Gonzo Podcast Drieu Saint Julien

Avec Claire, on se connait depuis plus de 10 ans. On se connait sans se connaitre en fait, car c’était dans un contexte particulier, nous étions dans le même club de Roller hockey. J’étais simple adhérent et joueur, et elle était présidente, joueuse et entraineuse, plusieurs casquettes donc. J’ai souvenir de déplacements où elle nous a accompagnés, prenant de son temps pour notre équipe, notre club, pour une association. Puis je me suis un peu occupé de l’école de Roller et des jeunes hockeyeurs, dont elle avait la charge. On se croisait, on entrainait parfois sur le même terrain. Tout ça est assez loin maintenant. Et puis en dehors du Roller je ne savais rien d’elle. 

Comment en est-on arrivé à faire un podcast tous les deux? De manière improbable. Je ne mets jamais les pieds sur LinkedIn, sauf récemment. J’ai fait défiler un peu mon fil, surpris des personnes et des entreprises que je suivais, et je suis tombé sur Claire, qui parlait de physique quantique, enfin d’un article qu’elle avait écrit sur ce sujet pour des seniors. Il y a des sujets qui me fascinent et celui-ci en fait partie. Je n’y connais finalement pas grand-chose, et ça se sent d’ailleurs dans cet épisode. Ma posture qui est de ne pas me renseigner en amont sur la personne, son parcours, ou son domaine, à rencontrer ses limites. Il aurait été peut-être intéressant que j’aborde ce podcast avec un fil conducteur, avec des connaissances pour un peu mieux diriger la discussion. En fin de compte, j’apprends encore et toujours, et c’est bien le but de ce podcast. 

Si le but premier de cet épisode était de parler de Physique quantique, on a bien dévié, et j’ai découvert Claire sous un nouveau jour. Son parcours est étonnant et il n’a pas fini de l’être, car elle est partie dans une nouvelle aventure dont elle-même ne sait pas où elle la mènera.

Je vous laisse découvrir Claire.



Bonne écoute!



Le podcast est dispo sur les plateformes de podcast sous le nom « Gonzo Podcast » . N’hésitez pas à lâcher le max d’étoiles et un petit commentaire. Ça fait toujours plaisir!



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La procrastination. C’est toujours ma grande bataille. Et je la repousse toujours. La publication de cet épisode en est encore un exemple. Il a été enregistré il y a plusieurs mois, et il ne sort que maintenant. J’aime pourtant faire Gonzo, mais je me bloque tout seul, sans trop savoir pourquoi, et quand je publie enfin un épisode, je suis pourtant très satisfait, très accompli, et il faut croire que j’oublie rapidement ce sentiment, car c’est rebelote à chaque fois.

Et puis arrive la nouvelle année, qui est souvent ponctuée d’un voyage au long cours me concernant, et alors là, les résolutions pleuvent…pour ne jamais trop aboutir. Mais j’y crois à chaque fois. J’y crois encore en 2023. Et je me dis que tous ces échecs me rapprochent forcément d’un succès. Nous verrons bien.

Tout ça pour dire qu’enfin je sors cet épisode avec David. Et comme cette conversation est allée dans des retranchements et des directions que j’avais difficilement anticipés, je préfère vous laisser découvrir par vous-même cette discussion engagée, engageante et pas du tout modérée. On parle de littérature, d'écologie, de son parcours bien entendu, et de plein d'autres sujets...

Pour l’anecdote, quand David me demandait quand j’allais publier l’épisode (sans dire que je trainais, tout à son honneur), je lui ai demandé si il avait peur que sa pensée ait un peu changée, et que l’épisode serait un peu trop radical…il m’a répondu que pas du tout, que c’était tout l’inverse, qu’il avait peur d’avoir été trop timoré!

Vous verrez par vous même, un épisode inqualifiable, mais très rafraichissant!



Merci à David!



Bonne écoute!



