C-en-Vous C-en-Vous - Le podcast inspirant pour oser changer de voie professionnelle.

Bienvenue dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, je souhaite aborder un sujet qui sort un peu de mes thèmes habituels, mais qui me tient particulièrement à cœur. Il s'agit d'un sujet qui a été une épreuve dans ma vie personnelle. On l'appelle, épuisement maternel ; dépression post-partum ou encore baby-blues (selon l'intensité du vécu). 

Je n'en ai pas beaucoup parlé, car j'ai dû faire face à des émotions de honte et de culpabilité. Seuls mon mari, ma mère et mon beau-père étaient au courant.

Cela remonte à 13 ans maintenant, et cette expérience m'a profondément façonnée et rendue plus forte. 



Aujourd'hui, j'ai l'honneur d'accueillir Stéphanie Barbez au micro. Je ne saurais exprimer ma gratitude pour son témoignage, car il est à la fois touchant, sincère, puissant et émouvant. Rien que d'y penser, les larmes me viennent aux yeux. Stéphanie a fait preuve d'une force et d'une détermination dont elle peut être fière aujourd'hui. Mais surtout, elle adresse un message d'amour à ses proches qui l'ont soutenue tout au long de cette épreuve : sa maman, ses frères et ses amis. Merci infiniment, Stéphanie.

Je vous souhaite une agréable écoute.

 

Je suis ravie de vous proposer cette nouvelle conversation. 

Aujourd’hui, au micro : Elodie Castelain.



J’ai accompagné Elodie alors qu’elle était encore étudiante. Perfectionniste et très exigeante avec elle-même elle terminait alors ses études pour devenir sage-femme. 



Anxieuse, la lecture est et a toujours été son antidote. 



Aujourd’hui, elle est sage-femme et exerce en libéral. Elle a trouvé la bonne manière d’exercer son activité. Elle a appris à s’écouter et à se respecter. Elle dompte de mieux en mieux son exigence. Mais surtout, la lecture occupe aujourd’hui une grande partie de sa vie. Bloggueuse, son compte Instagram attire des afficionados de la lecture. 



Elle y parle de ses lectures, de ses ressentis et a découvert une communauté bienveillante qui fait aujourd’hui partie de sa vie. 

 

Elle est également sollicité par des maisons d’édition et se construit tout doucement une légitimité. 



Vous pouvez la retrouver sur son compte insta : https://www.instagram.com/labibliotheque_delo/ 



Son parcours est inspirant et touchant. 



Merci Elodie.

Je suis très heureuse de vous proposer ce nouvel épisode. Aujourd’hui, je vous propose d’écouter le témoignage de quatre femmes fortes, drôles et dynamiques ayant vécu une période d’épuisement professionnel. 



Vous allez le voir, il s’agit de quatre histoires différentes, de causes diverses mais elles se retrouvent aussi sur de nombreux points.



 Je remercie donc Margot Duplat, Mathilde Delassus, Camille Draillard et Justine Debeauquenne pour leurs témoignages. 



Je vous souhaite une belle écoute. 

« Ce n’est pas parce que je peux que je dois. »

 

Cette phrase qui sonne en moi comme un mantra, elle m’accompagne en permanence afin de contrecarrer mes drives Fais-plaisir et sois-parfaite. Cette phrase me rappelle qu’il est absolument nécessaire de fixer des limites au risque de m’oublier et de me sacrifier et aujourd’hui je sais que c’est une très mauvaise stratégie. 

 

Les personnes que j’accompagne qui m’évoque leur difficulté à dire non ont surtout à apprendre à se fixer des limites afin d’identifier quand une sollicitation extérieure dépasse les bornes. 

 

Dans le travail, lorsque votre boss ou collègue vous demande de gérer un dossier en plus alors que vous avez déjà de la difficulté à boucler votre dossier certains vons baragouiner un  semblant d’opposition, d’autres ne vont rien dire, et quelques exceptions vont s’opposer. Mais, très souvent, le dossier va être finalement traité. Sous quelles conditions ? En terminant tard le soir, en reprenant l’ordinateur le week-end, en ne déjeunant pas, en arrivant à 6 h le matin. En fait, parce que j’ai identifié que j’ai une possibilité d’y arriver, je vais le faire. 

