Gestion de crise avec mon enfant L'Essentiel des Parents
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- Famille - parents
Un podcast explosif qui viendra vous aidez au quotidien
Notre 6′ podcast de notre défi, 6/30 jours
J’ai souhaité traiter un sujet qui me semble important. La
gestion de crise !
Nous verrons la différence entre le stress et une émotion,
petit crochet sur la colère, comment éviter une crise et ce qu’il faut faire en cas de crise.
Dans ma vie professionnelle et personnelle, j’y ai été
confronté de nombreuses fois, dans la vie de tous les jours, les disputes qui
dégénères, les réactions émotionnelles incontrôlables, durant certaines
interventions de police à l’époque où j’y étais c’était assez fréquent et
aujourd’hui dans le secteur du social aussi !
J’ai été formé à
gérer certaines situations de crises mais celles qui nous intéressent
aujourd’hui ce sont celles de nos petits bouts !
Vous voyez les crises où on est complétement perdu, démunie
face à ce flot émotionnelles dévastateur. Celles qui nous remue les tripes et
ou par moment nous aussi on finit par exploser de rage…
L’idée c’est de vous donner des explications et des conseils
en cas de tsunami émotionnel !
Alors je vous invite à écouter le podcast que j’ai fait sur
les émotions, ce qui est étroitement lié au sujet d’aujourd’hui.
Ce que nous prenons pour des émotions, souvent il s’agit de
réaction d’adaptation, l’expression de besoins biologiques ! Ce que nous
prenons pour des émotions ne le sont finalement pas. Le corps s’adapte aux
stimulations provoqué par l’environnement et génère ce que l’on peut appeler un
stress. Ce stress étant provoqué par les hormones déclenché par l’amygdale etc…
Avec nos enfants, il faut faire la distinction entre un
stress et une émotion.
Est-ce une réaction à la frustration ? Est-ce que c’est
de la colère ?
Isabelle Filliozat la dit à de nombreuses reprises que la colère était une émotion qui répare, qui vient justement favoriser le bon développement de notre enfant ! si l’enfant se révolte de cette manière c’est magnifique ! Bon que dans la théorie… car dans la pratique ce n’est pas la même !
Paradoxalement il faut leurs permettre d’être en
colère !
Finalement notre grand rôle la dedans est de favoriser cette
réparation. En acceptant la révolte de son enfant, en l’aidant à exprimer ce
que lui ressent comme une attaque.
Isabelle Filliozat nous explique qu’un enfant qui est devant un dessin animé a le cerveau qui se met en onde alpha, hypnotisé en quelque sorte, ce qu’il voit à l’écran stimule le noyau accumbens responsable du circuit du plaisir et de la récompense (bref les addictions). Son cerveau sécrète des opioïdes, si nous coupons brutalement la télé, il y a une chute de ses opioïdes, ça déclenche le circuit de la douleur ! ils ressentent une vraie douleur.
Du coup si on remet une couche avec notre propre colère, le
cocktail chute d’opioïdes et gros stress font disjoncter notre enfant.
Il vaut mieux Eviter la crise de rage que de la gérer !
J’en profite pour vous rappeler qu’il ne faut pas d’écran
avant l’âge de 3 ans (les spécialistes insistent sur ce point).
Il faut simplement ne pas le laisser se faire hypnotiser par
Un podcast explosif qui viendra vous aidez au quotidien
Notre 6′ podcast de notre défi, 6/30 jours
J’ai souhaité traiter un sujet qui me semble important. La
gestion de crise !
Nous verrons la différence entre le stress et une émotion,
petit crochet sur la colère, comment éviter une crise et ce qu’il faut faire en cas de crise.
Dans ma vie professionnelle et personnelle, j’y ai été
confronté de nombreuses fois, dans la vie de tous les jours, les disputes qui
dégénères, les réactions émotionnelles incontrôlables, durant certaines
interventions de police à l’époque où j’y étais c’était assez fréquent et
aujourd’hui dans le secteur du social aussi !
J’ai été formé à
gérer certaines situations de crises mais celles qui nous intéressent
aujourd’hui ce sont celles de nos petits bouts !
Vous voyez les crises où on est complétement perdu, démunie
face à ce flot émotionnelles dévastateur. Celles qui nous remue les tripes et
ou par moment nous aussi on finit par exploser de rage…
L’idée c’est de vous donner des explications et des conseils
en cas de tsunami émotionnel !
Alors je vous invite à écouter le podcast que j’ai fait sur
les émotions, ce qui est étroitement lié au sujet d’aujourd’hui.
Ce que nous prenons pour des émotions, souvent il s’agit de
réaction d’adaptation, l’expression de besoins biologiques ! Ce que nous
prenons pour des émotions ne le sont finalement pas. Le corps s’adapte aux
stimulations provoqué par l’environnement et génère ce que l’on peut appeler un
stress. Ce stress étant provoqué par les hormones déclenché par l’amygdale etc…
Avec nos enfants, il faut faire la distinction entre un
stress et une émotion.
Est-ce une réaction à la frustration ? Est-ce que c’est
de la colère ?
Isabelle Filliozat la dit à de nombreuses reprises que la colère était une émotion qui répare, qui vient justement favoriser le bon développement de notre enfant ! si l’enfant se révolte de cette manière c’est magnifique ! Bon que dans la théorie… car dans la pratique ce n’est pas la même !
Paradoxalement il faut leurs permettre d’être en
colère !
Finalement notre grand rôle la dedans est de favoriser cette
réparation. En acceptant la révolte de son enfant, en l’aidant à exprimer ce
que lui ressent comme une attaque.
Isabelle Filliozat nous explique qu’un enfant qui est devant un dessin animé a le cerveau qui se met en onde alpha, hypnotisé en quelque sorte, ce qu’il voit à l’écran stimule le noyau accumbens responsable du circuit du plaisir et de la récompense (bref les addictions). Son cerveau sécrète des opioïdes, si nous coupons brutalement la télé, il y a une chute de ses opioïdes, ça déclenche le circuit de la douleur ! ils ressentent une vraie douleur.
Du coup si on remet une couche avec notre propre colère, le
cocktail chute d’opioïdes et gros stress font disjoncter notre enfant.
Il vaut mieux Eviter la crise de rage que de la gérer !
J’en profite pour vous rappeler qu’il ne faut pas d’écran
avant l’âge de 3 ans (les spécialistes insistent sur ce point).
Il faut simplement ne pas le laisser se faire hypnotiser par
10 min