20 episodes

Prenez deux personnes éclatées par une journée de travail, trempez les dans le bain sonore des klaxons et embouteillages de Casablanca pour les faire parvenir jusqu’à nos studios. Faites les asseoir autour d’une table, équipez- les de micros et vous obtenez la première base de ce podcast hebdomadaire. Afterwork, c’est le podcast marocain des gens éclatés après une longue journée de travail. Un podcast qui porte bien son nom // Pendant une heure ou plus, Hamza Lyoubi, co-fondateur des Bonnes Ondes s’amuse en compagnie d’un ou d’une acolyte de son choix à diriger ses invités à coups de questions bienveillantes pour discuter des choses de la vie. Aucun, aucune, des deux invité.es ne sait au préalable qui il ou elle aura en face, il ou elle ne sait pas non plus quels sujets seront discutés, ce qui donne au programme son ton naturel, spontané et dopé aux bonnes sondes. https://lesbonnesondes.ma

Afterwork LES BONNES ONDES

    • Society & Culture

Prenez deux personnes éclatées par une journée de travail, trempez les dans le bain sonore des klaxons et embouteillages de Casablanca pour les faire parvenir jusqu’à nos studios. Faites les asseoir autour d’une table, équipez- les de micros et vous obtenez la première base de ce podcast hebdomadaire. Afterwork, c’est le podcast marocain des gens éclatés après une longue journée de travail. Un podcast qui porte bien son nom // Pendant une heure ou plus, Hamza Lyoubi, co-fondateur des Bonnes Ondes s’amuse en compagnie d’un ou d’une acolyte de son choix à diriger ses invités à coups de questions bienveillantes pour discuter des choses de la vie. Aucun, aucune, des deux invité.es ne sait au préalable qui il ou elle aura en face, il ou elle ne sait pas non plus quels sujets seront discutés, ce qui donne au programme son ton naturel, spontané et dopé aux bonnes sondes. https://lesbonnesondes.ma

    AFTERWORK 20 - Amour du partage et de l’information

    AFTERWORK 20 - Amour du partage et de l’information

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    Pour clore en beauté cette première saison d’Afterwork, nous avons eu le plaisir de recevoir Mustapha El Fekkak, aka Swinga, et Aicha Chanane, dite Awiiisha.





    Journaliste de formation, Aïcha Chanane est passée du monde des médias à celui des médias sociaux de la traduction. Ce qu’elle a acquis comme expérience dans la presse écrite et digitale pendant dix ans (Al Akhbar, El Khabar, Alyaoum24), elle le met désormais à contribution sur ses comptes Instagram (Awiiisha et bonplan.ma). Si elle n’a rien perdu à ses réflexes de journaliste et à son goût pour la primeur de l’information, elle a fait le choix de laisser de côté la pression inhérente à ce métier, de se tourner vers la traduction et de consacrer du temps à sa famille, son bien-être et au partage, en toute simplicité et sans chichi, avec ses followers. Elle leur parle d’éducation, de sa vie de maman, de bons plans et de petits bonheurs du quotidien…









    Artiste, circassien, chef d’entreprise, réalisateur, producteur… Les talents de Mustapha Swinga, aujourd’hui à la tête d’Artcoustic Studios, sont probablement trop nombreux pour être tous listés. Ce lauréat de l’école du cirque Shems’y est aujourd’hui une personnalité incontournable des réseaux sociaux marocains : il se fait connaître avec Aji-Tfham, série de vidéos animées en darija où il décortique l’actualité ou vulgarise un concept donné. L’année dernière, sa couverture de la pandémie de Covid-19 l’a rendu indispensable, pour les internautes comme pour les autorités publiques, qui se sont appuyées sur lui pour faire passer leurs messages de sensibilisation auprès du grand public.





    Des influenceurs pas comme les autres, parce qu’ils ne se définissent pas comme tels et parce qu’ils sont bien plus que ça, malgré leurs milliers d’abonnés — qui se comptent désormais en millions, toutes plateformes confondues, du côté de Swinga.





