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Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.

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Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.

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    Ivanne Trippenbach - RN: le spectre de la "désobeissance civile" -

    Ivanne Trippenbach - RN: le spectre de la "désobeissance civile" -

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    C dans l'air l'invitée du 26 juin - Ivanne Trippenbach, grand reporter au Monde.
    À cinq jours du premier tour des élections législatives anticipées, Jordan Bardella a dévoilé les grands axes du programme du RN. Il a confirmé sa volonté d'écarter les Français binationaux des postes "stratégiques" de l'État, notamment dans le secteur de la Défense. Pour le moment, le RN n'a pas précisé ce qui pouvait être considéré comme un poste "stratégique" même si Marine Le Pen a assuré que les personnes ayant une double nationalité pourront continuer d'occuper tous les emplois de la fonction publique. Le RN dit vouloir attendre la fin des Jeux olympiques avant de changer les postes essentiels, dont celui du préfet de police de Paris, Laurent Nuñez. Le parti a en tête la quinzaine de postes les plus sensibles : le patron du renseignement, le directeur de la police nationale, le Trésor, et même le budget.


    Ivanne Trippenbach, journaliste au Monde, a publié une enquête sur les cadres de l'État "tétanisés face à un possible gouvernement d’extrême droite". Un collectif de 170 diplomates et agents du ministère de l’Europe et des affaires étrangères ont signé, de manière anonyme, une tribune dans laquelle ils expliquent leurs inquiétudes en cas de victoire du RN aux législatives, notamment sur les risques d’ingérence de puissances étrangères. "Nous ne pouvons nous résoudre à ce qu’une victoire de l’extrême droite vienne affaiblir la France et l’Europe alors que la guerre est là. Nos adversaires liront une victoire de l’extrême droite comme un affaiblissement français et une invitation à l’ingérence dans notre politique nationale, à l’agressivité contre l’Europe, y compris militairement, à la vassalisation économique de la France et du continent".


    Ivanne Trippenbach reviendra sur les inquiétudes des cadres de l'État si le RN était amené à remporter les législatives et sur la stratégie du camp de Jordan Bardella d’occuper le pouvoir dans son entièreté.

    • 8 min
    Qui a gagné le débat ? - Vos questions sms -

    Qui a gagné le débat ? - Vos questions sms -

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    C dans l'air du 26 juin - Attal, Bardella, Bompard : qui a gagné le débat ?

    LES EXPERTS :


    - JERÔME JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF
    - GUILLAUME DARET - Chef adjoint du service politique de France Télévisions
    - SOAZIG QUÉMÉNER - Rédactrice en chef – La Tribune Dimanche
    - GAËL SLIMAN - Président et cofondateur – Institut de sondages Odoxa

    • 5 min
    Attal, Bardella, Bompard : qui a gagné le débat ? - L'intégrale -

    Attal, Bardella, Bompard : qui a gagné le débat ? - L'intégrale -

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    C dans l'air du 26 juin - Attal, Bardella, Bompard : qui a gagné le débat ?

    A cinq jours du premier tour des élections législatives anticipées, Gabriel Attal pour le camp présidentiel, Jordan Bardella pour le Rassemblement national et Manuel Bompard (LFI) en porte-parole du Nouveau Front populaire se sont retrouvés hier soir pour un premier débat télévisé sur TF1. Pouvoir d’achat, retraites, fiscalité, école, nationalité… Chacun a défendu pendant deux heures le programme de son camp politique devant 5, 5 millions de Français, à coup de promesses, de chiffres et de vifs échanges.


    Débutant sur la question pouvoir d’achat, l’eurodéputé RN a défendu sa mesure phare, la baisse immédiate de 20 à 5,5 % du taux de TVA appliqué sur les énergies – gaz, électricité, carburants, fioul – pour des Français. Le Premier ministre a déploré son coût qu'il estime à 17 milliards d'euros par an, contre 12 milliards d'euros selon le parti Lepéniste. "Ce que le RN vous donnerait d'une main, il vous le reprendrait de l'autre", a-t-il ironisé. Le coordinateur de La France insoumise a, lui, répliqué en rappelant que la baisse de la TVA dans la restauration avait été faite par Nicolas Sarkozy mais n’avait eu aucun effet sur le pouvoir d'achat. Il a ensuite précisé la mesure défendue par le nouveau Front populaire de bloquer les prix d'un certain nombre de produits de première nécessité, comme c’est déjà le cas à La Réunion. Ou encore l'augmentation du smic à 1.600 euros. "Un emploi sur six va être supprimé", lui a lancé Gabriel Attal. Manuel Bompard a rétorqué en citant l’exemple de l’Espagne, où des emplois ont été créés après l’augmentation du Smic.


