).

    Les fondamentaux, pour résumer, c’est la sobriété.

    Il faut aussi penser les produits en pensant à leur potentiel de valorisation. Donc des produits simples et faciles à recycler.

    Brune Poirson, la secrétaire d’État à l’écologie a elle aussi fait passer son message. Elle a rappelé le projet de loi sur l’économie circulaire, en insistant sur la consigne des bouteilles en plastique, dont tout le monde a entendu parlé il y a quelques mois.

    • 14 Min.
    Assises Nationales des déchets de Nantes – interview de Claire Estève

    Assises Nationales des déchets de Nantes – interview de Claire Estève

    Fréquence Terre reçoit à Claire Estève, ingénieure projet au service traitement des déchets de Nantes Métropole.

    A l’occasion des Assises Nationales des déchets qui se tiendront les 2 et 3 octobre prochain à Nantes vous allez co-animer une conférence sur les progrès en matière de valorisation énergétique.  Qu’est-ce que vous appelez « la valorisation énergétique » ?

    C’est tout ce que l’on peut valoriser, grâce à nos pratiques d’incinération des déchets, mais aussi en terme de méthanisation , également de production de combustible (combustibles solides de récupération) qui permettent entre autre chose de valoriser les refus de tri de collecte sélective, pour leur permettre d’avoir une seconde vie. Par exemple en combustible dans les cimenteries.

    En tant que particulier, quand on trie nos déchets, on a plusieurs catégories de déchets on est d’accord ? Tout ce que l’on ne sait pas vraiment recycler,  on le met dans une poubelle à part, ce sont nos déchets alimentaires. Et de l’autre côté il y a tout ce qui est recyclable – donc en général « la poubelle jaune » (plastiques, métaux…), et après on a les encombrants.

    Effectivement, il y a plusieurs modalités de tri de nos déchets.  Tout ce qui se retrouve dans les poubelles en général « bleues », l’ordure ménagère part à l’incinération. De cette incinération on produit de la chaleur. Donc une des formes de valorisation énergétique qui nous permet d’alimenter entre autre chose des réseaux de chaleur urbain permettant la production d’eau chaude et de chauffage dans les établissements publics et dans les collectifs à proximité des usines. Voilà une forme de valorisation.

     Donc on brûle et on relâche dans l’atmosphère des gaz pas très sains pour la santé ? Si je me souviens bien il y avait ce problème de dioxine dans pas mal de centrales. Il y a encore un procès qui a eu lieu au mois de mai à Melun.

    Par rapport à ça, la réglementation s’est extrêmement renforcée. Nous avons des suivis très stricts. Pour ce qui concerne tous les traitements des fumées qui sont issues de l’incinération des déchets.

    Le fait de brûler nos déchets produit des gaz qui sont relativement toxiques, comment sont-ils captés ?

    Clairement, on est sur des dispositifs de traitement des fumés qui sont des dispositifs soit « secs », soit « humides », qui permettent sur différentes étapes, d’arriver à des rejets quasi purs en haut de cheminée. Et sur ces cheminées nous avons également des analyseurs qui permettent en continu ou en discontinu d’avoir des relevés des analyses des gaz émis et donc un contrôle en permanence de la qualité de ses émissions.

     Vous confirmez que les scandales de la dioxine n’existeront plus ? (en France en tous les cas).

    Sur l’usine que nous suivons, je peux vous confirmer que nous mettons tout en œuvre pour avoir un suivi extrêmement méticuleux et une vigilance accrue sur ces sujets.

    La deuxième filière de valorisation c’était donc la poubelle jaune. Donc là on met nos plastiques en particulier, quelques métaux, les boîtes de conserve… Où est-ce qu’on en est sur le tri des poubelles jaunes ?

    C’est très inégal entre les villes… Certaines villes prennent certains composés d’autre en prennent d’autres on ne peut pas dire que c’est un tri « global ».