NB: entre la rédaction de ce texte, et sa publication, 3 semaines se sont encore écoulées...procrastination forever ❤️

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Victor c’est un mec que je connaissais sans vraiment le connaitre. Je connaissais son nom, sa tête, son métier. Surement grace à un de ses sponsors, The Roster, qui placardait son nom et son image sur leurs restaurants, pas loin de chez moi. Je savais donc qu’il était snowboardeur, mais pas grand-chose de plus. 

Ça a duré quelques années, et je le voyais passer sur les réseaux de temps en temps, sans jamais creuser plus. Il faut dire que je ne fais pas de snowboard et que je ne regarde pas plus que ça des vidéos de sport ou de voyage, surement à tort d’ailleurs. 

Et puis un jour, un de ces fameux algorithmes m’a proposé une vidéo de Victor au Pakistan, ça m’a intrigué, car j’ai une affection toute particulière pour ce pays. Alors j’ai cliqué et je me suis lancé dans le visionnage de ce petit film. J’ai été emballé. Dès le début, j’ai bien rigolé quand j’ai vu Victor déguisé en Philippe Risoli revisité, puis le reste, plus axé sur le partage que sur la performance a fini de me convaincre que Victor semblait être bien plus qu’un simple athlète de haut niveau. J’ai même laissé un petit commentaire sur Youtube, pour vous dire! 

Plus tard, j’ai appris qu’il avait été impliqué dans l’incroyable mission de sauvetage de l’équipe de snowboard d’Afghanistan. Alors j’ai décidé de lui écrire un message sur Instagram pour lui proposer de parler de tout cela, de son parcours, de ses engagements, au micro de Gonzo. Il m’a répondu tout de suite par l’affirmative, et rendez-vous était pris pour quelques mois après, emploi du temps oblige, car vous le verrez, Victor est un gars qui ne chôme pas, qui a de nombreux projets sur le feu et qui est animé par une folle énergie. S’il vit sa passion à fond, il l’utilise aussi pour aider et sensibiliser à des causes qui lui tiennent à coeur. 



C’est un épisode passionnant qu’il nous livre là. Il y en a pour tous les goûts, on y parle de son parcours, qui commence très jeune, puis de ses voyages, ses engagements, ses multiples projets. J’ai pris un réel plaisir à faire cet épisode, et j’espère qu’il vous permettra d’un peu plus connaitre Victor au-delà de son métier premier.




Merci à Victor



Bonne écoute!



Drieu



Retrouvez Victor Daviet sur tous les réseaux, notamment Youtube en tapant tout simplement son nom.



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J’ai rencontré Ariane il y a déjà un bout de temps, c’était lors d’une sortie raquette et refuge, organisée par un collectif citoyen. Il y avait un thème, l’éducation et c’était surtout l’occasion de rencontrer des gens qui partageaient une certaine conscience écologique, des valeurs et une vision un peu différente de la majorité. C’est donc dans ce contexte que j’ai pu échanger avec Ariane la première fois. À l’époque, ma compagne était très intéressée par l’alimentation, elle allait plus tard ouvrir un restaurant, et c’est surtout elle qui est restée en contact avec Ariane. Elles ont même travaillé un temps ensemble, et c’est donc comme ça que je suivais un peu ses aventures dans le monde de la cuisine. 

Ariane a pas mal bourlingué dans ce milieu, et je n’ai pas toujours compris ce qu’elle faisait à plein temps, de manière régulière, peut-être parce qu’en fait, elle ne le savait pas trop elle-même. Si ça peut sonner péjoratif à première vue, je pense qu’il y a des errances qui sont de l’exploration. On fait sauter les barrières, on ne se met pas de frontières, pas de limites et ça permet de découvrir beaucoup de choses qu’on n’aurait jamais effleurées en suivant un plan bien précis. C’est souvent le cas pour les invités de Gonzo, et ça les rend naturellement intéressants.

Si cet épisode n’est pas axé sur le profil et le parcours d’Ariane, ils ont forcément un impact sur ce qu’elle fait maintenant, et sur le sujet de cet épisode.