    Sur les impôts, le président du RN a proposé la mise en place d’une exonération d’impôts pour les moins de 30 ans. Une annonce "totalement hors-sol" pour l’actuel Premier ministre "Pourquoi est-ce qu’un ouvrier de 31 ans paierait des impôts, mais un consultant ou un trader de 29 ans arrêterait de payer des impôts ?", l’a-t-il interrogé. Le chef du gouvernement a également donné des exemples très concrets de jeunes concernés par cette réforme fiscale comme le footballeur Kylian Mbappé ou encore la personne de… Jordan Bardella. "Vous allez vous auto-exonérer d’impôts ?", lui a asséné Gabriel Attal. Face à lui, le président du RN a mis en avant le risque d’émigration des jeunes talents et assuré qu’il "assumait ce choix budgétaire" et "assumait de décréter la paix fiscale".


    Autre passe d’armes sur les retraites. Le président du Rassemblement national a réaffirmé "sa priorité" sur les carrières longues, avec un âge de départ légal à 60 ans pour ceux ayant commencé à travailler avant 20 ans. Il a aussi redit "qu’au-delà, il y aura une progressivité", avec "un âge pivot de 62 ans et de 42 annuités" pour partir à la retraite à taux plein. Ainsi si son parti remporte une majorité aux élections législatives des 30 juin et 7 juillet, une personne qui a commencé à travailler à 24 ans, partira à la retraite "avec 42 annuités de cotisation, c'est-à-dire 66 ans" a-t-il expliqué. Une sortie qui n’a pas manqué de faire réagir ses opposants depuis hier soir.


    Dans cette dernière ligne droite, la question des programmes est au centre des échanges mais également l’avenir de la nation et de la Ve République. Beaucoup - à l’image du président du Sénat Gérard Larcher ou du ministre de l’Economie Bruno Le Maire - mettent en garde contre le risque d'une "crise de régime" et alors que les résultats du premier tour pourraient être marqués par de nombreuses triangulaires, la question du retrait est désormais posée aux formations politiques face au risque de voir l’extrême droite d’obtenir un maximum de sièges à l’Assem

    • 1h 3 min
    Franz-Olivier Giesbert - Législatives: Les trois scénarios.

    Franz-Olivier Giesbert - Législatives: Les trois scénarios.

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    C dans l'air l'invité du 25 juin - Franz-Olivier Giesbert, journaliste et éditorialiste politique.

    A six jours du premier tour, le paysage reste flou et plusieurs scénarios se dessinent. Presque quarante ans après le choc de l'entrée à l'Assemblée nationale d'un groupe de 35 députés du FN de Jean-Marie Le Pen, en 1986, le RN s'est installé dans le paysage. Avec 88 élus dans l'Assemblée dissoute, il formait le deuxième groupe le plus important, derrière Renaissance. Décrocher la majorité absolue, qui fait défaut depuis deux ans à tous les partis, serait une première pour un parti d'extrême droite dans la Ve République.

    Dans un autre scénario, le RN arriverait en tête mais avec une majorité relative. Jamais une dissolution n’a entraîné de majorité relative à l’Assemblée. Mais selon les dernières intentions de vote, le RN serait en tête avec une majorité relative. Jordan Bardella s’est exprimé quant à ce scénario en affirmant son intention d’être Premier ministre à la seule condition d’avoir une majorité absolue : “Pour gouverner, j’ai besoin d’une majorité absolue. Qui peut croire qu’on pourra changer le quotidien des Français en cohabitation avec une majorité relative ? Personne. Je dis aux Français : pour nous essayer, il nous faut la majorité absolue”.

    Dans une lettre adressée par Emmanuel Macron aux Français et publiée dimanche 23 juin sur le site de France Bleu et dans la presse quotidienne régionale, le chef de l'État continue de renvoyer dos à dos "les extrêmes droite et gauche". Il appelle les Français à choisir, lors des législatives des 30 juin et 7 juillet, la "troisième voie" qu'incarne la majorité sortante autour du "bloc central Ensemble pour la République". Selon le président de la République, "cette troisième voie est la meilleure pour notre pays".

    Franz-Olivier Giesbert est journaliste et éditorialiste politique. Il reviendra sur les différents scénarios du "jour d'après" le 7 juillet suite aux résultats des élections législatives.

