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    Trois séries inédites qui arrivent sur Max au lancement

    Trois séries inédites qui arrivent sur Max au lancement

    C’est que le temps passe et le 11 juin, date de lancement de la plateforme Max avec tous les titres classiques HBO, mais aussi le cinéma TMC et Warner Bros, approche bientôt. Pour cette reco du weekend afin de donner un aperçu des titres qui seront disponibles au lancement, voici trois séries qu’on n’a pas encore eu l’occasion de voir en France mais qui valent le détour.



    The Girls on the Bus, la sororité dans la politique



    The Girls on the Bus est une libre adaptation du livre Chasing Hillary d'Amy Chozick, ou plus exactement d’un chapitre précis du livre. La série suit le parcours de quatre journalistes féminines couvrant la campagne présidentielle américaine. En plus de leurs aventures professionnelles, elle explore leurs vies personnelles et les défis qu'elles rencontrent dans un environnement dominé par les hommes. Melissa Benoist, connue pour son rôle dans Supergirl, incarne l'une des journalistes centrales, qui est poussée par la passion de la politique mais aussi par des idéaux. Malheureusement, la candidate qu’elle a suivie a perdu, et maintenant elle doit trouver un autre poulain sur qui parier qui saura aussi la motiver. Plongée au cœur du journalisme politique, The Girls on the Bus offre un regard incisif sur les rouages des campagnes électorales et la quête de vérité, tout en célébrant la solidarité féminine et le pouvoir de la presse. Même si la série a été annulée au bout d’une saison, elle se suffit à elle-même.




    https://youtu.be/dRM5UwaY-XU?si=cjGiIaG_z1CtgZdC




    [bs_show url="girls-on-the-bus"]



    Julia, de la douceur dans ce monde de brutes



    Vous connaissez déjà le film Julie et Julia avec Amy Adams et Meryl Streep dans les rôles titres, découvrez à présent juste Julia. La série est inspirée de la vie de Julia Child et de son émission culinaire révolutionnaire, The French Chef. Elle retrace l'ascension de Julia Child, interprétée par Sarah Lancashire, et son impact monumental sur la télévision et la culture culinaire américaine. Sarah Lancashire brille dans le rôle de Julia Child, capturant son esprit inébranlable et son amour pour la cuisine (difficile de passer derrière Meryl Streep et pourtant), tandis que David Hyde Pierce joue Paul Child, le mari dévoué de Julia. On entre dans les coulisses de l’émission mais aussi dans l’inspiration de Julia. On se retrouve plongé dans une reconstitution fidèle de l’époque et dans l'univers de la gastronomie avec une touche d'émotion et d'humour. Deux saisons pleines de bonnes choses sont à découvrir !




    https://youtu.be/s69fQRE-GaA?si=L9BA8Nm0b-lSIvE6




    [bs_show url="julia-2022"]



    Our Flag Means Death, ô à la piraterie



    On termine sur Our Flag Means Death, une comédie d'aventure créée par David Jenkins, qui revisite avec humour et originalité le monde de la piraterie et grandement appréciée du public. Inspirée des véritables aventures de Stede Bonnet, un aristocrate qui abandonne sa vie de luxe pour devenir pirate, la série met en vedette Rhys Darby dans le rôle de Bonnet, et Taika Waititi en tant que capitaine Barbe Noire. Ensemble, ils naviguent sur les mers tumultueuses tout en développant une relation inattendue et touchante. Ce mélange de comédie absurde et de moments sincères, remet au goût du jour le mythe du pirate. Les performances charismatiques de Darby et Waititi, ainsi que l'écriture inventive, font de cette série un incontournable pour ceux qui cherchent une évasion drôle et émotive. En plus de son humour décalé, la série brille par ses personnages attachants et ses dialogues savoureux, créant un univers unique où l'absurde côtoie la tendresse, ce qui touchera plus d’un cœur.




    https://youtu.be/prQDst-tAJ8?si=2Cgw3_-TRIEuqbuh




    [bs_show url="our-flag-means-death"]



