8 épisodes
Les empoisonneurs, une série Hondelatte Raconte Hondelatte raconte
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- Criminologie
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5,0 • 5 notes
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La jeune Violette Nozière, le médecin Edme-Samuel Castaing, l’abbé Auriol… Ces assassins ont un point commun : pour donner l’illusion d’une mort naturelle, ils ont choisi le poison comme arme de crime. Arsenic, mercure ou encore cyanure : découvrez dans cette nouvelle série thématique “Hondelatte Raconte” les crimes des plus célèbres empoisonneurs de l’Histoire.
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Arsenic, sexe et eucharistie
En août 1772, l'abbé Peillin, curé du village de Dracé dans le Beaujolais, est écarté de ses fonctions à la suite de nombreux scandales. Un curé est nommé pour le remplacer. Avant une messe, son bedeau trouve une étrange poudre blanche, au fond d'une burette, qui s’avère être de l’arsenic !
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Christophe Fauviau, le père qui ne voulait pas perdre
Au début des années 2000 dans les Landes, un père empoisonne les adversaires de tennis de ses enfants ! Mais en 2003, l’un décède…
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Gabrielle et Pierre Labrell, arsenic et fromage blanc
En octobre 2001, à Thann en Alsace, un couple de sexagénaires, Gabrielle et Pierre Labrell sont hospitalisés pour des vomissements et de terribles douleurs abdominales. Ils meurent dans d’atroces souffrances. Des analyses révèlent la présence d’arsenic dans leurs urines et dans leur sang.
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Henriette Canaby, arsenic sur ordonnance
En avril 1905 à Bordeaux, Émile Canaby, négociant en vin tombe malade. D’abord pris de vomissements, il devient totalement apathique, incapable de bouger ni les jambes ni les bras. Son médecin lui diagnostique une grippe infectieuse.
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L'affaire Derues
En 1759, Antoine-François Desrues, 15 ans, quitte sa Beauce natale, pour venir apprendre le métier d’épicier à Paris. Après son apprentissage, à l’âge de 21 ans, il acquiert sa propre épicerie. Jour après jour, il se transforme en escroc. Et un jour en meurtrier.
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L'affaire du Dr Pierre Laget
Une affaire criminelle de 1929 qui se déroule à Béziers, dans l’Hérault. L’affaire du docteur Laget où l’on voit réapparaître un poison auquel les assassins avaient renoncé puisqu’il était détectable... L’arsenic.