371 épisodes

Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.

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Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.

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    Amine Benyamina - Exposition des enfants aux écrans: un rapport alarmant

    Amine Benyamina - Exposition des enfants aux écrans: un rapport alarmant

    C dans l'air l'invité du 1er mai 2024 - Amine Benyamina, psychiatre et co-président de la Commission écrans

    Ce mardi, les experts de la Commission écrans ont rendu un rapport à Macron sur l'exposition des enfants aux écrans et aux réseaux sociaux. Ils préconisent d'interdire l'usage des écrans aux enfants de moins de 3 ans et des réseaux sociaux aux moins de 15 ans. Ils parlent d'une "hyper connexion subie des enfants". Le rapport alerte sur "les stratégies de captation de l'attention des enfants" et les risques d'une surexposition des enfants aux écrans "pour leur santé, leur développement, leur avenir", mais aussi pour l'avenir "de notre société, notre civilisation". Les experts s’attardent sur le rôle des réseaux sociaux sur l'équilibre psychique des jeunes, notamment les risques de dépression ou d'anxiété.


    Pr Amine Benyamina, psychiatre et co-président de la Commission écrans mise en place par Emmanuel Macron en janvier nous détaillera le rapport. Selon lui, "c'est une économie de la captation. Les parents sont quasiment hors-jeu, face à un marché qui s'est imposé à la société".

    • 11 min
    Arme nucléaire : on la prête à l'Europe... vraiment ? - Vos questions sms

    Arme nucléaire : on la prête à l'Europe... vraiment ? - Vos questions sms

    C dans l'air du 1er mai 2024 - Arme nucléaire : on la prête à l'Europe... vraiment ?

    LES EXPERTS :
    - BRUNO TERTRAIS - Directeur adjoint de la FRS, conseiller géopolitique à l’Institut Montaigne
    - ELSA VIDAL - Rédactrice en chef de la rédaction en langue russe – RFI
    - ANNE NIVAT - Reporter de guerre, spécialiste de la Russie
    - GÉNÉRAL DOMINIQUE TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l’ONU, auteur de Ce qui nous attend (Robert Laffont)

    • 6 min
    Arme nucléaire : on la prête à l'Europe... vraiment ? - L'intégrale

    Arme nucléaire : on la prête à l'Europe... vraiment ? - L'intégrale

    C dans l'air du 1er mai 2024 - Arme nucléaire : on la prête à l'Europe... vraiment ?

    Les avancées sont subtiles mais réelles. Deux ans après le début de l'invasion russe en Ukraine, Moscou continue sa progression dans l'est du pays. Samedi, Kiev a confirmé avoir perdu "un tiers" du village d'Ocheretyne, au nord-ouest d'Avdiivka dans la région de Donetsk, à la suite de la dernière opération offensive russe. Non seulement les soldats au front manquent de munition depuis plusieurs mois, à cause de la lenteur des livraisons européennes, mais désormais l'Ukraine manque d'hommes. L'ancien commandant de l'armée Valerii Zaluzhny, estime notamment que le pays aurait besoin de 500 000 militaires pour tenir ses positions et assurer une rotation avec les soldats en première ligne. Début avril, Kiev a d'ailleurs fait voter une loi controversée sur la conscription militaire qui facilite le processus de recrutement des autorités et impose des sanctions contre les réfractaires, notamment ceux se trouvant à l'étranger. Rare bonne nouvelle pour le front ukrainien, Joe Biden a validé mercredi dernier l'envoi d'un premier paquet d’aide militaire d’un milliard de dollars (parmi les 61 milliards d'aide militaire adoptés par le Congrès), qui inclut notamment des projectiles capables d’atteindre des cibles situées à 300 kilomètres avec une rare précision.


    En matière de défense, Emmanuel Macron espère bousculer l'Union européenne. Dans un discours sur l'Europe à la Sorbonne, le président a dit vouloir créer une "Europe puissance" qui "se fait respecter", "assure sa sécurité" et reprend "son autonomie stratégique". Dans un entretien au groupe de presse régionale Ebra ce samedi, Emmanuel Macron est allé plus loin en soumettant l'idée d'inclure "l'arme nucléaire pour ceux qui l’ont ou qui disposent sur leur sol de l’arme nucléaire américaine." Une déclaration qui n'a pas manqué de provoquer l'ire de ses opposants politiques. "Sous couvert de défense du sol européen, Macron veut liquider l’autonomie stratégique française", a critiqué sur X le député LFI de Seine-Saint-Denis Bastien Lachaud. "Macron [était] en train de devenir un danger national." "Après l’arme nucléaire, suivra le siège permanent de la France au Conseil de sécurité de l’ONU qui sera lui aussi bradé à l’Union européenne", s'est alarmé l’eurodéputé RN Thierry Mariani. Depuis le retrait de la Grande-Bretagne de l'Union européenne, la France est le seul État membre de l'UE à disposer de l'arme nucléaire.


    En France, la loi de programmation militaire de 2024-2030 promulguée en août dernier a donné l'exemple avec un budget, qualifié d'historique, de 413 milliards d'euros. Parmi ses mesures, le doublement de la réserve opérationnelle qui compte actuellement 40 000 soldats, au même titre que les engagés, mais à temps partiel. En temps normal, les réservistes soulagent les personnels d'active pour leurs missions dédiées, par exemple l'opération Sentinelle. Mais avec le début de la guerre en Ukraine, leur rôle pourrait prendre une autre mesure.


    Combien de temps l'Ukraine peut-elle encore tenir le front ? La France peut-elle partager l'arme nucléaire avec d'autres pays européens ? Et qui sont les milliers de militaires français de la réserve opérationnelle ?