    Que vous soyez amateur de drames politiques, de biopics inspirants o…

    Becoming Karl Lagerfeld sur Disney+ : la genèse d’un génie

    Becoming Karl Lagerfeld sur Disney+ : la genèse d’un génie

    Comment devient-on une icône de la mode ? Avec du talent, certes, de la persévérance évidemment et une grande dose de créativité. Des traits qui habillent à la perfection le héros éponyme de la nouvelle fiction de Disney+ : Becoming Karl Lagerfeld. Un héros aux ambitions extra-larges engoncées dans une réalité aux coutures trop étroites. En effet, en 1972, lorsque la série débute, Karl Lagerfeld est un quasi-inconnu qui s’illustre tant bien que mal dans l’univers du prêt-à-porter. Une carrière trop en deçà de ses attentes et de, sans doute, son talent alors qu’Yves Saint Laurent, qui a commencé sa carrière en même temps que lui, est un créateur adulé de la haute couture. Complexe et complexé, le styliste ingurgite la nourriture sans limites, mais abhorre sa silhouette, subvient au moindre besoin d’un jeune homme, Jacques de Basher, à qui il n’a pourtant jamais dit « je t’aime » et vit avec sa mère, la seule personne en qui il a totalement confiance. Un trop-plein de frustrations qui va – enfin – le pousser à devenir le grand nom de la mode qu’il a toujours ambitionné de devenir.




    https://www.youtube.com/watch?v=7hugYD-nb58




    Becoming Karl Lagerfeld : « Il n’y a pas un jour de ma vie où je n’ai pas rêvé d’être un grand homme »



    Quand nous avons interviewé Isaure Pisani-Ferry, l’une des créatrices de cette nouvelle fiction signée Disney+ lors de l’édition 2024 de Canneséries, Becoming Karl Lagerfeld allait être projeté en avant-première mondiale le soir-même sur l’écran géant de l’auditorium Louis Lumière. Et si la jeune femme était nerveuse, elle a pris ce moment comme l’apogée des trois années de travail qu’a représenté la création de la série. Une série « qui n’est pas un biopic », précise-t-elle, puisque lors du premier épisode, Karl Lagerfeld a déjà 38 ans. Non, ici, la narration se concentre sur un pan de vie intense et dramatique, ou, pourrait-on dire de manière quasi-géométrique, sur le carré d’amour/haine constitué d’Yves Saint Laurent, Pierre Bergé, Jacques de Basher et enfin de Karl Lagerfeld. Et lorsqu’on a demandé à Isaure Pisani-Ferry quelle a été la découverte la plus surprenante lorsqu’elle s’est plongée dans la vie romanesque de ce personnage haut en couleur, elle nous répond : « sa capacité à affabuler, voire à mentir ! Sur son âge, ses origines sociales, son pays d’origine et même sur son prénom ! À un moment, il se faisait même appeler Roland ! Mais aussi, sa disposition à se réinventer, à n’importe quel âge. Ce qui est une belle leçon de vie. »



    Une complexité brillamment retranscrite à l’écran par Daniel Brühl qui trouve des partenaires de jeu de haut vol avec Théodore Pellerin, interprète toujours très juste d’un Jacques de Bascher indolent et provocateur, Alex Lutz qui prête ses traits à Pierre Bergé, nerveux et hautain et Arnaud Valois dans le rôle crucial d’Yves Saint Laurent. Un casting qui a l’étoffe nécessaire pour nous happer immédiatement dans les rivalités amoureuses et professionnelles qui jalonnaient alors la vie de Karl Lagerfeld. Un jeu d’acteurs qui s’inscrit dans la qualité globale de la mini-série à l’esthétique soignée et à la réalisation sans faute, assurée de concert par Jérôme Salle et Audrey Estrougo. Et un souci du réalisme qu’Isaure Pisani-Ferry a pris très à cœur : « J’ai rencontré Gilles Dufour, qui a longtemps été son assistant, puis son bras droit. Patrick Hourcade, son décorateur et meilleur ami ou encore Carlos Munoz, son filleul, pour avoir une idée précise de qui était Karl Lagerfeld dans les années 70. » Consciente du challenge de s’attaquer à un véritable mythe de la mode internationale, la jeune femme a dû, et a su, trouver le bon équilibre entre les codes d’écriture d’une fiction et l’exigence de ne pas éclabousser le nom d’une ic

