La Galère

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La Galère

Start The F Up, studio d'innovation parisien, invite des entrepreneurs à raconter toutes les galères et errances de leurs débuts. Ici, on ne parle pas de levées à 10 chiffres. On parle du "grind" pour trouver son produit, son marché et ses premiers clients. On met en lumière les galères du début, la débrouille et tous ces détails qui font la différence entre le succès et l'échec d’une entreprise.

  1. 17/10/2024

    Jordane Giuly - De Spendesk à Defacto ou l'art de créer une licorne

    Avant de monter Spendesk et Defacto et de devenir l'entrepreneur à succès que l'on connait, Jordane Giuly ne perd pas de temps. Tout juste diplômé de l'École Polytechnique et de Stanford University et animé par sa soif d'aventure, il crée Reeble, une plateforme d’échange d’articles ayant pour vocation de simplifier et de valoriser les interactions entre éditeurs et auteurs de contenus sur le Web. Si la plateforme est opérationnelle, le problème qu'elle résout ne semble pas être le bon et Jordane décide d'aller de l'avant. Après cette première expérience qu’il qualifie de "startup copain", il rejoint Coorpacademy pendant deux ans, puis entre dans l’univers du "startup studio" en intégrant eFounders. Cette fois, Jordane fait la rencontre de Thibaud Elzière qui l'invite à rejoindre le projet Spendesk en tant que cofondateur, aux côtés de Rodolphe Ardant et Guilhem Bellion. Ensemble, ils contribuent à faire de Spendesk une licorne et Jordane finit par prend son envol pour créer son tout dernier projet, Defacto, une solution de financement rapide et flexible pour les PME, propulsée par des APIs et l'intelligence artificielle. Aujourd'hui Defacto c'est : La solution de référence pour le financement des PME + 10 000 clients + 40 partenaires de prêt intégré + de 600 Millions de prêts accordés à travers l'Europe 25 Millions levés Pour autant, le chemin vers le succès n'a pas été sans embûches et Jordane a rencontré son lot de défis, comme cette fois où un virement perdu de 5 millions d'euros a failli tout faire basculer... Intrigué(e) ? On ne vous en dit pas plus ! Plongez dans l’histoire captivante de Jordane, de Spendesk à Defacto, et découvrez ses galères sur le podcast La Galère. Bonne écoute ♥︎

    1 h 36 min
  2. 16/09/2024

    Jacques-Edouard Sabatier - avec Jow, fini la course aux courses !

    "Qu'est-ce qu'on mange ce soir ?" Avant de répondre à cette question pourtant centrale dans nos vies, Jacques Édouard a eu le temps de se chercher. D'abord étudiant, il se concentre sur la chimie avant d'intégrer une école de commerce. Puis, il entame sa carrière en tant que consultant dans un cabinet de conseil. Enfin, il se démarque et en vient à diriger les activités digitales de Canal +. De ses "trois vies", comme il les appelle, Jacques tire des enseignements et des pratiques qu'il n'hésite pas à mettre à profit lors de la création de Jow, un service qui permet de programmer ses repas et faire toutes ses courses de la semaine de façon ultra rapide. Jeune papa à cette époque, l'idée prend forme tandis qu'il cherche à résoudre les contraintes de temps et d'argent qui marquent sa vie de famille : "Comment tous les soirs tu fais un truc simple rapide bon équilibré pas cher qui va plaire à ta copine et tes enfants." Une simple interrogation qui mène à : Une app disponible en France comme aux US + de 7 Millions de téléchargements Un volume d'affaire à 9 chiffres +40 Millions levés Pour autant, la route vers le succès n'a pas été de tout repos et des galères Jaques Édouard en a connu. Celui qui invoque la chance pour décrire ses prouesses le dit d'ailleurs lui-même : "Jow a failli mourir trois fois par an tous les ans pendant 5 ans" Intrigué(e) ? On ne vous en dit pas plus et on vous laisse découvrir plus en détails et sans plus attendre l'histoire et les galères de Jow, dès maintenant sur le podcast La Galère. Au programme : Développer une culture d'entreprise qui fonctionne Miser sur l'expérience utilisateur S'affranchir de la peur du bricolage (et enfin se lancer) Développer une communauté de confiance Utiliser son influence pour faire le bien Bonne écoute ! ❤️

    1 h 46 min
  3. 22/07/2024

    Laurent de La Clergerie - LDLC, la fabuleuse histoire du n°1 du matériel informatique

