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Quels sont les passages de la Torah qui parlent de la Mitsva du respect des parents ? En quoi, et pourquoi, sont-ils différents ? Comment accomplir cette Mitsva ? Que disent, à son propos, le Ramban, le Or Ha'haïm Hakadoch et le Kli Yakar ?

Une partie de chaque Juif est-elle toujours dans le "désert" ? Qu'est-ce que cette notion de "désert" signifie en substance ? Tout Juif a-t-il la possibilité de ressentir une proximité avec D.ieu dans un instant hors espace, où le temps suspend son vol ? D'où vient et que sous-entend l'expression "Torah de feu" ? Jusqu'où va la fidélité d'un Juif à D.ieu ? Quand Avraham se jette dans la fournaise ardente et en ressort indemne, de quelle manière l'identité juive s'enrichit-elle ? Pourquoi dit-on également que la Torah est donnée par l'eau ? Qu'implique concrètement le fait de croire en D.ieu ? En quoi la corrélation entre la Torah et les bonnes Middot atteste que la Torah n'est pas une science humaine ? Dans quelle mesure l'humilité est-elle la condition sine qua non pour acquérir la Torah ? En quoi la médisance (Lachon Hara') est-elle si grave ?

Une jeune fille qui a commencé à s'intéresser au Judaïsme a rencontré, lors de ses études, un jeune homme sourd. Ils ont voulu se marier, mais leurs familles s'y sont opposées : la famille de l'homme, qui était antireligieuse, de peur que la femme le rende religieux ; et celle de la femme, de peur que le handicap du mari soit génétiquement transmissible. Finalement, ils se sont mariés et, alors qu'ils traversaient des difficultés financières, l'homme, qui dessinait particulièrement bien, a eu l'idée d'accrocher quelques uns de ses tableaux à la Bar-Mitsva de leur fils...

Dans quelle mesure est-il tellement important de savoir faire une remontrance à son ami quand sa conduite négative a eu un impact sur nous ? En quoi est-ce même une Mitsva ? Quand le fauteur s'excuse, la relation redevient saine grâce à une compréhension commune de la dispute. Quel est l'objectif recherché de cette démarche ?

Quel est le danger de l'habitude ? Dans quelle mesure le respect peut-il s'estomper avec le temps et entraîner la perte des limites et la familiarité, si l'on n'y porte pas une attention particulière ? De quelle manière, Aharon, le Cohen Gadol, nous montre comment la crainte de D.ieu ne le quittait jamais dans son service divin ? Et a contrario, comment ses fils Nadav et Avihou illustrent le franchissement d'un point de non-retour ? Pourquoi la crainte de D.ieu est-elle indissociable de l'amour de D.ieu ? Quel enseignement en tirer à notre niveau ?

Comment comprendre la profondeur du décompte du 'Omer (Sfirat Ha'omer) durant les 49 jours qui séparent la fin de Pessa'h de la fête de Chavou'ot ? En quoi la liberté n'a-t-elle de sens pour un Juif que s'il reçoit la Torah ? Dans quelle mesure, les limites imposées par la Torah procurent une liberté digne de ce nom, alors que la pseudo-liberté de pouvoir tout faire sans contraintes est une illusion amère ? Pourquoi la maîtrise de ses émotions et la canalisation de ses rêves sont les conditions sine qua non pour accéder à une réalité porteuse de sens et connectée à D.ieu ? En quoi prendre conscience de la valeur du temps, en le comptant, est une attitude responsable et respectueuse, vis-à-vis de la vie, de soi et des autres ? Pourquoi faut-il parvenir à transférer nos attentes vis-à-vis d'autrui vers Hachem ? Pourquoi finalement, seul celui qui chérit sa vie a-t-il accès à la vraie liberté ?