
60 épisodes

Dinguerie Room Engle
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- Humour
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4,6 • 304 notes
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Bienvenue dans Dinguerie Room, le refuge et sanctuaire à la dinguerie. Tous les quinze jours, Amelle Chahbi reçoit une personnalité de la scène comique pour une discussion sans filtre. L ‘intimité, le off, le drôle mais aussi le moins drôle. Dans Dinguerie Room, on parle de ce qui les fait vibrer, flipper et rêver dans ce métier pas comme les autres. Le point commun entre Amelle et ses invités ? Un micro et une passion pour l’humour et la scène. Dinguerie Room, une nouvelle discussion entre passionnés à savourer tous les 15 jours.
Présenté par Amelle Chahbi
Productrice : Clemence Friess
Réalisateur : Raphael Fruchard
Ingénieur du son : Thomas Gabriel
Coordinatrice de production: Alix Penichon
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Dinguerie Room est un podcast original Engle.
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La Dinguerie Room de Papy.
Amelle reçoit celui qui fait sauter les verrous. La légende vivante. Papy.
Le rôle crucial de la considération et l’importance de la singularité. Avoir beau être une légende vivante, se sentir avant tout un accompagnateur artistique chanceux de vivre des aventures humaines. Les rencontres qui marquent, le métier de metteur en scène, l’improvisation théâtrale mais aussi littéraire. L’importance de tester parce que le vrai metteur en scène c’est le public. Être un enthousiaste qui communique son enthousiasme à des gens qui doutent. Une future Papynière à Trappes ou encore le jumelage de la ville de Trappes avec la Comédie Française. L’amour des clowns et des burlesques américains parce que le comique de situation c’est fabuleux. L’importance de maitriser sa respiration au bon endroit et d’être dans le présent avec l’autre, dans l’accident possible. Cette chance de faire du spectacle vivant. La charge mentale qu’un spectacle représente pour un artiste qui comme un pilote de formule 1 n’a pas le droit à l’erreur. Le profond respect pour les personnes qui se mettent à nue pendant plus d’une heure. Ce surnom adoré d’un enfant abandonné chez Tata Tonton, et qui est devenu au fil des ans le papy de tout le monde. Les dingueries du passé et celle du future. On parle de Jamel Debbouze, Blanche Gardin, Bun Hay Mean, Wahid Bouzidi, Sophia Aram, Arnaud Tsamère, Alban Ivanov, Issa Doumbia, Mounia Aram, Jacques Massadian, Chloé Oliveres, Monsieur Fraize, Buster Keaton, Éric Ruf, Molière, Les frères Tamouille, Sanseverino, Frédéric Jeandupeux, Déclic Théâtre, le Trophée Culture et Diversité, la séquence du spectateur, Mustapha El Atrassi ou encore Coluche. Et puis on voyage, à fête de l’Huma, au Movie’s, au Field … et forcément à Trappes. -
La Dinguerie Room de Wahid Bouzidi.
Amelle reçoit celui qui tient la promesse qu’il s’est faite d’être debout sur scène et de kiffer la vie. Wahid Bouzidi.
Passer du théâtre mélodramatique au stand up et y retrouver une famille avec laquelle on vit les meilleurs moments de sa vie, on passe des messages collectivement et on se créé des souvenirs impérissables sur (et hors) scène. Une générosité qu’on apprend à 44 ans à mesurer avec des « non ». L’importance de donner de la force aux autres, au moins pour la première. Un troisième AVC qui change tout avec des parloirs blancs qu’on pardonne mais dont on oubliera jamais la solitude, et cette promesse faite que si on arrive à contredire les médecins en remarchant on kiffera la vie en sortant de l’hôpital. L’amour inconditionnel pour une femme exceptionnelle qu’on veut plus que tout rendre fière. Une renaissance qui fait évoluer ses priorités à base de sport, de semaines rythmées par des rendez-vous mais aussi des vacances. Cette première qui prend la forme d’une victoire. L’écriture, les dingueries, le plus beau cadeau du monde… On parle de Booder, Papy, Kader Aoun, Yacine Belhousse, Noom Diawara, Frédéric Chau, Patson, Mouss Diouf, Thomas Ngijol, Fabrice Éboué, Claudia Tagbo, Paul Séré, Chris Rock, Emilio Butragueño. Et on voyage au Jamel Comedy Club, au Casino de Paris en passant pas la salle Jacques Prévert d'Aulnay sous bois, le République, le Théâtre de Dix Heures, le Grand Point Virgule, le Petit Point Virgule, l'Apollo et l’Olympia. -
La Dinguerie Room de Louis Dubourg.