    • 9 min
    Les français votent...le monde s'inquiète - Vos questions sms

    Les français votent...le monde s'inquiète - Vos questions sms

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    C dans l'air du 25 juin - Les français votent...le monde s'inquiète

    LES EXPERTS :


    - Christophe BARBIER - éditorialiste politique, conseiller de la rédaction de Franc-tireur
    - Nathalie SCHUCK - grand reporter pour le magazine Le Point , autrice de Les naufrageurs chez Robert Laffont
    - Frédéric SAYS - journaliste à la rédaction internationale de Radio France
    - Jean Dominique GIULIANI - président de la fondation Robert Schuman

    • 8 min
    Les français votent...le monde s'inquiète - L'intégrale

    Les français votent...le monde s'inquiète - L'intégrale

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    C dans l'air du 25 juin - Les français votent...le monde s'inquiète

    Depuis l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale et la convocation d'élections législatives anticipées, la France est scrutée par ses voisins européens. La presse étrangère, après la sidération des premiers jours, se délecte devant le chamboule-tout qui a suivi et s’inquiète de l’éventualité d’une arrivée aux affaires du Rassemblement national. Dans les articles, il est souvent question de "Waterloo", de "bataille de France", de "guerre des tranchées" ou de "téléréalité complètement folle". Au Royaume-Uni où les électeurs sont appelés à renouveler le Parlement britannique le 4 juillet prochain, le "soap" politique français passionne et la presse n’hésite pas à établir un parallèle avec une ambiance "fin de règne" à l’Élysée.


    Outre-Rhin, on a pu lire "Kamikaze", "Pyromane", "Quelle mouche l’a piqué ?" dans la presse allemande qui n’est pas tendre avec la décision d'Emmanuel Macron de dissoudre l'Assemblée nationale et s'interroge sur une victoire du Rassemblement national le 7 juillet prochain. Berlin craint notamment que la relation bilatérale déjà affaiblie en Europe par les défaites d’Emmanuel Macron et Olaf Scholz aux dernières élections ne soit encore plus endommagée si le parti d’extrême droite l’emportait. Le ministère des Affaires étrangères allemand a organisé il y a une semaine une rencontre avec des chercheurs pour réfléchir aux conséquences des élections françaises. Au-delà des relations bilatérales, la politique économique du futur gouvernement français questionne avec de possibles blocages à Bruxelles, comme des tensions éventuelles sur les marchés financiers et pour les finances publiques.


    En Italie, il y a également un intérêt très important pour la situation politique française. Sur le site de La Repubblica, le quotidien de gauche, une rubrique spéciale élections françaises a été créée. La plupart de observateurs n’ont pas compris la dissolution, et si tout le monde a en tête les frictions entre Giorgia Meloni et Emmanuel Macron, Marine Le Pen y est considérée comme plus extrême que la dirigeante italienne. Claudio Cerasa, le directeur du quotidien de droite libérale Il Foglio évoque dans un éditorial le danger pour Giorgia Meloni de se "lepeniser". Il Giornale, très anti-Macron, lui souligne notamment que "Giorgia Meloni et Marine Le Pen ne sont pas sur la même ligne, sur des questions comme le soutien sans ambiguïté à l’Ukraine".


    Mais avec la formation du Nouveau Front populaire, c’est aussi l’idée d’un retour de la gauche au pouvoir qui fait son chemin dans la presse européenne. « Oubliez l’extrême droite – c’est la gauche qui pourrait bien écraser Macron”, titre par exemple Politico à Bruxelles. "Tous les projecteurs médiatiques sont braqués sur l’extrême droite depuis sa victoire aux élections européennes, mais c’est peut-être bien la gauche qui pourrait donner le coup de grâce à Macron et à ses espoirs de défendre sa place au centre de l’échiquier", analyse le site européen.


    Alors quels regards nos voisins portent-ils sur la situation politique française ? Que prévoient les programmes des candidats sur l’Europe et la politique étrangère ? Quels sont les scénarios possibles après les élections législatives ? Quel partage des pouvoirs entre le président et le Premier ministre d’après la Constitution ? Existe-t-il domaine réservé au chef de l’Etat ?

    LES EXPERTS :
    - Christophe BARBIER - éditorialiste politique, conseiller de la rédaction de Franc-tireur
    - Nathalie SCHUCK - grand reporter pour le magazine Le Point , autrice de Les naufrageurs chez Robert Laffont
    - Frédéric SAYS - journaliste à la rédaction internationale de Ra

    • 1h 4 min

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