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Décrypter, informer, divertir

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Décrypter, informer, divertir

    Gaël Sanquer : « Nous avons des projets avec McFly & Carlito dans les prochaines semaines »

    Gaël Sanquer : « Nous avons des projets avec McFly & Carlito dans les prochaines semaines »

    Bonjour à tous et Aujourd’hui dans Tout pour Réussir je reçois Gaël Sanquer. Vous êtes le Directeur Délégué des médias musicaux du groupe NRJ. C’est-à-dire NRJ, Chérie FM, Nostalgie et Rires et chansons…nous allons revenir sur votre parcours, vos succès mais aussi vos projets…







    crédit : François BERTHIER







    Bonjour Gaël Sanquer…Le 21 Novembre prochain, vous fêterez vos 3 ans à la tête des radios musicales du groupe NRJ…Quel bilan faites-vous de ces 3 dernières années marquées aussi par la crise du covid ?  







    Ça été trois années assez intenses…J’ai pris ce nouveau poste en novembre 2018. C’était une étape importante pour moi à titre personnel car je suis un enfant de la radio, je suis passionné depuis toujours…J’ai commencé la radio à 13 ans et me retrouver à la tête de ce bateau, c’est assez incroyable pour moi…Les résultats de la radio ont continué à être hyper intéressants et puis la crise du covid est arrivée…C’était inédit !  







    Comment les radios du groupe NRJ ont elles traversé la crise ?  







    Nous avons adapté nos programmes. J’avais eu la chance de pouvoir discuter avec un confrère qui pilote un groupe de radios en Italie. Les italiens avaient subi un confinement inédit quelques semaines avant nous. Je lui ai donc demandé par whatsapp : « comment ça se passe là-bas ? Est-ce que vous avez le droit de bouger ? Comment tu as pu adapter ton infrastructure… » Du coup, j’ai ensuite pu équiper nos animateurs avec des systèmes leur permettant de pouvoir prendre la main à distance afin de pouvoir assurer la continuité des programmes. On pilote aussi nos contenus avec un tas de données, de chiffres et notamment les streams…On s’est rapidement aperçu qu’avec le télétravail les gens commençaient la journée un peu plus tard…On a donc décalé nos mornings plus tard dans la matinée…On a aussi lancé pas mal d’opérations spéciales comme « NRJ Big Action »où on a mobilisé les artistes avec lesquels on est assez proches qui donnaient un objet, qui ensuite était vendu aux enchères…Les sommes étaient reversées à une association d’aide au personnel soignant.  







    Cauet, Manu Lévy ou encore Mikl sont les animateurs vedettes de NRJ…depuis un long moment…Pensez-vous à renouveler vos visages ?  







    Mikl n’est plus chez nous…Bien-sûr que l’on pense à renouveler nos visages ! C’est un travail permanent d’aller chercher les nouveaux talents qui incarneront les programmes de NRJ dans quelques années…C’est moins simple de nos jours…Il y’a encore 10 ou 15 ans, un môme qui avait un peu de talent, de bagout ou de tchatche pouvait aller toquer à la porte de la radio locale de sa ville puis il faisait ses armes. Aujourd’hui le même gamin, il se met devant Youtube, Tik Tok ou Instagram etc…S’il est malin, il a des chances de venir millionnaire.  







    Y-il a un animateur, un youtubeur ou même une personnalité que vous aimeriez voir dans votre groupe prochainement ?  







    On discute assez régulièrement avec Squeezie…Il est déjà venu faire deux semaines d’émission la saison dernière…Je crois qu’il a adoré l’exercice. On discute assez régulièrement avec McFly & Carlito. On aussi des projets avec eux. C’est l’exemple type des mecs qui ont explosé dans le digital alors qu’à la base ils viennent de la radio. Nous avons des projets avec McFly & Carlito dans les prochaines semaines.   







    A quoi vont ressembler les NRJ Music Awards le 20 Novembre prochain ?  







    Nous avons tous les artistes français qui sont joués sur NRJ. Nous aurons la première prestation Télé d’Angèle qui revient avec un nouveau titre que l’on joue.