    The Acolyte, tout sur les Jedi

    The Acolyte, tout sur les Jedi

    Créée par Leslye Headland (Poupée russe), la nouvelle série de la saga Star Wars pourrait bien vous étonner. Assez loin de la saga Skywalker, The Acolyte pose son décor avant les événements de Star Wars: Episode I - La Menace Fantôme environ un siècle auparavant. La série explore les derniers jours de l'ère de la Haute République, une période relativement paisible et prospère pour la galaxie. Cette époque est marquée par une influence croissante des Sith, qui opèrent dans l'ombre, cherchant à déstabiliser l'ordre galactique et à préparer leur retour au pouvoir. Le terme "Acolyte" du titre fait référence à un apprenti Sith ou à quelqu'un en formation sous la tutelle d'un Sith. Ainsi, la série se concentre sur les aspects plus sombres de la Force, explorant la montée en puissance des ténèbres et les intrigues politiques et mystiques qui y sont associées. La série débute ce mercredi sur Disney+ pour une première saison de huit épisodes.




    https://youtu.be/6hEZHyf9iKU?si=z_sc6e5N5LB88Hkq




    Le premier épisode est plutôt malin pour servir d’exposition en revenant sur le personnage principal d’Osha Aniseya (Amandla Stenberg) sous forme d'interrogatoire. Elle est une ancienne Padawan qui a quitté l’ordre des Jedi. Mais sa vie prend un tournant inattendu quand elle est arrêtée pour meurtre d’un maître Jedi. Malgré son déni de toute culpabilité, toutes les évidences semblent l’accuser avec un témoin visuel. Son ancien maître (Lee Jung-jae de Squid Game) va venir à sa rescousse en assumant ses responsabilités tout en tentant de l’innocenter accompagné de sa nouvelle Padawan (Dafne Keen) et d’un Jedi fraîchement sorti de l’académie (Charlie Barnett). Rapidement, on va comprendre qu’il s’agit de sa sœur jumelle présumée morte (jouée par la même actrice) qui semble être une apprentie Sith qui est derrière le meurtre et qui s’apprête à en tuer d’autres. Mais pour quelles raisons ? D’où viennent-elles ?



    Cette série propose de lever le pan sur une facette de la saga qu’on connait mal, les Sith, pourtant fascinants. Se positionner durant la Haute République sans tout le poids de la rébellion mais en prenant juste quelques éléments du lore est un grand avantage pour The Acolyte qui peut ainsi se concentrer sur ses personnages plutôt que de vouloir satisfaire les fans. Les acteurs sont excellents, avec une bonne alchimie de groupe. Quelque part, peut-être qu’il s’agit d’un des rares groupes de protagonistes Star Wars plutôt lambda, avec des conversations normales pleine d’humour, des amitiés qui se forgent et des sentiments, malgré des niveaux de langues à la Jedi. La traque est prenante, les décors des planètes extraterrestres sont magnifiques comme d’habitude. Et les combats sont d’une chorégraphie très lisibles où la Force s’intègre parfaitement même s’ils mettent plus en avant le corps à corps plutôt que les sabres laser.



    [bs_show url="the-acolyte"]



    Pour les fans de Star Wars, mais surtout pour ceux qui ne connaissent pas le lore ou mal, The Acolyte pourrait être leur prochain thriller en occultant la franchise. Elle débarque sur Disney+ pour huit épisodes avec un par semaine.

    Mary & George, séduction à la cour de Jacques Ier

    Mary & George, séduction à la cour de Jacques Ier

    Mary & George, le drame historique du XVIIe siècle, débarque sur Canal+ dès demain après avoir été présentée en avant-première à Séries Mania cette année. Cette mini-série explore l’histoire des personnages éponymes mère et fils (Julianne Moore et Nicholas Galitzine) qui s’intègrent à la cour du roi Jacques Ier (Tony Curran) grâce à la séduction de George. Avec une profusion d’alliances, de trahisons, de ruptures et de réconciliations en sept épisodes de 50 minutes, la série est déjà intrigante en soi. Cependant, c’est le ton singulier adopté par le créateur D.C. Moore, dans son adaptation du récit non-fictionnel de Benjamin Woolley, The King’s Assassin. Les sept épisodes seront diffusés les lundis à 21h avec trois épisodes au lancement puis deux les semaines suivantes.




    https://youtu.be/OYI7FtJr20c?si=QuMrqivSddfcQ20X




    À la fois comique et sensuel, l’histoire avec ses aspects anachroniques est étonnamment fidèle à la réalité. Tout comme un Dickinson ou encore un The Great, sans tomber dans l’absurde aussi poussé, Mary & George qui aurait pu être une simple histoire de sexe et d’ambition s’avère être une proposition très originale dans le paysage télévisuel. On peut aussi se référer à The Favorite qui mettait en scène une reine d’Angleterre avec des liaisons lesbiennes. Mais dans Mary & George, même si les scènes d’orgies et de relations charnelles sont assez fréquentes, le fond reste bien ancrée sur la soif de pouvoir et l’ambition d’une femme qui ne fait qu’utiliser son fils pour arriver à ses fins.



