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:72 [SISTA MALT] Vera Kempf - Singulart : L’art de bousculer les statu quo 40 nuances de Next - les champions de la French Tech

    • Entreprenariat

Alors que la première édition réussie de Paris+ Art Basel vient de se conclure, on prolonge le plaisir avec Véra Kempf, la co-fondatrice de Singulart, la galerie d’art en ligne, qui rassemble 13 000 artistes venus de 130 pays différents. L'entreprise, créée en 2017, accompagne peintres, sculpteurs et photographes vers un nouveau canal de distribution et offre aux collectionneurs la possibilité de découvrir des talents du monde entier.
Jusqu’à l’arrivée du Covid et des confinements, ce monde d'initiés n’avait jamais imaginé pouvoir vendre une œuvre d’art en ligne. Et en plus avec les prix affichés.
Mais avant de casser les codes, Véra Kempf et ses trois associés ont dû s’accrocher. “Ce ne sont pas de vrais artistes que vous représentez”, pouvait ainsi entendre l’entrepreneure lors des premières foires d’art auxquelles Singulart participait. Cinq ans après sa création, l'entreprise est devenue une marque internationale, capable de vendre des œuvres de 250 euros à plusieurs centaines de milliers d’euros. Et même un Picasso, un Dali, un Renoir le temps d’un partenariat.
Depuis ses 13 ans et du haut de son poste de jeune élue au Conseil Général Jeunesse de Savoie, Vera Kempf est animée par l’envie de monter des projets. “J’ai su tardivement que ça s’appelait entreprendre” confie-t-elle. Élève studieuse et appliquée, elle entre à Sciences Po. Elle rêve d’engagement public, de politique, de commission européenne, d’ONG. Mais c’est lors d’un stage à la chambre de commerce de Pointe Noire qu’elle aura le déclic.
Dans cet épisode de 40 Nuances de Sista, elle raconte le chemin tortueux d’une entrepreneure “stressée”. Elle revient sur sa rencontre avec Denis Fayolle et Brice Lecompte, le moment “où ça commence à prendre”, le rôle de la data, le dernier projet de la maison, balthasart mais aussi la dernière levée de fonds de 60 millions d’euros, closée en un (presque) temps record entre son retour de congé maternité et le départ en congé paternité de son associé, le meilleur argument au monde pour imposer son timing et accélérer le closing.
Cet échange est aussi le moyen de découvrir l’humilité et la méticulosité avec laquelle Véra Kempf s’attaque aux sujets de notre époque : environnement, mixité sociale, parentalité, diversité, valorisation du travail des femmes artistes. Elle nous partagera son goût de la lecture, se confiera même sur son groupe de lecture “le JJ Club” et on parlera du podcast “Les couilles sur la table”.
Côté “Sista”, Véra a choisi son amie Emilie Vialle, la CEO de Snapkey, avec qui elle partage ses joies et ses doutes d’entrepreneure. “C’est la fille qui a le plus d'énergie au monde”. On confirme.
A vos écouteurs 🎧

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Alors que la première édition réussie de Paris+ Art Basel vient de se conclure, on prolonge le plaisir avec Véra Kempf, la co-fondatrice de Singulart, la galerie d’art en ligne, qui rassemble 13 000 artistes venus de 130 pays différents. L'entreprise, créée en 2017, accompagne peintres, sculpteurs et photographes vers un nouveau canal de distribution et offre aux collectionneurs la possibilité de découvrir des talents du monde entier.
Jusqu’à l’arrivée du Covid et des confinements, ce monde d'initiés n’avait jamais imaginé pouvoir vendre une œuvre d’art en ligne. Et en plus avec les prix affichés.
Mais avant de casser les codes, Véra Kempf et ses trois associés ont dû s’accrocher. “Ce ne sont pas de vrais artistes que vous représentez”, pouvait ainsi entendre l’entrepreneure lors des premières foires d’art auxquelles Singulart participait. Cinq ans après sa création, l'entreprise est devenue une marque internationale, capable de vendre des œuvres de 250 euros à plusieurs centaines de milliers d’euros. Et même un Picasso, un Dali, un Renoir le temps d’un partenariat.
Depuis ses 13 ans et du haut de son poste de jeune élue au Conseil Général Jeunesse de Savoie, Vera Kempf est animée par l’envie de monter des projets. “J’ai su tardivement que ça s’appelait entreprendre” confie-t-elle. Élève studieuse et appliquée, elle entre à Sciences Po. Elle rêve d’engagement public, de politique, de commission européenne, d’ONG. Mais c’est lors d’un stage à la chambre de commerce de Pointe Noire qu’elle aura le déclic.
Dans cet épisode de 40 Nuances de Sista, elle raconte le chemin tortueux d’une entrepreneure “stressée”. Elle revient sur sa rencontre avec Denis Fayolle et Brice Lecompte, le moment “où ça commence à prendre”, le rôle de la data, le dernier projet de la maison, balthasart mais aussi la dernière levée de fonds de 60 millions d’euros, closée en un (presque) temps record entre son retour de congé maternité et le départ en congé paternité de son associé, le meilleur argument au monde pour imposer son timing et accélérer le closing.
Cet échange est aussi le moyen de découvrir l’humilité et la méticulosité avec laquelle Véra Kempf s’attaque aux sujets de notre époque : environnement, mixité sociale, parentalité, diversité, valorisation du travail des femmes artistes. Elle nous partagera son goût de la lecture, se confiera même sur son groupe de lecture “le JJ Club” et on parlera du podcast “Les couilles sur la table”.
Côté “Sista”, Véra a choisi son amie Emilie Vialle, la CEO de Snapkey, avec qui elle partage ses joies et ses doutes d’entrepreneure. “C’est la fille qui a le plus d'énergie au monde”. On confirme.
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