    Avec en commun une spontanéité, une franchise, un amour du partage et de l’information, sourcée et vulgarisée, Mustapha Swinga et Awiiisha nous parlent de leurs parcours respectifs, mais surtout de leur état d’esprit. En darija et en chœur, ils reviennent sur la manière dont ils ont appréhendé le Covid-19, en tant que personnages publics mais aussi dans l’intimité, parlent sans complexe de santé mentale, de digital, d’ego, d’information et de publicité, de responsabilité envers celles et ceux qui les suivent, de libertés individuelles, de famille et de rapport au travail…









    Un vingtième épisode que nous avons pris énormément de plaisir à produire, et qui, nous l’espérons, vous donnera envie de réécouter ou de découvrir les 19 qui le précédent.





    En attendant la rentrée, bonne écoute ! 

     

    • 53 min
    AFTERWORK 19 - Jeunes talents et Taï Chi

    AFTERWORK 19 - Jeunes talents et Taï Chi

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    Dans cet épisode d’Afterwork, place à deux pros des festivals musicaux : Hicham Bahou, cofondateur et codirecteur de l’indispensable L’Boulevard, et Moulay Ahmed Alami, devenu monsieur Jazz au Maroc : Jazzablanca et Tanjazz, c’est désormais lui. 





    Passé de l’univers de la presse à celui de l'entrepreneuriat culturel, celui qui est désormais président de Jazzablanca et de Tanjazz, est également membre de l’AMESVI (Association Marocaine des Entrepreneurs du Spectacle Vivant), et il bouillonne d’idées, d’énergie et de projets. 





    Pas assez de salles de spectacles ? Moulay Ahmed Alami pense sérieusement à en construire une. Restrictions à 100 personnes par concert ? Monsieur réfléchit en live à la possibilité d’en produire dans les tramways, mais aussi, dès que possible, à des jam sessions entre Casa et Tanger…

     

    Face à lui, la force tranquille de L’EAC-L’Boulvart, et de toutes les ramifications que l’association a engendré depuis la fin des années 1990 : L’Boulevard évidemment, incontournable pèlerinage des cultures urbaines, mais aussi les festivals de street art Jidar et Sbagha Bagha et le Boultek, centre de musiques actuelles. Hicham Bahou a la sagesse et l’expérience, enveloppées dans une persévérance inaltérable, et un esprit de famille chevillé au corps, tout comme ses valeurs de transmission et d’identité. 

     

    Deux approches très différentes du monde de la musique et de la culture, mais néanmoins, de nombreux constats communs. Une discussion entre pros où l’on parle de sponsors et de marketing, d’accès à la culture, de gratuité et d’entrée payante, du BMDA, de Covid-19 bien sûr mais aussi de Tai Chi, d’entêtement, de jeunes talents et même de parlement. 





    Et la musique, dans tout ça ? Elle arrive en recommandations : Genoma d’Ismail Sentissi Trio, Tigran Hamasyan, Black Pumas, Banda Black Rio…

     

    Bonne écoute !  

    • 1 hr 23 min
    AFTERWORK 18 - Esprit de communauté

    AFTERWORK 18 - Esprit de communauté

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    L’Afterwork de cette semaine accueille deux actrices culturelles passionnées, inspirantes et acharnées. 





    Sabrina Kamili, passée du monde de la finance à celui de la culture et de Montréal à Casablanca, est désormais à la tête de K&Co, cabinet de conseil en stratégies et innovations culturelles. Du Macaal à L’Boulevard en passant par l’Atelier de l’Observatoire ou Visa For Music, son expertise et son perfectionnisme sont reconnus par tous les activistes culturels qui la côtoient... 

    Un constat qui ne tardera pas, sans doute, à être partagé par les institutionnels qu’elle démarche désormais avec sa casquette d’entrepreneure culturelle. 