    Mary, une aristocrate mineure servante à ses débuts, ne pense qu’à se hisser plus haut. Et si cela doit passer par son fils benjamin béni avec un visage magnifique, soit. George voudrait vivre sa vie mais se retrouve pris au jeu de la liaison avec le roi Jacques Ier qui lui ouvre tout un tas de nouvelles portes dont il n’aurait osé rêver. Si George commence la série comme un garçon amoureux épris d'une servante, il la termine comme le premier duc de Buckingham, un rôle bien plus stratégique qu’un favori. Les deux acteurs sont excellents, Julianne Moore n’a plus rien à prouver, et Galitzine montre une nouvelle facette différente de Red White and Royal Blue. Eux et tous les autres vivotent autour du roi avec leurs machinations soutenues par la reine elle-même, ou d’autres figures importantes de la cour. Tony Curran réussit à être le centre de l’attention, oscillant entre des moments de lucidité et de longues périodes de ce qui semble être de la folie, bien que cela ne soit jamais identifié comme tel.



    Au fil de la saison, le temps passe et la politique évolue, que ce soit les guerres, la situation économique, etc. comme peut le faire n’importe quel royaume. La place laissée à la politique prend plus d’ampleur au fur et à mesure que George s'intègre davantage dans le cercle intime de Jacques.



    [bs_show url="mary-george"]



    Les thèmes queer de la série sont rafraîchissants dans cette mini-série historique aux costumes et décors somptueux. Les sept épisodes de Mary & George sont donc à découvrir sur Canal+.

    Will Trent, un agent spécial pas comme les autres

    Will Trent, un agent spécial pas comme les autres

    La série Will Trent, basée sur les romans de Karin Slaughter, suit le personnage éponyme, un agent spécial du Georgia Bureau of Investigation (GBI) doté d'un don particulier pour résoudre des enquêtes. Avec son attention au détail, il va tenter de résoudre des affaires complexes, parfois étant soutenu par la police locale. On pourrait croire qu’il s’agit d’un nouveau Sherlock, mais loin de là, Will Trent a au contraire bien trop d’émotions qu’il essaie de contenir. Déjà disponible sur Disney+, avec une saison 2 en cours outre-Atlantique, la saison 1 débarque sur TF1+.





    https://youtu.be/jRgnyFbH3RM?si=7TaAFj7h1bx947zS





    Dès le début on apprend que Will (interprété avec brio par Ramón Rodríguez) est dyslexique, qu’il a grandi dans un foyer et que s’il est agent spécial c’est parce qu’on lui a laissé une chance. Trent est présenté comme un homme marqué par son passé difficile dans le système de protection de l'enfance, tout comme son intérêt romantique et officier de police, Angie Polaski (Erika Christensen), avec qui il a grandi. Les deux sont dans une relation plus ou moins sérieuse, mais la peur de l’engagement des deux côtés est bien forte. En même temps, il va se mettre sur le dos beaucoup de gens que ce soit ses collègues ou ses ennemis à cause de son comportement abrasif. Il n’a pas peur de dire les choses voire carrément être impertinent. Mais en même temps, ce sont ces traumatismes et sa résilience qui l’amènent à être une personne avec ses TOC, son sens de la justice et de la moralité et qui font qu’il se démarque de beaucoup d’autres enquêteurs.




    Malgré son format procédural, la série a quand même un fil rouge conducteur. Dès les premiers épisodes, des affaires de meurtres apparemment sans lien entre eux commence à révéler des motifs et des connexions sous-jacentes. Et ce sont quand même ces enquêtes bien ficelées qui tiennent en suspens le spectateur. Chaque épisode apporte de nouveaux éléments à cette conspiration, avec des sous-intrigues qui se tissent autour de l'arc principal. Ayant été marqué par l’injustice et l’exclusion, Will a à cœur de défendre les plus démunis, et c’est pour ça qu’il adopte rapidement un chien et noue une relation avec une victime. Sur le papier, même si elle semble assez banale, le personnage principal et son entourage deviennent fortement attachants et on a envie d’en savoir plus sur eux qu’on connaisse ou non les livres originels.




