45 min

Sarah Barukh, faire des violences conjugales son combat RESSOURCES

    • Santé mentale

Sarah Barukh est écrivaine, elle est l’auteure de plusieurs romans à succès ; mais son dernier livre, n’est pas un roman. « 125 et des milliers » est un ouvrage collectif qu’elle imagine au lendemain du 6 juin 2020, le jour où elle quitte le père de sa fille de 18 mois dont elle était sous l’emprise, et victime de ses violences.
Elle prête la plume à 125 personnalités pour mettre un visage, une voix, une émotion, une vie, à 125 victimes de féminicides.
Ce livre, c’est un admirable travail de fourmi, une idée brillante et singulière pour dénoncer les violences conjugales, c’est la caution de Sarah de ne jamais y retourner. Ce livre, c’est à mon sens un groupe de paroles à lui tout seul. Ce livre enfin, peut s’avérer être une ressource pour toutes les victimes de violences.
Je ne connaissais pas Sarah avant la sortie de son livre et elle fait partie de ces jolies rencontres que j’ai eu la chance de faire grâce à « Vivre après Marc ». 
« Il n’y a pas de Ajar » comme dirait Delphine Horvilleur qui a écrit dans nos livres respectifs. J’ai pourtant l’impression de connaître Sarah depuis des années et je suis heureuse qu’elle vienne aujourd’hui nous confier ses ressources.

Sarah Barukh est écrivaine, elle est l’auteure de plusieurs romans à succès ; mais son dernier livre, n’est pas un roman. « 125 et des milliers » est un ouvrage collectif qu’elle imagine au lendemain du 6 juin 2020, le jour où elle quitte le père de sa fille de 18 mois dont elle était sous l’emprise, et victime de ses violences.
Elle prête la plume à 125 personnalités pour mettre un visage, une voix, une émotion, une vie, à 125 victimes de féminicides.
Ce livre, c’est un admirable travail de fourmi, une idée brillante et singulière pour dénoncer les violences conjugales, c’est la caution de Sarah de ne jamais y retourner. Ce livre, c’est à mon sens un groupe de paroles à lui tout seul. Ce livre enfin, peut s’avérer être une ressource pour toutes les victimes de violences.
Je ne connaissais pas Sarah avant la sortie de son livre et elle fait partie de ces jolies rencontres que j’ai eu la chance de faire grâce à « Vivre après Marc ». 
« Il n’y a pas de Ajar » comme dirait Delphine Horvilleur qui a écrit dans nos livres respectifs. J’ai pourtant l’impression de connaître Sarah depuis des années et je suis heureuse qu’elle vienne aujourd’hui nous confier ses ressources.

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