24 min

L'entreprise libérante pour tremplin (Lionel Strasbach - La Compagnie des Lavandières‪)‬ Culture d'entreprise.

    • Carrière

“Lavandière”. Le mot sent le soleil et la lavande. Un peu les cigales du sud de la France, et les accents d’autrefois. Au 19ème siècle, elles s’agenouillaient, courbées au bord des rivières. Elles savonnaient, battaient et rinçaient… Elles refaisaient le monde, ou tout au moins le village. Les lavandières et leur rituel au fil de l’eau ont inspiré bien des artistes.



Là les peintres Paul Gauguin, Francisco de Goya et Honoré Daumié.

Ici les plumes d’Émile Zola, des Frères Jacques et de Charles Trénet.



Aujourd’hui les lavandières n’existent plus, les tambours des machines ont remplacé les martèlement des battoirs… Elles n’existent plus, sauf dans l’entreprise de Lionel Strasbach.
Il voulait redonner ses lettres de noblesse au métier d’homme et femme de ménage, alors il y a deux ans, il a créé la Compagnie des Lavandières.



Son objectif : accompagner, former à l’autonomie et donner confiance à ces petites mains qui font briller notre quotidien.



“Si je fais ce métier là, c’est pour ce côté humain : offrir des opportunités à des gens qui n’en ont pas eues.” explique Lionel. Lui aussi a appris avec la Compagnie. Il raconte que “l’erreur est un diplôme”. Les limites se sont construites petit à petit, mais avec cette volonté au dessus de tout : inventer un modèle libérant et responsable, pour remettre un peu de soleil, et bien sûr de lavande, dans nos maisons.



Bonne écoute !

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

“Lavandière”. Le mot sent le soleil et la lavande. Un peu les cigales du sud de la France, et les accents d’autrefois. Au 19ème siècle, elles s’agenouillaient, courbées au bord des rivières. Elles savonnaient, battaient et rinçaient… Elles refaisaient le monde, ou tout au moins le village. Les lavandières et leur rituel au fil de l’eau ont inspiré bien des artistes.



Là les peintres Paul Gauguin, Francisco de Goya et Honoré Daumié.

Ici les plumes d’Émile Zola, des Frères Jacques et de Charles Trénet.



Aujourd’hui les lavandières n’existent plus, les tambours des machines ont remplacé les martèlement des battoirs… Elles n’existent plus, sauf dans l’entreprise de Lionel Strasbach.
Il voulait redonner ses lettres de noblesse au métier d’homme et femme de ménage, alors il y a deux ans, il a créé la Compagnie des Lavandières.



Son objectif : accompagner, former à l’autonomie et donner confiance à ces petites mains qui font briller notre quotidien.



“Si je fais ce métier là, c’est pour ce côté humain : offrir des opportunités à des gens qui n’en ont pas eues.” explique Lionel. Lui aussi a appris avec la Compagnie. Il raconte que “l’erreur est un diplôme”. Les limites se sont construites petit à petit, mais avec cette volonté au dessus de tout : inventer un modèle libérant et responsable, pour remettre un peu de soleil, et bien sûr de lavande, dans nos maisons.



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