 

C’est dans ma vie perso que cette phrase me sert le plus. Je sais qu’il est important pour moi de faire du sport pour me sentir équilibrée. Or, avec 4 enfants, j’ai de multiples sollicitations et pourrait renoncer à au moins 50% de mes séances de sport sans ce mantra. 

 

« Maman, tu peux me conduire au bus » ; « Maman, on peut faire un gâteau à deux » « Chéri, tu peux aller chercher le drive ? »  

 

Et si à ce moment là j’ai prévu de faire ma séance de sport, vous voyez l’émotion qui pointe son nez ? 

 

Et, oui, c’est elle, la culpabilité. 

 

Et donc, la deuxième étape c’est d’accepter l’inconfort de l’autre. Oui, quand je réponds non, l’autre peut être déçu. Mais aujourd’hui, je sais que c’est essentiel pour moi de m’accorder ces trois séances de sport par semaine. 

 

En plus, j’ai observé que je ne suis pas plus aimée et appréciée lorsque je dis non. J’ai même l’impression d’être plus respectée car je me respecte davantage. Cela ne crée pas plus de conflit car en réalité avant, je pouvais ressentir de l’amertume vis-à-vis de mon mari par exemple qui « abusait ». Et lui, n’avait pas trop de mal à dire non. 

 

Ce mantra, je vous le confie, vivez-le, ressentez-le, appliquez-le, il vous changera la vie. 

J'avais déjà pris un plaisir fou à accompagner Arnaud il y a 4 ans. Il était animateur Radio et souhaitait mener un projet entrepreunerial. Il s'est donné les moyens mais a finalement eu le courage de regarder son rêve en face : devenir acteur. 



Actuellement en dernière année aux cours Florent de Bruxelles. 

Il est comme un poisson dans l'eau... 



Il a trouvé sa place et ressens un apaisement jamais connu jusqu'alors. Pourtant, ce n'est pas simple ! Il travaille dans un hotel de nuit comme réceptionniste et fait des chantiers pour financer sa formation et pour subvenir à ses besoins ! 



Il nous évoque la place importante qu'a sa future femme dans ce projet. Un entourage aimant et soutenant qui lui a permis d'oser. 



Son témoignage démontre que tout est possible à partir du moment où on ne se trompe pas de projet et surtout en travaillant.



 Arnaud est touchant, inspirant, sensible. 



Je vous invite à découvir ses premières réalisations car je suis convaincue qu'il fera de belles choses. Il a récemment réalisé un court métrage avec Lucien Michiels (qui n'est autre que mon petit frère !). Et joue dans des pièces de théatre.



Je vous souhaite une bonne écoute.  

Je suis ravie de vous proposer cette conversation avec Emilie Pollet aujourd'hui conseiller immobilier pour le groupe Efficity. 

J'ai accompagné Emilie il y a un peu plus de 3 ans. Elle sortait d"une période assez difficile dans sa précédente entreprise et souhaitait construire un nouveau projet professionnel. 



Les ingrédients que nous avions identifié ensemble étaient : 

- En numéro 1 : un besoin d'indépendance, d'autonomie, de liberté. 

- En numéro 2 : un sens de l'esthétique qu'elle souhaitait mettre à contribution. 

- En numéro 3 : un souhait d'accompagner des transitions de vie. 



Si le projet travaillé a légèrement évolué, il rassemble ces trois éléments. Il fallait juste ajouter sa passion pour l'immobilier. 

Vous allez le voir, ce que je trouve interessant c'est qu'elle a choisit d'exercer ce métier à sa manière, en respectant ses valeurs et utilise ses compétences déco pour accompagner ses clients à se projeter ! La touch qui fait la différence !



Bonne écoute !