    "Depuis que je suis en maternelle, je veux être entrepreneur."Alors qu'il n'est qu'en cinquième, loin de se douter de son futur succès, Laurent écrit ces mots dans une rédaction. Quelques années plus tard, en 1996, tandis qu'il est encore étudiant, son rêve se réalise.Peu à peu, son quotidien se transforme et le site e-commerce qu'il est en train de créer pour apprendre devient une opportunité à saisir. À l'époque, c'est l'apparition des premiers modems 56k, l'adsl n'est pas encore arrivée, le développement web démarre à peine. De fil en aiguille, la demande s'accélère et Laurent s'entoure. Ses premiers employés sont des passionnés, comme lui, ainsi que des membres de sa famille.Ensemble, ils créent une enseigne de confiance que la première boutique, en 1998, vient consolider. Depuis, ils entrent en bourse et se développent au fil des années. Pourtant, si aujourd'hui LDLC c'est : Le n°1 du high-tech et du matériel informatique en France 1150 collaborateurs 600 Millions de CA 28+ années d'expérience dont 25 années rentables Le chemin pour y parvenir n'a pas été de tout repos et, des galères, Laurent en a connu. Peuvent en témoigner les années 2005 et 2008 où, malgré de nombreux efforts, tout a bien failli s'arrêter... Intrigué(e) ? On ne vous en dit pas plus et on vous laisse découvrir plus en détails et sans plus attendre l'histoire et les galères de LDLC, dès maintenant sur le podcast La Galère. Au programme : Les débuts d'un passionné : apprendre avant de vendre Travailler en famille (et rester soudés) Mettre l'humain au coeur de son business Manquer 35 000 commandes, et se racheter Désamorcer les tensions lors d'une acquisition Bonne écoute !

    1 h 36 min
  4. 22/07/2024

    Bertrand Fleurose - Les derniers souffles de CityScoot

    Ce mois-ci dans la Galère : plongez dans l'épopée captivante de CityScoot, de son lancement jusqu'à sa chute. Avant de devenir un service emblématique de la mobilité avec 7500 scoots et près de 500 000 clients, CityScoot, c'est avant tout le fruit de la pensée de Bertrand Fleurose. D'employé en finance de marché à serial entrepreneur en passant par joueur pro de black jack, Bertrand n'en est pas à son coup d'essai lorsqu'il lance CityScoot.En 2014, alors qu'il revient d'Angleterre profondément marqué par la culture du service, et volontaire d'en créer un nouveau, Bertrand découvre Autolib et sa révolution dans le paysage urbain. Inspiré par l'idée et amoureux du concept, il s'entoure alors de profils tech, et, avec l'aide d'un financement d'un programme de la région, travaille sur l'élaboration d'un prototype de scooter. Du clavier à la connectivité en passant par l'IoT, l'équipe conçoit chaque aspect du produit. Une première levée leur permet de construire à la main leurs 50 premiers scooters et de tester dans Paris la désirabilité de leur produit. Puis, en mai 2015, un coup de poker audacieux au Journal du Dimanche change la donne. Alors qu'il n'a que 30 000€ en banque et pas la moindre idée du futur déploiement, Bertrand tente le tout pour le tout et annonce la mise en place de mille scooters dans Paris avant fin 2016. Cette stratégie risquée porte ses fruits et attire l'intérêt de la mairie de Paris. Le 1000 ème scooter est finalement déployé en mars 2017 après une seconde levée et, de fil en aiguille, le service se développe et commence à s'étendre à d'autres villes.D'abord Nice, puis l'étranger, le temps est au beau fixe pour CityScoot qui observe une croissance de 100% par an depuis l'origine et voit son CA doubler d'année en année. Cependant, l'ombre du Covid s'abat sur la success story de CityScoot, déclenchant une série d'événements qui conduisent à sa chute inattendue. Les dissensions au sein du board et les investissements coûteux contribuent à une détérioration de la situation financière, mettant finalement un terme au projet. Pour en savoir plus sur les hauts et les bas de CityScoot, ainsi que sur les projets palpitants à venir de Bertrand, écoutez dès maintenant le podcast La Galère. Bonne écoute !

