[LE GRAND TALK] #2 - Private Equity : Potentielle séduction

C'est la rentrée, un moment idéal pour aborder une classe d'actifs en vogue : le Private Equity ! La discussion s'annonce passionnante, d'autant plus que je suis accompagné aujourd'hui de Mathieu Stefani, expert en la matière, à qui j'ai lancé le défi de ne pas diriger l'émission.

Pour ce nouveau dossier, j'ai collaboré avec Mathieu Stefani, serial entrepreneur, Sabah Boumesla, avocate en droit des affaires depuis dix ans principalement active chez Rêve Angels, et Jonathan Luyt, au parcours atypique. Fort d'une expérience dans de grands cabinets d'audit et dix ans dans les Transactions Services pour des fonds d'investissement de petite et moyenne capitalisation, Jonathan est aujourd'hui chasseur de têtes chez Robert Walters.

En 40 ans, le Private Equity s'est imposé dans les mentalités et a convaincu de nombreux investisseurs. Un véritable mouvement de démocratisation est en cours, et certains parlent même de lobby.

Il est impossible d'ignorer les performances et avantages fiscaux du Private Equity, faisant de lui une classe d'actifs représentant environ 15 à 20 % d'un portefeuille d'investissement. Cependant, il est crucial d'être conscient des risques, qui peuvent être aussi grands que les promesses.

"Les meilleures sociétés privées sont souvent réservées aux meilleurs fonds. Nous luttons pour accéder à des cercles exclusifs, grâce à une certaine influence...', explique un intervenant."

"Dans les négociations, les femmes ont un rôle crucial. Leur habileté peut contribuer à atténuer les tensions liées aux questions d'ego', ajoute un autre."

"Le Grand Talk de Passion Patrimoine", c'est tout de suite ! 

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