La chronique de Djubaka France Inter
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- Musique
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"Kill the Poor" de Dead Kennedys
durée : 00:04:48 - La chronique de Djubaka - 1980. Les Dead Kennedys sortent leur premier album, une déflagration sonore et textuelle dont le titre "Kill the Poor" est issu. Djubaka aurait pu trouver d'autres morceaux de contestation du groupe punk de San Francisco, mais il s'arrête sur celui qui imagine "comment se débarrasser des miséreux".
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"Pass the Dutchie" de Musical Youth
durée : 00:06:10 - La chronique de Djubaka - En 1982, à Birgmingham, un groupe de gamins joue du reggae au lieu d'aller à l'école. Ils reprennent un titre des Monty Diamonds : "Pass the Kutchie", passe le joint. Or, à l'époque, faire l'apologie de l'herbe, ça ne se fait pas, alors le nom du titre change. Petite leçon de sémantique avec Djub.
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"Dirty Old Time" de The Pogues
durée : 00:05:18 - La chronique de Djubaka - Djubaka nous parle de la classe ouvrière en musique avec cet énorme tube des Pogues. Quel est son message ? La réponse dans cette chronique.
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"What a Wonderful World" de Joey Ramone
durée : 00:05:02 - La chronique de Djubaka - Cette chanson est d'abord de Louis Armstrong. On est en 1967-1968 aux États-Unis, le vieux jazzman a connu tous les aspects de la ségrégation et là, il en a marre. Il fait donc ce tube, prônant la paix. Si, à sa sortie, c'est un flop aux USA, en Europe, ça cartonne grâce à la reprise de Joey Ramone.
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"Standing in the Way of Control" de Gossip
durée : 00:04:56 - La chronique de Djubaka - 2005. Tête du trio Gossip, Beth Dito est une égérie du mouvement queer. Grande gueule, elle revendique son homosexualité et se fiche bien de ce qu'on pense d'elle. Dans le troisieme album du groupe, le titre "Standing in the Way of Control" parle du combat pour le mariage des personnes de même sexe.
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"Résident de la République" d'Alain Bashung
durée : 00:05:43 - La chronique de Djubaka - Il y a des moments où on est désabusés des promesses politiques, des gus qui retournent leurs vestes au moindre coup de vent. On l'aime, mais elle nous fatigue, la République. C'est ce que raconte cette chanson d'Alain Bashung, Alsacien d'origine, comme nous l'explique Djubaka dans sa chronique.