    1 h 35 min
  5. 24/06/2024

    Salomé Géraud - Le Drive tout nu se met à nu

    Prédestinée à devenir fonctionnaire à l'issue de ses études à l'IEP d'Aix en Provence, Salomé Géraud décide de prendre la voie de l'entreprenariat. En 2011, alors stagiaire à San Francisco, elle fait la rencontre de Pierre, son futur mari et associé. De leur amour naissent trois enfants et un projet un peu fou. Prenez un drive, retirez les emballages et obtenez "Le Drive tout nu", le seul réseau de supermarchés en drive et en physique zéro déchet au monde. Mais avant d'obtenir le succès qu'on lui connaît aujourd'hui, Le Drive tout nu c'est un pari risqué, qui a réussi grâce à la créativité et à l'énergie débordante de ses fondateurs. Né du constat que la moitié des déchets d'un français (soit 300kg/an) proviennent des emballages, le concept germe en 2012. Malheureusement, faute de temps et d'argent, le jeune couple est forcé d'abandonner le projet. C'est finalement en 2017, à trois semaines de leur mariage qu'ils finissent par se lancer ! Sélectionnés dans la promotion Ticket For Change pour se faire accompagner, Salomé et Pierre abandonnent leurs CDI et se lancent dans l'inconnu. Leur aventure débute ainsi avec une communication forte et engageante et beaucoup d'énergie pour déployer un test très bien rodé de leur concept. S'en suivent des année ponctuées par un buzz incroyable sur Brut, la recherche de financements, de nouveaux lieux, des travaux fait-maison, l'explosion des ventes durant le Covid, le développement de nouvelles filiales ou encore, très récemment, l'ouverture d'un tout premier super-marché zéro-déchets. Intrigué(e) ? On ne vous en dit pas plus et on vous laisse découvrir plus en détails et sans plus attendre l'histoire et les galères du Drive tout nu, dès maintenant sur le podcast La Galère.

    1 h 20 min
  6. 18/01/2024

    Rémi Dangla - Stilla Technologies : Révolutionner les tests PCR avec la microfluidique

    Rien ne le prédestinait à devenir entrepreneur et pourtant... Étudiant à Polytechnique, Rémi réalise entre 2009 et 2012, sa thèse dans le domaine de la microfluidique : la physique intrigante des toutes petites gouttes de liquides. Intéressé par ses nombreuses applications industrielles, il se lance dès 2012 dans ce qui deviendra l'aventure de sa vie. Après quatre brevets déposés en seulement deux ans durant sa thèse, savoir comment exploiter cette propriété intellectuelle afin qu'elle sorte du labo et bénéficie au plus grand nombre devient son obsession. Rémi s'entoure alors de différents amis et experts en biologie et, avec leur aide, fonde Stilla Technologies. En quelques mots, c'est une start-up deeptech visant à développer et commercialiser des instruments d'analyse génétique de précision en créant une nouvelle génération de tests PCR beaucoup plus précis et puissants. Une nouvelle génération de ces tests connus du grand public pour leur application contre la Covid mais qui ont de nombreux autres cas d'applications ! Si la startup naît en 2013, il faut attendre 2017 avant l'arrivée de ses premiers clients. Entre-temps, les prototypes et les essais s'enchaînent et le produit évolue peu à peu. Bootstraping dans un premier temps, business Angels dans un second et levées de fonds pour finir, Rémi nous raconte les différentes étapes de financement de Stilla Technologies et les galères auxquelles il fait face durant son parcours (sachant que rien, dans sa formation, ne le prédestinait à entreprendre). Plus de 38 millions d'euros levés en cumulé à aujourd'hui, pourtant, le chemin vers le succès n'est pas sans heurts. Il faut près de 7 ans à la startup pour passer du prototype à un produit industrialisé et une capacité d'adaptation hors pair pour faire face à galères juridiques comme peu de startups ont connu ! Histoire incroyable : une menace juridique d'un concurrent américain prend forme la veille d'un accord d'acquisition potentiel de la startup pour plusieurs dizaines de millions de dollars... et fait malheureusement échouer le deal au dernier moment 😭 Ce type de procès (en contrefaçon) est une pratique commune aux Etats Unis pour faire couler les technologies concurrentes, cela seulement au vu du prix pour se défendre et de la charge mentale que cela occasionne : plusieurs millions d'euros et plusieurs années. Aujourd'hui Stilla Technologies c'est : Une startup deeptech de référence en matière de PCR avec un nouveau produit de pointe qui vient d'être mis sur le marché 10+ années d'expérience 38+ millions d'euros levés Et un procès... non on ne vous dit rien, on vous laisse écouter l'épisode On vous laisse découvrir sans plus attendre les aventures et les aspirations futures de Rémi, dès maintenant sur le podcast La Galère ! Au programme :  🍃 Le kit du prototypeur deeptech : huile et scotch  🗯️ Gagner en crédibilité (sans prendre de cheveux blancs) : clarté de l'offre et démos  ⚖️ Garder la tête froide sous des attaques juridiques et se repositionner en Chine pour gagner des parts de marché 🏗️ Réutiliser des blocs fonctionnels existants et se recentrer sur son savoir-faire pour bootstrapper un premier système commercialisable Bonne écoute ! ❤️

    1 h 20 min
  7. 19/12/2023

    Louis Chatriot - Alma : Simplifier l'achat en réinventant le paiement.