    La loi de transition énergétique a beaucoup aidé à l’harmonisation des pratiques dans ce domaine parce que d’ici 2022, nous allons mettre en œuvre à l’échelon national, l’extension des consignes de tri. Ce qui va permettre pour l’usager de n’avoir plus qu’une seule consigne de tri pour lui permettre, quel que soit son lieu de vie (de vacances par exemple), de ne plus se questionner sur ce qui doit intégrer ou non sa poubelle jaune.

    • 13 Min.
    Assises nationales des déchets, interview de Isabelle Martin, directrice de relations institutionnelles chez Suez recyclage et valorisation

    Assises nationales des déchets, interview de Isabelle Martin, directrice de relations institutionnelles chez Suez recyclage et valorisation

    Les assises des déchets ont lieu les 2 et 3 octobre prochain à Nantes, l’occasion de faire un point sur la façon dont nous gérons nos déchets en France.

     J’ai interviewé Isabelle Martin, directrice de relations institutionnelles chez Suez recyclage et valorisation. A l’occasion des Assises Nationales des déchets qui se tiendront donc les 2 et 3 octobre prochain vous allez animer une conférence sur les outils numériques au service de la gestion des déchets. De quoi parle-t-on ? C’est quoi ces outils numériques ?

     

    On est dans une société de plus en plus connectée, et pour les déchets et bien effectivement, les outils numériques vont nous aider… vont aider le citoyen à être de plus en plus connecté pour améliorer son geste de tri.

    Mais au-delà de ça, ça va nous aider également en tant qu’industriels, à mettre en place des outils qui vont pouvoir être plus performant.

    Par exemple sur la collecte des déchets on va pouvoir déployer des puces sur les bacs qui reçoivent les déchets de façon à mesurer les quantités de déchets à l’intérieur et optimiser les collectes et les tournées de collectes, ce qui va permettre de faire des gains et d’optimiser.

    C’est aussi utiliser toutes les données qui sont maintenant de plus en plus disponible à travers l’intelligence artificielle pour robotiser et détecter sur les bandes transporteuses de nos centres de tri les différents types de plastiques d’emballage, de façon à limiter les erreurs de tri et à préparer une matière de qualité supérieure à celle qu’on a aujourd’hui par exemple.

     

     Donc on ne parle pas trop d’applications mobiles, mais c’est plus le déploiement de l’intelligence artificielle au service du tri ?

     

    Il y a aussi bien évidemment tout ce qui concerne ce dont vous parlez, c’est-à-dire les applications services des bonnes pratiques. Ça, c’est déjà bien déployé. Si vous êtes un citoyen sur Paris par exemple, vous voulez savoir où il y a une déchetterie, vous pouvez effectivement vous connecter et vous aurez toutes les informations sur les horaires, les temps d’attente, les périodes d’influence, les déchets que vous pouvez déposer / pas déposer, si vous voulez faire enlever un encombrants, à quel moment… tout cela existe déjà.

    Il y a ces robots donc qui qui permettent de faciliter le tri, est-ce que vous pouvez nous expliquer d’où on est partis et où on va arriver avec ces nouvelles technologies au service des déchets ? Au départ on ne triait pas, puis est arrivé le tri sélectif « manuel » puis on a mis de l’informatique dans tout ça…

     Vous avez entièrement raison oui. Au départ le premier flux qu’on a séparé c’est le verre. Ça date déjà de 25 ans, mais ce sont des boîtes « des box » qui sont sur les trottoirs et petit à petit effectivement, on a mis en place, soit de la collecte sélective qui se fait au sein du ménage. Pour les ordures ménagères il faut le trier pour séparer les différentes matières.

    Il y a déjà plusieurs années (une vingtaine d’années, se sont développé les centres de tri. Dans les premiers centres de tri, on triait le carton du plastique et petit à petit, comme dans les plastiques il y a beaucoup de résines (il y a 5 résine majoritaire notamment le polyéthylène qui constitue pratiquement toutes les bouteilles) on les a amélioré avec des détecteur optiques… des soufflettes qui permettent aussi d’évacuer les déchets qui doivent pas rester dans le flux. Et derrière, on a toujours quand même du tri manuel pour corriger les erreurs qu’a fait la machine.

