21 min

Deuil: Les 5 étapes Sensible & décomplexée ☽

    • Santé mentale

Le deuil se produit dans notre vie lorsque nous nous confrontons à une perte. Nous voulons souvent passer à autre chose, avancer, oublier…​Comme si rien n’avait exister, nous pouvons fantasmer que nous avons cette capacité de tourner la page en une décision. Néanmoins, la bienveillance envers nous-mêmes dans ces situations de fragilité psychique, physique et émotionnelle est primordiale. C’est à ce moment-même que nous pouvons parler d’auto-respect, d’auto-valeur, d’auto-compassion.

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Attention au refoulement

Il est tout à fait fréquent de souffrir tellement fort que nous voulons juste que cela s’arrête. Alors, via une jolie convention mentale, nous déplaçons cette douleur dans le champ du refoulé afin que cela soit stocké à un autre endroit. Celui qui gère la « casse », les oublis, les traumatismes non digérées. En ce sens, nous clivons certaines situations de notre vie afin que tout le reste de notre quotidien se passe de la meilleure manière possible. Nous pouvons détecter ce clivage lorsque, par exemple, il nous est vraiment difficilement gérable voire impossible d’évoquer la (les) situation(s) en question. Nous pouvons peut-être nous mettre à pleurer instinctivement, ressentir un mal-être profond, être complètement handicapé ou bloqué. Tous ces signes de contraction émotionnelle sont à aller libérer afin d’effectuer un travail accompli de nos difficultés.

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Ce qui n’est pas traité en profondeur est latent

Cette fameuse case « refoulé » n’est qu’un leurre temporaire pour nous permettre de survivre, en quelque-sorte, dans une situation de crise. C’est un moyen de se protéger, d’ignorer, de « contrôler » ce qui se passe en nous. Néanmoins, tout ce qui n’est pas réglé, digéré, vécu réellement, est agissant à l’intérieur de nous sans que nous nous en rendions compte. C’est pourquoi, tous les comportements que nous adoptons sont en réponse à notre vie, notre éducation, nos blessures profondes… Nous nous adaptons très fréquemment pour ne plus jamais ressentir ce qui nous a réellement affligé. Lorsque nous avons dû couper des liens, que des disputes ont eu lieu de manière non « rattrapables » ou bien que nous avons eu affaire face à la maladie, à la mort, à la perte… Offrons-nous ce cadeau de ressentir pleinement ce qui se passe à l’intérieur de nous.  Toutes les émotions qui passent ne se bloqueront pas en nous… Elles seront libérées! Ensuite, le temps et le respect de notre rythme seront essentiels.

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1. Le Déni. 

Tout deuil débute par un déni. « Non, ce n’est pas possible, je n’y crois pas ». C’est une étape tout à fait normale du processus du deuil. Nous dénions la réalité car elle est trop violente et  agressive pour nous à ce moment-là. Alors, nous nous rassurons avec des images qui nous font du bien et qui nous apaisent. C’est une phase durant laquelle nous ne sommes pas capables d’intégrer la réalité.

« Un seul être vous manque et tout est dépeuplé​ » Lamartine

2. Le Marchandage

Par la suite, nous pouvons rechercher toutes les solutions possibles et inimaginables pour ne pas que cela soit réel. Alors, nous pouvons par exemple regarder sur les forums quelles les possibilités qui s’offrent à nous nous ou à la personne concernée pour transformer la situations. Nous sommes dans une phase de collecte d’informations pour tenter de maintenir sous contrôle ce qui nous effraie le plus...

Le deuil se produit dans notre vie lorsque nous nous confrontons à une perte. Nous voulons souvent passer à autre chose, avancer, oublier…​Comme si rien n’avait exister, nous pouvons fantasmer que nous avons cette capacité de tourner la page en une décision. Néanmoins, la bienveillance envers nous-mêmes dans ces situations de fragilité psychique, physique et émotionnelle est primordiale. C’est à ce moment-même que nous pouvons parler d’auto-respect, d’auto-valeur, d’auto-compassion.

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Il est tout à fait fréquent de souffrir tellement fort que nous voulons juste que cela s’arrête. Alors, via une jolie convention mentale, nous déplaçons cette douleur dans le champ du refoulé afin que cela soit stocké à un autre endroit. Celui qui gère la « casse », les oublis, les traumatismes non digérées. En ce sens, nous clivons certaines situations de notre vie afin que tout le reste de notre quotidien se passe de la meilleure manière possible. Nous pouvons détecter ce clivage lorsque, par exemple, il nous est vraiment difficilement gérable voire impossible d’évoquer la (les) situation(s) en question. Nous pouvons peut-être nous mettre à pleurer instinctivement, ressentir un mal-être profond, être complètement handicapé ou bloqué. Tous ces signes de contraction émotionnelle sont à aller libérer afin d’effectuer un travail accompli de nos difficultés.

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Ce qui n’est pas traité en profondeur est latent

Cette fameuse case « refoulé » n’est qu’un leurre temporaire pour nous permettre de survivre, en quelque-sorte, dans une situation de crise. C’est un moyen de se protéger, d’ignorer, de « contrôler » ce qui se passe en nous. Néanmoins, tout ce qui n’est pas réglé, digéré, vécu réellement, est agissant à l’intérieur de nous sans que nous nous en rendions compte. C’est pourquoi, tous les comportements que nous adoptons sont en réponse à notre vie, notre éducation, nos blessures profondes… Nous nous adaptons très fréquemment pour ne plus jamais ressentir ce qui nous a réellement affligé. Lorsque nous avons dû couper des liens, que des disputes ont eu lieu de manière non « rattrapables » ou bien que nous avons eu affaire face à la maladie, à la mort, à la perte… Offrons-nous ce cadeau de ressentir pleinement ce qui se passe à l’intérieur de nous.  Toutes les émotions qui passent ne se bloqueront pas en nous… Elles seront libérées! Ensuite, le temps et le respect de notre rythme seront essentiels.

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1. Le Déni. 

Tout deuil débute par un déni. « Non, ce n’est pas possible, je n’y crois pas ». C’est une étape tout à fait normale du processus du deuil. Nous dénions la réalité car elle est trop violente et  agressive pour nous à ce moment-là. Alors, nous nous rassurons avec des images qui nous font du bien et qui nous apaisent. C’est une phase durant laquelle nous ne sommes pas capables d’intégrer la réalité.

« Un seul être vous manque et tout est dépeuplé​ » Lamartine

2. Le Marchandage

Par la suite, nous pouvons rechercher toutes les solutions possibles et inimaginables pour ne pas que cela soit réel. Alors, nous pouvons par exemple regarder sur les forums quelles les possibilités qui s’offrent à nous nous ou à la personne concernée pour transformer la situations. Nous sommes dans une phase de collecte d’informations pour tenter de maintenir sous contrôle ce qui nous effraie le plus...

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