    Avant de devenir la fée des partenariats au sein de l’EAC-L’Boulvart, Soumia Idba a pour sa part roulé sa bosse dans le marketing, 15 ans durant, au sein de grandes multinationales. De l’univers des annonceurs, elle est passée à celui de la culture urbaine et du street art en intégrant la grande famille de l’EAC-L’Boulvart, porteuse des festivals L’Boulevard, Jidar et Sbagha Bagha — installée au Boultek, centre de musiques actuelles. 





    Un épisode où il est évidemment question de jeunesse, de musiques, mais également de patrimoine oral, de négociation permanente, de mixité sociale, d’esprit de communauté, de survie des festivals et d’économie de la culture... 





    Bonne écoute !

    • 48 min
    AFTERWORK 17 - Tartar on the sunny side of the street

    AFTERWORK 17 - Tartar on the sunny side of the street

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    Dans cet épisode d’Afterwork, Hamza Lyoubi reçoit le trompettiste Hamza Bennani Smires, dit HBS, ainsi que Karim Kaissoumi, directeur de l’agence Tartar. 





    Tous deux ont abandonné des carrières corporate et confortables pour des projets passionnants et audacieux, où la musique et les événements culturels occupent une place centrale. Le premier dans le jazz, et le second dans le rap.  





    Tartar organise et produit ses propres événements depuis cinq ans. A Casablanca, et plus exactement à Hay Hassani, Karim Kaissoumi, ancien banquier, a fondé Tartar Colors il y a deux ans, espace culturel, boîte de prod et incubateur artistique financé par l’agence éponyme de création digitale. 

    Un rêve devenu réalité, et qui a vu défiler, depuis le confinement, bien des noms du rap made in Morocco : Tagne, Dollypran, Khtek, Draganov, Issam Harris, Snorr…





    De son côté, le trompettiste, compositeur et enseignant HBS a quitté le monde des ressources humaines pour trouver un nouveau souffle, porté par son instrument de prédilection : la trompette. 

    Cet amoureux de Miles Davis et de Rabih Abou Khalil imagine des projets musicaux comme Les douces folies de Satie, mais développe également des projets où plusieurs sens sont exaltés : c’est le cas avec On the Sunny Side of the Street, événement ambulant de Jazztronomie fine — comprenez, Live Jazz & Fine Gastronomy — où sa musique rencontre les délices du Chef Baya. 

    Le titre est évidemment emprunté au répertoire jazz, et l’événement compte déjà 9 éditions.





    Portés par leurs passions, HBS et Karim Kaissoumi se livrent sur leur rapport au travail, leur volonté de tisser des liens à travers l’événementiel et la musique, mais aussi de remettre la jeunesse et l’éveil culturel au cœur de leurs missions… 





    Un épisode où l’on parle de confinement, d’encadrement, de dar chabab,  de poterie, d’Amin Maalouf mais aussi de motos — parce que lorsqu’ils ne bichonnent pas leurs artistes, Tartar organisent également Motocazz, salon marocain de la moto… 





    Bonne écoute !

    • 46 min
    AFTERWORK 16 - Femmes, femmes, femmes

    AFTERWORK 16 - Femmes, femmes, femmes

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    Les deux invitées de Hamza Lyoubi et Mehdi El Kindi accordent, dans leurs parcours respectifs, une place toute particulière à la cause des femmes. Du côté de l’avocate Leila Bazzi, la promotion du leadership féminin est une seconde nature : la créatrice du podcast Les Inspiratrices est également la fondatrice de Lean In Morocco Chapter, une communauté de femmes qui mettent leurs compétences en commun et trouvent ensemble les moyens de faire sauter les freins de leurs carrières professionnelles à travers le networking, le mentoring, la sensibilisation… Si Lean In vous dit quelque chose, c’est peut-être parce que c’est une plateforme mondiale qui  tire son nom du livre à succès éponyme (En avant toutes, en français) coécrit par Sheryl Sandberg, COO de Facebook, que Leila Bazzi a découvert après le décès de son père. En parallèle, Leila Bazzi est sur le point de réaliser un autre rêve : créer une école préscolaire dans le village natal de son père, dans la région de Taroudant. 