    [bs_show url="will-trent"]



    Vous pourrez découvrir Will Trent gratuitement sur TF1+.

    Trois séries M6+ qui vont vous faire voyager dans le temps

    Trois séries M6+ qui vont vous faire voyager dans le temps

    Depuis le 13 mai dernier, 6Play a laissé la place à M6+. Au programme : une offre dense et éclectique de séries qui devrait satisfaire les amoureux de nouveautés ou les nostalgiques de fictions plus anciennes. Et si vous ne savez que choisir parmi la large sélection de titres, voici trois suggestions à thématique historique qui vont vous faire voyager dans le passé !



    Pan Am ou les débuts de Margot Robbie à la télé américaine



    Lancée en 2011 sur la chaîne ABC, Pan Am dépeint l’âge d’or de la compagnie aérienne Pan American World Airways ou plus simplement surnommée… Pan Am ! Elle suit plus précisément le quotidien de quatre hôtesses de l’air, métier qui dans les années 60 était entouré d’une aura qui fascinait le public. Maggie interprétée par Christina Ricci, Kate jouée par Kellie Garner, Colette incarnée par la Québécoise Karine Vanasse et enfin Laura, la cadette quelque peu naïve du quatuor, à qui une toute jeune Margot Robbie prête ses traits. Si l’actrice était déjà un visage connu du petit écran dans son Australie natale, elle a fait avec Pan Am, sa première incursion à la télévision américaine. Malgré le soin esthétique apporté quant à la reconstitution des avions, le jeu impeccable des acteurs – le casting féminin est complété par Mike Vogel et Michael Mosley – et les intrigues qui lorgnent intelligemment vers l’espionnage, Pan Am a été annulé au bout d’une saison de quatorze épisodes.




    https://www.youtube.com/watch?v=j8G3wlliJ9g




    [bs_show url="pan-am"]



    Good Girls Revolt, la rébellion journalistique



    Inspirée par la pétition signée par près de 50 employées du magazine Newsweek, dénonçant les discriminations dont elles étaient victimes au quotidien, Good Girls Revolt nous plonge dans la prise de conscience féministe de trois talentueuses documentalistes œuvrant au sein de la rédaction d’un quotidien américain News of the Week. Un journal encore fortement attaché à sa hiérarchie masculine alors que le monde extérieur est en pleine revendication en faveur des droits des femmes. Galvanisées par l’émancipation d’Eleanor Holmes Norton (Joy Bryant), une avocate qui travaille à l’Union américaine pour les libertés civiles et la démission de leur collègue Nora Ephron, interprétée par Grace Gummer, Patti (Genevieve Angelson), Jane (Anna Camp) et Cindy (Erin Darke) vont réaliser leur vraie valeur, à la fois sur le plan professionnel que personnel, et se délester de leur image de « filles dociles » pour se libérer du carcan patriarcal. M6+ propose les dix épisodes de cette première et unique saison.




    https://www.youtube.com/watch?v=PDw44D27K2A




    [bs_show url="good-girls-revolt"]



    Atlantic Crossing, l’alliance norvégo-américaine vue sous le prisme de l’amour



    Seconde guerre mondiale. Lorsque les allemands envahissent la Norvège, Martha (Sofia Helin), la princesse héritière du pays, fuit aux Etats-Unis en compagnie de ses trois enfants alors que son mari choisit de s’installer à Londres. Accueillie à la Maison-Blanche, la jeune femme peine intialement à trouver ses marques. Un inconfort qui va, peu à peu, s’estomper alors qu’elle se rapproche du président américain d’alors : Franklin Delano Roosevelt (joué par Kyle MacLachlan). Le dirigeant va d’abord la prendre sous son aile puis va lui ouvrir les yeux sur ses qualités de leader, encore en latence.  Si d’aucuns affirment que Martha a été l’un des grands amours du leader américain, personne ne sait réellement si la relation a été consommée. Et Atlantic Crossing dépeint à merveille cette dynamique délicate basée sur le respect et le partage des mêmes convictions. Une fresque historique, originellement diffusée en 2020, qui se positionne à mi-chemin entre le drame et le biopic. L’unique saison de cette série nordique se déroule en 8 épisodes, tous disponibles sur…

Avis

4,6 sur 5
8 notes

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