    David Hallyday : «Le live représente 50% des revenus d’un artiste »

    David Hallyday : «Le live représente 50% des revenus d’un artiste »

    Bonjour à tous, et aujourd’hui dans Tout pour réussir, nous recevons David Hallyday. Tu es chanteur et compositeur et aujourd’hui tu nous présentes ton nouvel album, le 14èmede ta carrière « Imagine un monde ».







    Bonjour David…Merci beaucoup d’être avec nous…Ton nouvel album sort le 27 Novembre prochain…Il a été composé pendant le confinement…Qu’est ce qui t’a donné envie de faire cet album ?







    En fait, je compose à peu près tous les jours. Le confinement n’a rien changé à cela. J’écris chaque semaine. J’ai eu envie de raconter des choses positives et pas négatives car il y’en a suffisamment de ce coté là. Je voulais faire un album sur un questionnement. Par exemple le single « ensemble et maintenant » est un titre très humaniste qui s’interroge sur « comment on peut mieux vivre ensemble ? » C’est un peu cela l’idée…Je me pose des questions comme tout le monde ! Pour résumer, je suis convaincu qu’on va pouvoir avec le temps comprendre le mécanisme de fonctionnement de comment ce monde devrait tourner…ça va prendre du temps…Il y’a une façon d’y arriver c’est d’avoir de l’empathie…de retrouver l’humain, de prendre soin de son environnement, son entourage…Cet album parle de tout cela ! Aller vers l’avant et faire les choses ensemble !







    Imagine un monde sonne beaucoup avec l’actualité…à quoi ressemblerait ton monde idéal ?







    Beaucoup moins de disparités…Un partage des richesses équitables pour tous ! Moins de gens malheureux…Il faudrait des gens plus heureux, qui ont la banane comme ce qu’il y’avait dans les années 80 ! En tout cas, c’est le sentiment que je ressens.







    Initialement prévue en novembre ta tournée va être reportée…en 2021…Dans quel état d’esprit te sens-tu ?







    Franchement c’est galère ! Je n’aime que faire du live. C’est catastrophique pour moi car on ne bosse pas…En musique, j’aime soit être en studio, soit être sur scène avec mon équipe. C’est catastrophique pour les gens de mon équipe ! Je travaille avec des gens passionnés qui sont malheureusement au chômage technique. On ne peut pas nous enlever la notion de plaisir dans la vie.







    Beaucoup d’artistes vivent de ces tournées…C’est un manque à gagner important pour vous ?







    C’est énorme ! On a déjà vu depuis la crise du disque que les artistes vivent moins de leur métier… Du coup, on se remettait tous sur le live…Il y’a une vingtaine d’années lorsque l’on sortait un album, on faisait une tournée pendant un an voir plus et ensuite on s’arrêtait pendant trois ans. Maintenant, on fait du live tout le temps…Tout ça pour dire qu’il y’avait déjà un manque à gagner important avec la crise du disque…Maintenant, on ne peut plus faire de livre… ! Après, ceux qui ont la chance d’avoir un gros catalogue à la sacem peuvent encore s’en sortir mais les autres c’est catastrophique ! Le live représente 50% des revenus d’un artiste ! Quant au streaming, on ne touche rien du tout…







    As-tu pensé à faire des concerts virtuels ou est ce que tu aurais pu avancer l’horaire de tes concerts ?







    On ne peut pas car économiquement, nous avons un gros show et les organisateurs de spectacle perdent trop d’argent…En tout cas, pour ma part, je sais que mes équipes et moi-même, nous pouvons pas le faire !







    Tu es devenu très présent sur les réseaux sociaux…ça doit être la norme aujourd’hui pour un artiste selon toi?







