Le podcast d'Antibes Juan-les-Pins Antibes Juan-les-Pins

Partie 3 - Jean Leonetti s'exprime sur les moyens qu'il a mis en place pour lutter contre ces violences trop ordinaires

Ce service unique en son genre, aide et accompagne depuis plus de 20 ans les femmes victimes de violences conjugales.

Ce podcast qui s'écoute en 3 actes, vous plonge au cœur d'un phénomène de société complexe. Vous mesurerez l'implication des témoins, qu'ils soient victimes ou acteurs publics engagés. 

 

Partie 2 - Décodage des violences conjugales par Karine Raimondo, responsable de la structure Parenthèse.

Nous vous proposons d'entendre la voix d'une femme sortie du silence grâce à la structure antiboise Parenthèse. 

Ce service unique en son genre, aide et accompagne depuis plus de 20 ans les femmes victimes de violences conjugales.

Ce podcast qui s'écoute en 3 actes, vous plonge au cœur d'un phénomène de société complexe. Vous mesurerez l'implication des témoins, qu'ils soient victimes ou acteurs publics engagés. 

 

 

Parenthèse, une structure dédiée aux femmes victimes de violences conjugales

Nous vous proposons d'entendre la voix d'une femme sortie du silence grâce à la structure antiboise Parenthèse. 

Ce service unique en son genre, aide et accompagne depuis plus de 20 ans les femmes victimes de violences conjugales.

Ce podcast qui s'écoute en 3 actes, vous plonge au cœur d'un phénomène de société complexe. Vous mesurerez l'implication des témoins, qu'ils soient victimes ou acteurs publics engagés. 

Partie 1 - Témoignage de Christine, victime de violences psychologiques pendant 40 ans.

Entretien avec Guillaume Musso le 4 mars 2024 à Antibes Juan-les-Pins. Une interview qui dévoile un écrivain chaleureux et généreux.

De campagnes acharnées aux victoires douteuses, de reculs en défaites, les forces de l’empire s’amenuisent et cèdent sous le nombre. Il n’est plus temps de vanter la gloire des armes par la peinture ou les faux semblants. Et les caricaturistes dans tout ça ? Les mouches ont changé d’âne… D’autres cibles, tout aussi savoureuses, s’offrent aux trublions anglais et français, et c’est parti pour un XIXè siècle où rien ne sera jamais plus comme avant.

La guerre de la communication est ouvertement déclarée entre les artistes à la solde de l’empire, les bulletins triomphateurs de la Grande armée écrits par l’empereur en personne et les caricaturistes d’outre-manche, bras armés de leur gouvernement. Ca cogne fort sur « Little Boney », fils du diable, « zébulon » excité buveur de sang. Tous les coups sont permis et, à ce jeu-là, la propagande napoléonienne commence à souffrir.