    Donc, comme on va avoir un déploiement sur 3 ans en France de l’extension des consignes de tri,  nous allons mettre dans le bac jaune d’autre matières comme les barquettes en plastique, les pots de yaourt, les enveloppes de de jambon etcetera..

    • 14 Min.
    Assises Nationales des déchets de Nantes – Interview de Thierry Meunier, son président

    Assises Nationales des déchets de Nantes – Interview de Thierry Meunier, son président

    Les assises Nationales des déchets de Nantes existent depuis 30 ans. Thierry Meunier, Président de l’association Assises nationales des déchets est l’invité de Fréquence Terre, il fait pour nous un tour d’horizon de toutes les pratiques de retraitement des déchets.

    Les Assises Nationales des déchets c’est un rendez-vous qui a lieu tous les 2 ans à Nantes et nous en sommes à la 15e édition cela fait donc 30 ans qu’association entreprise collectivité et représentant du gouvernement se rencontrent pour échanger, proposer des solutions et parler des problèmes rencontrés au quotidien sur le terrain.  Les assises des déchets c’est aussi l’occasion de donner des lignes directrices pour les années à venir.

    Thierry meunier, ces dernières années ont largement été consacré à la structuration du tri les citoyens ont constaté car ils ont été largement mis à contribution sur le tri sélectif où est-ce qu’on en est quel est le constat donc 30 ans plus tard ?



    « Si on parle du recyclage du verre en France,  c’est une solution qui a été mise en place il y a une trentaine d’années et qui fonctionne extrêmement bien.

    Si on prend le plastique, c’est un autre débat. Parce que quand on dit plastique ce sont des plastiques de nature différente. Les plastiques d’il y a 40 ans ne  sont pas les plastiques d’aujourd’hui. Et on a eu une invasion d’ailleurs de résines et de plastiques dans notre vie courante.

    C’est difficile de ne plus être addict au plastique, mais il va falloir le faire quand même de toute façon. Je crois que tout le monde a compris ça dans le cas de la pollution des fleuves, des rivières et des océans particulièrement. Là, les choses ont changé.

    Ce qui a changé ce sont les éco-organismes comme éco emballage qui a fait beaucoup,  puisque par le biais d’une une petite taxe à la fabrication et à la mise sur le marché on a pu alimenter un système pour faire de la prévention, de l’information du public et puis mettre en place des systèmes de prise en charge des produits en fin de vie pour pouvoir les réintroduire, ou en tout cas les éliminer de manière satisfaisante.

    La responsabilité des producteurs s’est largement développée depuis écoemballage. On a aujourd’hui plusieurs dizaines de filières encore en préparation.

    On n’est pas forcément sûr que ça soit toujours la solution, donc c’est aussi en débat dans le cadre de nos prochaines assises. Est-ce qu’il faut faire des REP pour tout ? C’est une question. Il y a des parties prenantes qui ont des solutions à proposer.

    Si on prend les filières bâtiment-travaux publics, où la masse des déchets est considérable (c’est la plus considérable en fait), les choses ont particulièrement évolué puis-qu’aujourd’hui la démolition est largement prise en charge et les produits valorisables sont triés. Il y a des plateformes de regroupement des travaux publics qui permettent de trier les déchets et les déchets amiantés s’il y en avait pour les mettre en lieu sûr et d’utiliser de réutiliser tous les matériaux. Donc on peut dire qu’on a beaucoup progressé.

    Je pense que la progression suivante concernera plutôt la consommation courante des ménages. Si on regarde les pourcentage de de produits collectés pour le recyclage c’est pas suffisant. On peut faire beaucoup mieux. Deux fois ou trois fois mieux si on arrive à convaincre l’ensemble de nos concitoyens.



    La collecte ne se fait pas de façon égale non plus selon la ville dans laquelle on habite. Une ville va prendre les pots de yaourt alors que la ville d’à côté ne va pas les prendre. On manque de repères !



    En 30 ans on a fait des centres de tri.  Des centres de tri qui était petit où on a fait de l’économie sociale et solidaire. Le côté « économie sociale et solidaire » est très import...

    • 12 Min.

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