Amelle reçoit celui pour qui chacune de ses blagues est un accident, trouvée sur le moment. Louis Dubourg.
Une passion pour le stand up née bien avant de monter sur scène. L’impossibilité d’écrire sur commande. Faire ou pas faire une heure telle est la question. Cette horrible première fois sur scène mais après laquelle on décide d’en faire son métier. Le rôle du MC qui permet d’apprendre que le plus important c’est ce qu’on diffuse au public. L’envie d’être anonyme sur scène. Des cheveux qui prennent feu dans la salle. Le podcast Un café au Lot 7. L’enfance, la famille, les sacrifices qu’il faut faire les premières années, l’ego, les dingueries. S’être coupé des réseaux sociaux, ChatGPT ou encore vivre des déclics qui font avancer. On parle de Bill Burr, Patrice O'Neal, Norm MacDonald, Louis CK, David Letterman, Fary, Yacine Belhousse, Pierre Thevenoux, Adrien Arnoux, Paul Dechavanne, Nathan Bensoussan, Alex Nguyen, Panayotis Pascot, Vérino, Seinfeld, Sarah Silverman, Jason Brokerss, Doully, Johnny Hallyday, Blanche Gardin, John Mulaney, Todd Barry, Seth Rogen, Jude Apatow, Will Ferrell, Amy Schumer, Richard Pryor, Thomas VDB, Eddy King, Dave Chappelle, Alain Chabat, Éric Judor, Harry Potter, Jay-Z… En passant par le Fridge, Saturday Night Live, les Soirées 1ere fois, le Goku, le Zonar, le théâtre de l’Atelier, l’Européen et biensûr au Madame Sarfati. -
La Dinguerie Room d’Haroun.
Amelle reçoit celui pour qui tout le monde est capable de tout comprendre, si on situe la vanne. Haroun.
La hantise de l’excès de parole et le besoin de rester en retrait pour se concentrer sur ce qu’on a envie de dire et la façon de clarifier son propos. Le partage de culture gratuite, la responsabilité qu’ont les humoristes de leurs blagues et la façon dont les gens en rient. La sur-bienveillance derrière laquelle se cache souvent du mépris. Avoir à coeur de parler de sujets sociétaux avec des références populaires. Aimer par-dessus tout l’écriture. L’acmée et comment se renouveler et faire mieux que le spectacle précédent. L’importance de s’intéresser aux générations qui suivent. La folie et la démesure des années 80. Les classiques de comédie avec des dialogues qui font la différence. Dans le désordre on parle de Jean-Pierre Bacri, Agnès Jaoui, Yacine Belhousse, Alex Vizorek, Rédouane Bougheraba, Michel Blanc, Dave Chapelle, George Carling, Coluche, le Splendide, Johnny Hallyday, Charles Aznavour, I AM, Jacques Audiard… Mais aussi de Pasquinade, de La lamentation du prépuce de Shalom Auslander, Viens chez moi j’habite chez une copine, Marche à l’ombre, Les Bronzés, Le père Noël est une ordure, Affreux sales et méchants, Un air de famille, Astérix et Obélix : Mission Cléôpatre, OSS 117, Cuisine et Dépendance ou encore Rocky. -
La Dinguerie Room de Virginie Hocq.
Amelle reçoit celle pour qui il est important de ne pas oublier que si l’on s’amuse, les gens s’amusent. Virginie Hocq.