    Tu trouves ?(rires…) J’aime bien les réseaux sociaux ! Je ne regarde que le bon coté des réseaux…Je suis très actif dans tout ce qui est environnement, protection animale, y’a pleins de choses à voir…Parfois il m’arrive de poster choses qui sont privées sans être trop privé non plus… ça me permet de garder un contact avec les gens qui me suivent. Après,

    • 14 min
    MAUD BAILLY : « Nous avons un devoir de transmission chez ACCOR »

    MAUD BAILLY : « Nous avons un devoir de transmission chez ACCOR »

    Bonjour à tous et aujourd’hui dans Tout pour réussir je reçois Maud Bailly, Chief Digital Officer de chez Accor et qui a déjà connu plusieurs vies professionnelles… Diplômé de l’ENA et l’ENS, Maud Bailly a été directrice des trains à la SNCF puis chef du pole économie à Matignon (gouvernement Valls), Maud Bailly est aujourd’hui CDO au sein du ACCOR.









    Bonjour Maud, Chief digital officer chez Accor, ça consiste à quoi ?







    Mon poste de CDO (ndlr : chief digital officer) recouvre plusieurs secteurs clés dans le cadre d’une transformation. Le premier c’est la data c’est à dire tout ce qui est autour de la donnée, le deuxième c’est les systèmes d’information…Ensuite j’ai tout ce qui est à trait à l’expérience client au sens large : CRM, Marketing digital, centre d’appels mais aussi programme de fidélité qui est profondément repensé avec le lancement de ALL, toutes les solutions apportées aux hôtels…Il y’a aussi la direction produit qui est essentielle à l’ère de l’usage du digital. Et puis aussi le réseau des ventes et de la distribution.







    Cela fait beaucoup boulot…A quoi ressemble votre journée type chez Accor ?









    Il n’y a pas vraiment de « journée type » car tout dépend si l’on parle de ma journée en France ou à l’étranger car mon périmètre couvre 100 pays et 5 principales régions. En gros, ma journée commence lorsque je suis dans le taxi,

    au téléphone, avec mon super assistant Julien qui me rappelle ma journée. Ensuite, je commence à lire les 50000 mails que j’ai dans ma boite de réception…Après, je fais des réunions en One-to-One avec mes collaborateurs parce que je crois beaucoup à l’importance

    du management et du suivi du collectif. Ensuite, je peux aussi avoir ce qu’on appelle des réunions thématiques…ça peut être une réunion où l’on va parler de l’intégration d’une nouvelle marque etc…réunion sur le lancement de ALL par exemple (Accor Live Limitless)…qui

    est notre nouveau programme de fidélité qui sera actif d’ici la fin de l’année. Ça peut être aussi la rencontre avec des étudiants car chez Accor, nous sommes très engagés dans le recrutement…Raconter notre secteur de l’hôtellerie et de transmission…Nous avons

    un devoir de transmission chez le groupe Accor. Faire aussi des tables rondes avec les directeurs d’hôtels, recueillir les feedback sur le terrain…Enfin le soir, je rentre chez moi sur les rotules mais ravie malgré quelques coups de stress dans la journée.









    Un peu de sport peut être durant la journée ?







    Le sport c’est plutôt le week-end…Je m’étais inscrite à la salle de sport d’Accor mais je crois que j’y suis allé deux fois en deux ans et demi donc mon assistant a enlevé mon abonnement.







    Quel type de manager êtes vous au travail ?







    Je crois que je suis un manager très exigeant. J’espère être aussi très bienveillante. Je dis toujours à mes équipes qu’elles sont en sécurité avec moi. J’aime les valoriser, d’accompagner leur potentiel, de les mettre en avant…Lors de mes présentations en Comex devant mes pairs avec notamment Sébastien Bazin, il m’arrive d’emmener mes équipes à mes cotés. Je trouve cela important pour accroitre leur visibilité ou leur dire merci. 









    Précédemment, vous étiez directrice des trains à la SNCF…Comment passe-t-on des trains aux hôtels ? 









    Par une rencontre…J’étais à un diner professionnel et dans le cadre de ce diner, j’ai eu la chance de rencontrer Sébastien Bazin (ndlr : PDG de chez ACCOR). Rien ne me prédestinait à aller chez Accor…A ce moment là, j’étais même

    en discussion avec une autre entreprise orientée technologie pour prendre un poste de direction générale et puis en rencontrant Sebasti...

