21 min

Celle du bureau (conte érotique‪)‬ Le Son du Désir podcast érotique

    • Sexualité

épisode spécial Le Son du Désir !



Celle du bureau



À une certaine époque de ma vie, j’ai été employé dans une agence d’attachés de presse. Celle- ci était spécialisée dans le monde de la culture . Mes seules motivations pour y travailler tenaient en trois points:

Premièrement il faut bien gagner de quoi payer son loyer ! Ensuite,  grâce à cet emploi j’obtenais de nombreuses invitations chaque semaine pour des vernissages à Paris . Enfin, troisième raison et non des moindres , j’y avais trouvé une sorte de planque car  si j’arrivais à créer l’illusion que j’œuvrais d’arrache-pied aux missions que l’on me confiait, la réalité était tout autre. Je m’arrangeais pour boucler le travail exigé en deux, trois heures le matin, afin de pouvoir buller discrètement l’après-midi.





J’étais ravi de découvrir chez cette jeune femme un appétit sexuel indécelable au premier abord.C’était elle, qui venait toujours me chercher . J’en étais presque intimidé. Si lors de nos premiers rendez-vous , nous mettions un certain temps à nous coller l’un à l’autre et à nous dévêtir, assez rapidement, Amélie avait adopté une attitude plus autoritaire me concernant  . Elle m’appelait, me désignait un lieu, un recoin,une porte, un couloir, un bureau, un fauteuil   et elle ne s’offrait pas à moi, non, elle s’offrait à nous . C’était comme si elle devenait une autre, qu’elle se révélait à elle-même, qu’elle se transformait en celle du bureau , c’est à dire, en un personnage qu’elle s’inventait de toutes pièces afin de se donner la force et le courage d’oser. Bien évidemment, j’adorais cela  .



C’était excitant de faire l’amour dans les toilettes, sur le canapé de l’accueil, sur le bureau du stagiaire, sur celui du responsable commercial que je n’aimais pas, et  sur celui de mon patron surtout. Elle, à genoux sur le fauteuil du PDG, se cramponnait au large dossier de cuir,  qu’elle mordait à certains moments. Et moi, derrière ses fesses si douces, qu faisais reculer à chaque coup de reins que je donnais  le siège à roulettes qui n’en finissait pas de couiner. Dans cette situation, seul mon sexe rentrait en contact avec elle. Je me contentais de tirer sur les accoudoirs entre lesquels elle était installée, afin de faire aller et venir vers moi la cavalière et sa monture.



plus d'histoires ?

www.lesondudesir.fr


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À une certaine époque de ma vie, j’ai été employé dans une agence d’attachés de presse. Celle- ci était spécialisée dans le monde de la culture . Mes seules motivations pour y travailler tenaient en trois points:

Premièrement il faut bien gagner de quoi payer son loyer ! Ensuite,  grâce à cet emploi j’obtenais de nombreuses invitations chaque semaine pour des vernissages à Paris . Enfin, troisième raison et non des moindres , j’y avais trouvé une sorte de planque car  si j’arrivais à créer l’illusion que j’œuvrais d’arrache-pied aux missions que l’on me confiait, la réalité était tout autre. Je m’arrangeais pour boucler le travail exigé en deux, trois heures le matin, afin de pouvoir buller discrètement l’après-midi.





J’étais ravi de découvrir chez cette jeune femme un appétit sexuel indécelable au premier abord.C’était elle, qui venait toujours me chercher . J’en étais presque intimidé. Si lors de nos premiers rendez-vous , nous mettions un certain temps à nous coller l’un à l’autre et à nous dévêtir, assez rapidement, Amélie avait adopté une attitude plus autoritaire me concernant  . Elle m’appelait, me désignait un lieu, un recoin,une porte, un couloir, un bureau, un fauteuil   et elle ne s’offrait pas à moi, non, elle s’offrait à nous . C’était comme si elle devenait une autre, qu’elle se révélait à elle-même, qu’elle se transformait en celle du bureau , c’est à dire, en un personnage qu’elle s’inventait de toutes pièces afin de se donner la force et le courage d’oser. Bien évidemment, j’adorais cela  .



C’était excitant de faire l’amour dans les toilettes, sur le canapé de l’accueil, sur le bureau du stagiaire, sur celui du responsable commercial que je n’aimais pas, et  sur celui de mon patron surtout. Elle, à genoux sur le fauteuil du PDG, se cramponnait au large dossier de cuir,  qu’elle mordait à certains moments. Et moi, derrière ses fesses si douces, qu faisais reculer à chaque coup de reins que je donnais  le siège à roulettes qui n’en finissait pas de couiner. Dans cette situation, seul mon sexe rentrait en contact avec elle. Je me contentais de tirer sur les accoudoirs entre lesquels elle était installée, afin de faire aller et venir vers moi la cavalière et sa monture.



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