Ces imprévus sur scène où le corps nous rappelle qu’on est juste humain. L’importance de la valorisation et de ne pas casser dans l’oeuf le désir de créativité. Se souvenir de tous les gens qui nous ont porté à un moment. Avoir depuis le premier jour conscience qu’on est toujours le plus petit de quelqu’un. Le théâtre, cette fondation acquise à l’Académie et au Conservatoire. Être remplie de doutes mais choisir la liberté. L’emploi du temps de maman dans lequel on a parfois l’impression d’être au cirque et de faire tourner des assiettes sur des baguettes. L’importance d’être curieux et d’avoir plusieurs cordes à son arc. Le besoin d’incarner les choses. L’empathie, la reconnaissance, l’amour des spectateurs qu’on aimerait pouvoir serrer dans ses bras. Les moments de grâce sur scène… On parle de Denise Gray, Vincent Taloche, Victor Scheffer, Blanche Gardin, Gad Elmaleh, Valérie Lemercier, Pascal Guillaume, Annie Cordy… Et forcément, on voyage entre Bruxelles et Paris. -
La Dinguerie Room de Mustapha El Atrassi.
Amelle reçoit Mustapha El Atrassi.
Les adieux sur scène à la scène. La stigmatisation de l’Islam. Le prix et les fruits d’une indépendance totale. L’amour inconditionnel pour la grande Khadija El Azzouzi. Être sur scène comme dans la vie. Le public et l’impact de sketchs dans la vie des gens. Jacques Brel. Chris Rock. Il était une fois dans le Bronx… Et partir la tête pleine de souvenirs après avoir vécu des moments extraordinaires sur scène. Bienvenue dans une dinguerie plus qu'exceptionnelle.
Avis
Un podcast complet
J’ai écouté une dizaine d’épisodes (en partant du début) en quelques jours et c’est assez drôle de voir la différence de regards entre les humoristes. Tu peux entendre un humoriste dire qu’il est trop fan de stand up américain, et l’épisode d’après entendre un humoriste qui se fout de la gueule des geeks du stand up. Pareil pour la peur avant de rentrer sur scène, la façon d’écrire etc. C’est très plaisant de voir qu’il y a autant de façons de faire que d’humoristes, le tout avec une trame d’Amel certes un peu répétitive mais qui permet de passer toujours par des thèmes intéressants. Le tout avec beaucoup de bienveillance. Le seul bémol peut être, que j’entends dans tous les podcasts fait par des humoristes, c’est que vous pensez être les seuls à être tarés ou avoir des failles avec des fonctionnements chelous. Je pense qu’on est tous comme ça avec des cotes obscurs ou chelou, vous avez juste un peu plus d’égocentrisme pour en faire des blagues et l’étaler sur scène (ce qu’on adore). Mais le « vrai monde » est composé des mêmes tarés j’en suis sur.
Ce podcast est une crème glacée Haagen Dazs 🍦
J’ai grandi avec la génération « Jamel Comedy Club » d’Amelle Chahbi et je kiffais tellement. Je l’ai perdu de vue un moment car plus autant médiatisé qu’avant. Je l’a retrouve par hasard dans ce podcast et j’écoute sans m’attendre à grand chose et honnêtement c’est juste ce dont on a besoin aujourd’hui. On (re)découvre des comédiens sous un angle qu’on ne connaît pas forcément. On sent une complicité de dingue avec chaque invité. Je suis tombé sur des podcasts vraiment malaisant sur cette plateforme mais celui là il te suspend sur un petit nuage. J’écoute ça en voiture je peux vous dire que j’ai retrouvé ma zen attitude. J’en suis devenu accro. Je t’encourage à continuer parce que nous on est là suspendu à ton micro 🥹🫶🏼😉
Un castpodrafraîchissant
J’aime écouter ce podcast où c’est léger et frais ! Un regret peu de comiques féminines et moi j’apprécie le verlan!!!!soyez vous !