La vie ici RFI

Le Dakar qu'elle aime, celui qu'elle déteste et celui dont elle rêve. Aminata Thior, la fondatrice de Setalmaa.com, nous propose une déclaration d'amour à la capitale sénégalaise pour la dernière de La vie ici. Merci à elle et à tous ceux qui ont participé à l'aventure depuis cinq ans ! 

De la première séance de répétition, en décembre 1969, aux derniers concerts, c'est l'histoire de l'un des rares groupes africains à avoir connu une telle longévité. Depuis 54 ans, Zaïko Langa Langa, héritier des pères fondateurs de la rumba, s'est imposé comme l'un des fleurons de la musique congolaise. Un livre, paru en mai, leur est consacré. C'est le conseil lecture du fondateur de la librairie Book Express de Kinshasa, Alpha Ramazani. (Rediffusion)

Un exploit sportif au service d'une bonne cause : 20 cyclistes burundais, habitués des parcours en ville, ont décidé de pousser jusqu'au Rwanda pour soutenir Talitha Koum, le seul centre du Burundi dédié aux enfants et aux jeunes atteints d'autisme. Ils ont parcouru 300 kilomètres en deux jours, entre Bujumbura et Kigali. Hugues Safari du blog Yaga Burundi nous en dit plus.

Bouillie avec une sauce tomate au petit-déjeuner, en frites ou en purée pour le déjeuner, ou encore en ragout avec des légumes pour le dîner : l'igname se déguste à toute heure au Bénin. Charlise Dassigli, adepte d'une cuisine afrofusion saine, en renouvelle l'usage avec un gâteau à la cossette d'igname, ou telibo, une farine habituellement utilisée pour faire des pâtes. Sandra Idossou l'a découvert à l'occasion du mois du consommer local. 

Des tissus originaux, des modèles de chemises aux couleurs éclatantes, et un réseau de distribution totalement dématérialisé sur Internet. Basés à Dakar, Pedro et Sandrine Ndiaye ont lancé ensemble Sanaï pour changer les usages de la mode africaine. Tous deux sont passionnés des tissus africains. Elle apporte la touche d'élégance et d'authenticité à leurs produits, lui met aussi en pratique ses compétences en informatique. Maurice Coulibaly est avec nous dans La vie ici.

Parce que la lecture est une habitude qui se prend tôt, parce que le moment de raconter des histoires est unique, Mayonmoun Zenabou, une professionnelle de l’édition qui est aussi maman de jeunes enfants, a monté des ateliers pour initier les plus petits à la lecture, puis à l’écriture. Après avoir sillonné les cités de la capitale du Cameroun, elle poursuit l’expérience depuis peu à Douala. Une initiative dont nous parle ce matin Ulrich Talla Wamba le directeur exécutif de l’OAPE (Observatoire africain des professionnels de l’édition).