    • 13 min
    Nathalie Cros-Coitton : « Le but d’une Top modèle est de devenir une égérie. »

    Nathalie Cros-Coitton : « Le but d’une Top modèle est de devenir une égérie. »

    Tout Pour Réussir, dix minutes d’interview avec Saad Merzak. Un retour sur la carrière d’une personnalité du monde médiatique, artistique ou économique, et les raisons de son succès. Aujourd’hui Saad reçoit Nathalie Cros Coitton,dirigeante de la plus grosse agence de mannequins en France, Women Management. Elle est également la présidente de la fédération des mannequins.

    Bonjour Nathalie…Comment vous est venue cette passion pour l’univers de la mode ?

    Cela a démarré très jeune puisque j’avais 18 ans…A l’époque il y avait des soirées au « Palace » où j’ai rencontré des gens…J’ai été fascinée par cet univers qui était très créatif avec des photographes, des stylistes, des gens très originaux et ça m’a tout de suite fasciné.

    Dans les années 80…vous étiez plutôt organisatrice de festivals rocks…Comment passe-t-on de la musique à la direction d’une agence de mannequins ?

    J’aimais beaucoup ce que je faisais avec les musiciens et d’un seul coup je me suis dit que je préférais écouter de la musique plutôt que de travailler dans cet univers. Finalement, j’ai intégrer le milieu de la mode et celui des agences de mannequins parce que je trouvais ce milieu très fun, très festif…très intéressant aussi car il y’avait beaucoup de gens très excentriques et originaux !

    Quelles ont été les rencontres qui vous ont le plus marqué ?

    Je vais rendre un hommage à Gérald Marie qui a été le premier à m’avoir engagé lors que j’avais 20 ans. Il était dirigeant de l’agence Elite. Il m’a très vite confié de très grandes mannequins et je suis même devenue sa directrice à 28 ans…Je le salue donc ! J’ai eu aussi la chance de travailler avec Hedi Sliman qui est quelqu’un de tellement brillant et qui m’a apporté beaucoup de choses.

    Votre agence représente 600 mannequins en France. Qui sont vos principaux clients et vos mannequins les plus connus ?

    Yves Saint Laurent, Chanel, Dior, Louis Vuitton…Je l’ai ai tous !!! Parmi les mannequins connus, nous avons Winnie Harlow, Anna Ewers, MariaCarla (Boscano), Jourdan Dunn, Natasha Poly et j’en passe…La liste est longue !

    Quelle différence y’-a il en gérer la carrière d’un mannequin « Nobody » et celle d’une célébrité ?

    Le « nobody » d’aujourdhui devient la célébrité de demain. Un mannequin qui débute…Et bien…il faut s’en occuper, lui apprendre le métier…Il faut le former, lui faire prendre les bons choix…Nous sommes très sollicités, il faut donc aussi bien négocier les contrats qui sont faramineux. Le but d’une Top modèle est de devenir une égérie. Il faut donc l’emmener tout doucement vers cela.

    Dans toute votre carrière, quelle a été votre pire souvenir ?

    Lorsque j’étais jeune, il m’est arrivé un jour où j’étais seule au bureau. Naomi Campbell appelle me demande un « Concorde » car elle avait loupé son premier avion « Conconrde ». Je ne savais pas quoi faire et j’étais en panique car il y’avait qu’un avion Concorde par jour. J’étais très paniquée…

    Et votre meilleure souvenir ?

    C’était lorsque je suis allé voir le défilé Yves Saint Laurent avec Béatrice Dalle devant la tour eiffel. Tellement magique et magnifique.

    Aujourd’hui, quels sont les critères pour être sélectionné en tant que mannequin chez « Women management » ?

    Au delà des critères physiques, effectivement il faut être grande…J’aime bien les mannequins qui racontent une histoire. J’aime bien les beautés qui ont charismatiques…Pour moi c’est primordial !

    Avec l’ère numérique, vous leur demandez aussi leurs nombres de followers ?

    C’est important aujourd’hui d’avoir une communauté avec pleins de followers. Lorsque nos mannequins n’en n’ont pas, on se bat pour leur en obtenir. Nous mettons en place des stratégies et nos équipes travaillent là dessus.