    La cause des femmes et son évolution au Maroc, Dounia Z. Mseffer l’a suivie et documentée sur le terrain : la journaliste et RP a sillonné le royaume, avant et après la Moudawana, pour témoigner du vécu des femmes et porter leurs voix et celles des associations qui les représentent. Si elle continue de voyager et d’aller à la rencontre des femmes du pays, elle se saisit également d’autres causes : parmi celles qui lui tiennent à cœur, Dounia Z. Mseffer s’intéresse également à la migration. Elle fait partie du Réseau marocain des journalistes des migrations et a signé une enquête dans l’ouvrage collectif Migrations au Maroc : l’impasse ? publié aux éditions En toutes lettres. Dounia est aussi très impliquée aux côtés de HADAF, association des Parents et Amis des Personnes Handicapées Mentales. 





    Se débarrasser de ses croyances limitantes, suivre ses valeurs militantes, conjuguer la théorie au terrain… Leila Bazzi et Dounia Z. Mseffer sont toutes les deux des femmes d’action ambitieuses, libres et inspirantes. Dans cet épisode, vous apprendrez aussi que le Z. de Dounia Z. Mseffer n’est malheureusement pas celui de Zorro, que Leïla Bazzi monte et descend les escaliers lorsqu’elle ne peut pas courir, que The Handmaid’s Tale ressemble parfois à Daesh et qu’il n’y a pas d’âge pour reprendre le roller… 





    Bonne écoute !

    • 1 hr 3 min
    AFTERWORK 15 - Cinima al khamiss

    AFTERWORK 15 - Cinima al khamiss

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    L’Afterwork de cette semaine est placé sous le signe de l’écriture : qu’elle soit cinématographique, littéraire ou théâtrale, les deux invités de Hamza Lyoubi et Mehdi El Kindi voguent entre les mots, les caméras et les continents.





    Installée au Maroc depuis 2007, Amira Géhanne-Khalfallah a autant de vies que de talents : dans son Algérie natale, elle fait des études de biologie cellulaire et moléculaire avant de glisser dans le journalisme, puis de laisser sa plume aller vers le théâtre, le roman et le cinéma. La journaliste qu’elle a été a écrit dans les colonnes qui ont, avant elle, accueilli Kateb Yacine ou Albert Camus. La dramaturge qu’elle est a emmené ses pièces partout, du Mali à la France, notamment à Avignon. L’écrivaine qu’elle est également a publié son premier roman, Le Naufrage de la Lune, aux éditions Barzakh (2018). Et en 2020, la réalisatrice qu’elle est tout autant a reçu, pour son film El Sghayra, une mention spéciale du jury Enfants de la compétition Génération Kplus à la Berlinale. 





    Si Amira Géhanne-Khalfallah a décidé de s’installer au Maroc, c’est parce qu’elle a rêvé de la Kasbah des Oudayas, à Rabat. Et si Reda Lahmouid a décidé de s’installer à Montréal, c’est pour poursuivre ses rêves de cinéma, après une carrière confortable et respectée de directeur de création dans le monde de la publicité à Casablanca. Scénariste et réalisateur, ce qu’il préfère et aspire à faire, c’est marquer les esprits en racontant des histoires puisées dans des thématiques de société. En attendant, celui qui a signé plusieurs courts-métrages et réalisé des clips pour Nabyla Maân, Sara Moulablad ou encore Barathon Lane jongle entre plusieurs scénarios et projets, tirant le meilleur du fait d’avoir « le cul entre deux chaises ».





    Un épisode où l’on évoque des personnages qui ne vont pas là où leur auteure veut les mener, des articles de presse collés sur les murs d’une Algérie encore blessée, un confinement à Istanbul, le trac de la première œuvre et de sa réception par le public, et  des références à Martin Scorsese, Paul Laverty, Ken Loach, Mohammed Khaïr-Eddine ou encore Leftah… 





    Bonne écoute !

    • 41 min

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