Ingénieure, elle a pu voir de près les dérives du secteur agroalimentaire, et elle a pris la décision de ne pas y participer, de chercher comment elle pouvait faire sa part, faire son chemin en dehors de tout cela, tout en restant attaché à la nourriture et aux produits qui la composent.




Dans cet épisode nous parlerons donc d’alimentation, de cuisine et de tout ce qui tourne autour.




Je vous souhaite une bonne écoute.




Merci à Ariane




Retrouvez Ariane sur les réseaux via son compte Instagram @fee_nouille_ et sur https://msha.ke/feenouille.com/




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Grâce à mon podcast, je fais de belles rencontres. Souvent, on me présente des potentiels invités et puis des fois, c’est des retours d’auditeurs ou d’auditrices. Et puis il y a Charlotte qui m’a contacté pour me parler de son école qu’elle a reprise il y a peu. C’est une école d’ébénisterie, il y a un cursus à l’année et des formations amateurs à la journée. Elle m’a invité un samedi pour un atelier où les « élèves » devaient fabriquer une lampe de bureau. Un modèle à première vue simple, mais qui en fait nous a permis de survoler pas mal de techniques: utilisation d’une défonceuse, de ciseau à bois, de scie sur table, etc. À ça se rajoutent les méthodes de conception: les calculs d’angle, l’usage d’un gabarit… Il y avait tous les niveaux, de l’ultra débutant au plus à l’aise. Chacun a appris à son niveau et à sa vitesse, et tout le monde est reparti avec sa lampe. Une journée très enrichissante donc.

Dès le début on avait convenu d’enregistrer un épisode de Gonzo, et s’il est rare que les gens se proposent directement, ce fut le cas de Charlotte, et elle a eu raison. Son parcours est tout à fait ce que je recherche. Un chemin sinueux, mais tout de même avec une certaine logique, une sorte de fil conducteur, et surtout il est fulgurant. Car Charlotte a fait beaucoup, très vite. Et si aujourd’hui elle est à la tête d’une école, ce n’est pas par hasard.



J’ai pris beaucoup de plaisir à enregistrer cet épisode, on a pu y aborder une multitude de sujets qui m’interrogent. Vous devez avoir l’habitude maintenant, mais j’ai trouvé cette discussion passionnante, j’espère qu’elle le sera pour vous aussi.



Merci à Charlotte

Bonne écoute!



Drieu



Retrouvez Charlotte via son école: https://www.formation-ebenisterie.com



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Je connais Mathilde depuis une dizaine d’années à peu près. On a des amis en commun, on s’était un peu perdu de vue. Si moi je n’ai pas bougé d’Annecy, elle a bougé, à Lyon puis Paris. Quand j’ai fait un post de recherche de nouveaux invités sur les réseaux, une amie m’a dit que Mathilde avait surement quelque chose à raconter. J’ai donc renoué contact et en effet, Mathilde a des choses à raconter. Enfin surtout une histoire, une histoire qui peut arriver à tout le monde, une histoire qui a duré, une histoire étrange qui prend du temps à trouver sont dénouement. C’est cette histoire que Mathilde nous raconte dans cet épisode un peu différent des autres. On n’est plus sur un profil ou un parcours, mais bien sur un récit, un témoignage, presque un fait divers. C’était nouveau pour moi, nouveau sur Gonzo. Ça ne fera pas l’unanimité, comme chaque épisode, mais je pense qu’il est important d’entendre ce que Mathilde raconte, le long cheminement, les détails, la méthode. Comme à mon habitude je n’ai rien coupé, car je pense que l’on condense déjà suffisamment les prises de parole. Et Gonzo c’est aussi un moyen de retrouver ce temps long, prendre son temps, aller au bout des choses. 

Un épisode qui relance Gonzo, après une coupure de plus d’un an.



Je vous souhaite une bonne écoute.



Merci à Mathilde.



Retrouvez Mathilde sur les réseaux via son compte @balancetonmytho

Son livre sur https://www.editions-maia.com/livre/fantome/

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