    LES EXPERTS :
    - BRUNO TERTRAIS - Directeur adjoint de la FRS, conseiller géopolitique à l’Institut Montaigne
    - ELSA VIDAL - Rédactrice en chef de la rédaction en langue russe – RFI
    - ANNE NIVAT - Reporter de guerre, spécialiste de la Russie
    - GÉNÉRAL DOMINIQUE TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l’ONU, auteur de Ce qui nous attend (Robert Laffont)

    DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes

    PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40

    PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine

    RÉALISATION : Ni

    • 1h 3 min
    Gilles Keppel - 7 octobre: le conflit de civilisations

    Gilles Keppel - 7 octobre: le conflit de civilisations

    C dans l'air l'invité du 30 avril 2024 - Gilles Keppel, politologue, spécialiste de l’islam et du monde arabe, auteur de “Holocaustes” aux éditions Plon.

    Gilles Kepel analyse le Proche-Orient depuis quarante ans. Il publie "Holocaustes" aux éditions Plon, dans lequel il livre des pistes de réflexion pour mieux comprendre le conflit qui oppose Israël et la Palestine, mais aussi les conséquences géopolitiques contre l'Occident depuis les attaques du Hamas le 7 octobre 2023.

    • 11 min
    Sciences Po : la polémique... et la contagion - Vos questions sms

    Sciences Po : la polémique... et la contagion - Vos questions sms

    C dans l'air du 30 avril 2024 - Sciences Po : la polémique... et la contagion

    LES EXPERTS :

    - JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF
    - JEAN GARRIGUES - Historien, président du Comité d’histoire parlementaire et politique
    - AUDREY GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société
    - JÉRÔME FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de La France d’après
    - PHILIPPE FROGUEL (en duplex) - professeur à l’université de Lille, où une conférence de Jean-Luc Mélenchon avait été annulée.

    • 6 min
    Sciences Po : la polémique... et la contagion - L'intégrale

    Sciences Po : la polémique... et la contagion - L'intégrale

    C dans l'air du 30 avril 2024 - Sciences Po : la polémique... et la contagion

    Alors que les négociations se poursuivent pour obtenir une trêve durable dans l’enclave palestinienne, en France la mobilisation des étudiants de Sciences Po continue de faire des vagues. Impulsé à Sciences Po Paris la semaine dernière par une cinquantaine d’étudiants, le mouvement de blocage, appelant à un cessez-le-feu dans la bande de Gaza, a gagné hier la Sorbonne. Une vingtaine d’étudiants ont été délogés par la police alors qu’ils installaient un campement dans la cours de l’établissement. Aujourd’hui des actions ont été menées par des étudiants dans plusieurs campus de Sciences Po notamment à Saint-Etienne, Strasbourg et Rennes mais aussi à l'université Tolbiac à Paris.


    A Sciences Po Paris, où le blocage a pris fin vendredi dernier après un accord avec la direction de l'établissement sur l’organisation d’un débat ce jeudi visant à discuter de la guerre à Gaza, la polémique se poursuit dans la classe politique. Les Républicains accusent la direction d'avoir "plié" face aux exigences de quelques centaines de militants et la région Ile-de-France présidée par Valérie Pécresse a annoncé "suspendre" ses financements à destination de l’école "tant que la sérénité et la sécurité ne seront pas rétablies". "L’État ne coupera pas la subvention à Sciences Po, l’État discute d’un contrat comme tous les établissements avec Sciences Po et on a un levier", a indiqué de son côté ce matin la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. "La communication interne a laissé croire qu’il y avait abandon de sanctions, c’est faux". D’autre part "il n’y aura aucun positionnement de l’institution, aucun boycott des relations avec les académies d’Israël. La direction de Sciences Po est alignée sur cette position", a également assuré Sylvie Retailleau.


    Le Premier ministre Gabriel Attal avait déploré, ce samedi, "un spectacle navrant, choquant, d'une minorité agitée effectivement par des forces politiques, notamment La France Insoumise". La patronne du groupe LFI à l'Assemblée nationale lui avait répondu : "Nous n'avons en aucun cas instrumentalisé les gens. La jeunesse a un cerveau, elle sait pourquoi elle fait ça". Elle avait justifié la présence de certains de ses collègues pour "éviter que le blocage se déroule mal", alors que la préfecture avait ordonné l'évacuation de l'école. Mathilde Panot avait également appelé à un rassemblement ce mardi matin pour "pour la liberté d’opinion" et pour protester contre la "censure" du gouvernement à l’encontre des insoumis au moment où elle et la candidate aux européennes Rima Hassan étaient entendues par la police pour "apologie du terrorisme". Une convocation qui ne préjuge pas du lancement de poursuites à leur encontre.


    Du côté de l’extrême droite, le vice-président RN de l’Assemblée nationale Sébastien Chenu a vivement critiqué l'accord trouvé. "La direction de Sciences Po et du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, ce sont des gens qui ont peur. Ils ont peur de La France insoumise, de la violence de l'extrême gauche. Donc ils préfèrent laisser faire" (…) C’est un braquage que fait la LFI de nos établissements d’enseignement et le gouvernement est totalement passif", a affirmé l’élu RN, estimant que "se laissez-faire fabrique de l’antisémitisme" et que l’école "a perdu totalement son âme".


    Aux Etats-Unis, le conflit au Proche-Orient occupe également le devant de la scène politique avec la mobilisation massive d’étudiants pro-palestiniens dans les campus. Le mouvement est parti de l’université new-yorkaise de Columbia où 100 personnes ont été interpellées le 18 avril dernier. Depuis, la vague de protestation s’est étendue dans de nombreuses universités du pays et des centaines d’étudiants, enseignan

    • 1h 3 min

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