    Aider les marchands à se faire payer en plusieurs fois par leurs clients ? C'est le défi que s'est lancé Louis Chatriot, fondateur d'Alma, un service de paiement en plusieurs fois. 💸 Pourtant, si Alma est aujourd'hui un succès, le chemin pour y parvenir n'a pas toujours été évident. Diplômé de Polytechnique, Louis entame sa carrière en tant que consultant, mais réalise rapidement que le cadre ne lui convient pas.Sans attendre, il se lance alors avec des amis dans un projet ambitieux : résumer internet. De cette idée naît "tldr", un site où une communauté de près de 50 000 personnes résume des articles. Malgré l'engouement, les cofondateurs décident rapidement de mettre un terme à cette aventure et revendent leur boite afin de se consacrer à d'autres projets. Toujours en quête de défi, Louis refuse une offre pour travailler en tant que patron en France chez Stripe. Convaincu qu'il a plus à apprendre d'une boîte moins développée, il rejoint Local motion, une start-up américaine produisant des boîtiers pour commander l'ouverture des voitures à distance.S'ensuit alors une aventure pleine de rebondissements rythmée par la pose de capteurs électroniques pour monitorer des flottes de véhicules pour entreprises. Après une ultime galère menant à la fermeture de la boite, Louis cherche davantage de stabilité pour continuer son apprentissage.Stabilité qu'il trouve chez Stripe où il devient Business operator. Après s'être pleinement investi dans le lancement d'un business en Italie, Louis, qui déborde d'énergie, se lance dans une toute autre aventure : la création d'une nouvelle entreprise. Il fonde alors Alma, un service de paiement en plusieurs fois qui simplifie l'achat et permet à ses utilisateurs de monter en gamme tout en achetant sans attendre. Une réussite quand on voit qu'aujourd'hui Alma c'est : 5 ans d'existence 13 000 entreprises servies parmi lesquelles Maisons du Monde, The Kooples, Alain Afflelou ou encore Sandro 64+ millions d'euros levés Une solution de financement fiable et efficace Un service en boutique et online On ne vous en dit pas plus et on vous laisse découvrir sans plus attendre les prémisses, les galères et la vision future de Louis pour Alma, disponible dès maintenant sur le podcast La Galère ! Au programme :❤️ Tester la désirabilité de son projet : la première étape d'un projet réussi.🚴‍♂️  Reconnaître ses faiblesses : le meilleur moyen d'aller de l'avant.👥 Les clés de Louis pour (bien) choisir son associé.⚠️ Appréhender la gestion du risque dans une fintech : tout le monde ne rembourse pas ! Bonne écoute ! ❤️

    1 h 33 min
  8. 20/11/2023

    Laure Babin - Zèta : La révolution de la chaussure éco-conçue. 🌱

    Lancer une boîte à impact positif ?C'est le défi que s'est lancé Laure Babin en créant Zèta, une marque de baskets vegan entièrement recyclées. Étudiante à l'IAE de Bordeaux, Laure entame un BTS en Commerce International puis un Master en Business Development. Elle voyage pour ses stages et part notamment aux Pays-Bas, au Cambodge puis au Pérou où elle travaille dans une petite entreprise de sacs à main. À peine de retour en France, elle ne rêve que d'une chose : retourner en Amérique Latine. Elle arrête alors ses études et décide de réaliser une année de césure pour mettre de l’argent de côté.   A Bordeaux, elle commence à travailler chez EF en tant que commerciale mais 6 mois passent et elle a le déclic : ce qu'elle veut vraiment c'est lancer sa boîte. Elle termine alors ses études en France et trouve l'idée. Si elle imagine dans un premier temps travailler le textile, elle ne met pas longtemps à conceptualiser Zèta, sa marque de baskets entièrement recyclées et recyclables, zéro déchet, et vegan. De la conceptualisation à la commercialisation, elle parvient à se lancer avec succès, dépassant une à une les galères de parcours qu'elle rencontre. Faire du sourcing de matières, trouver une usine, réaliser une campagne de crowdfunding, rédiger les statuts, bien s'entourer, faire face aux aléas de la production... Laure nous raconte tout. Ses erreurs, ses galères, mais aussi ses succès. Succès que la marque affiche fièrement aujourd'hui, car Zèta c'est : 3 ans d'existence 30 000 paires vendues 300 000 euros levés en crowdfunding 3 000 000 de CA cumulés 90 tonnes de déchets recyclés Un partenariat avec Nespresso Un réseau de plus de 50 distributeurs  On ne vous en dit pas plus et on vous laisse découvrir sans plus attendre les prémisses, les galères et la vision future de Laure pour Zèta, disponible dès maintenant sur le podcast La Galère ! Bonne écoute ! ❤️

    1 h 11 min
4,9
sur 5
257 notes

À propos

Start The F Up, studio d'innovation parisien, invite des entrepreneurs à raconter toutes les galères et errances de leurs débuts. Ici, on ne parle pas de levées à 10 chiffres. On parle du "grind" pour trouver son produit, son marché et ses premiers clients. On met en lumière les galères du début, la débrouille et tous ces détails qui font la différence entre le succès et l'échec d’une entreprise.

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