    A quoi ressemble votre

    Xavier Albert : « ça fait 3 ans que je suis chez Universal et je n’ai aucun regrets »

    Xavier Albert : « ça fait 3 ans que je suis chez Universal et je n’ai aucun regrets »

    A l’occasion de la sortie du film « Halloween » ce mercredi dans les salles obscures, nous avons rencontré le Directeur général du studio Universal Pictures, Xavier Albert.

    Bonjour à Tous et aujourd’hui dans Tout pour réussir, je reçois Xavier Albert. Vous avez été Directeur du marketing chez Disney puis chez Netflix et aujourd’hui vous êtes le directeur général de l’une des plus grosses majors dans le cinéma.

    Bonjour Xavier Albert…ça va faire 2 ans que vous êtes à la tête d’Universal Pictures France…Quel bilan faites-vous de ces deux dernières années…

    En fait, cela va faire presque 3 ans. Par rapport à mon bilan, il faut plutôt demander l’avis aux équipes, notamment celles de Londres et de Los Angeles. Nous avons eu de bonnes années, notamment 2017 et 2018…L’année 2016 fut contrastée mais nous étions prévenus. Les succès sont au rendez-vous donc tout va bien.

    Comment êtes vous arrivez à la direction générale de ce groupe ?

    Avant, j’étais chez Netflix…Lorsque mon prédécesseur Stéphane Huard est parti rejoindre un autre studio « Sony Pictures », j’ai été contacté par Linkedin et les équipes d’Universal pictures ont insisté pour que je prenne la direction de ce groupe…Comme je suis un vrai passionné de cinéma, j’ai décidé de venir au cœur du métier même s’il y’a beaucoup d’interrogations sur l’avenir de nos métiers.

    D’où vous vient cette passion pour le 7ème art ?

    Je me suis toujours défini comme un cinéphage…Je suis de la génération « Starfix »… Je me suis toujours intéressé au cinéma de genre…J’étais bien évidemment ouvert à d’autres types de films. Aller voir un film en salle m’a toujours plus. Je pense que je dois cela à l’éducation de mes parents. J’ai beaucoup aimé les films de superhéros mais après je ne saurais pas expliquer vraiment comme je me suis intéressé aux chiffres dans le cinéma…J’ai toujours voulu m’intéresser au box office français, box office US….

    A quoi consiste votre travail exactement ? C’est quoi votre journée type ?

    Le rôle de directeur général n’est pas si excitant qu’on pourrait le penser…En fait le job d’un directeur général c’est beaucoup de reporting, de management et encore des chiffres…beaucoup de chiffres…Désolé, de vous décevoir ! Pour résumer une journée type, je fais beaucoup de One-to-one avec mes équipes en interne et avec notamment le comité de direction. Beaucoup de réunions en extérieur comme par exemple avec la fédération nationale des distributeurs de film ou avec le SFAC Syndicat Franco-Américain de la Cinématographie. Après, il y’a l’aspect « reporting », donc pas mal d’appels et d’emails avec Londres, Los Angeles…Après il y a aussi le coté fun du métier c’est à dire les projections de film, les venues des talents qui pour moi est une petite bulle de respiration…C’est aussi mon rôle de les accueillir.

     Netflix que vous avez connu pendant un an et demi est en plein développement vous ne regrettez pas d’être parti ? 

    Je dis toujours qu’il ne faut pas avoir de regrets dans la vie. On peut avoir des remords après…mais pas de regrets ! ça va faire 3 ans que je suis chez Universal et je n’ai pas de regrets. ça été une décision très personnelle et l’une des plus difficiles de ma carrière car chez Netflix, ça se passait bien et c’est une société très passionnante à tous les niveaux. Je travaillais au bureau français de Netflix à Paris…Nous étions une petite équipe…Alors que là en revenant chez Universal, je reviens à la source du contenu. Nous sommes un studio en prise avec les créateurs ce qui était moins le cas chez Netflix. Je suis aussi un amoureux de la salle du cinéma !

    A quoi ressemble votre vie vie lorsque vous ne travaillez pas… ?

    J’arrive à couper de mon boulot car j’ai une vie personnelle très chargé

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