8 min

Traumatismes et parentalit‪é‬ L'Essentiel des Parents

    • Famille - parents

Ce podcast viendra vous parler des traumatismes et de leurs conséquences. Je parlerai également brièvement du concept de résilience et de ce qui vient la favoriser. Bonne lecture ou bonne écoute 🙂











Notre 5′ podcast de notre défi, 5/30 jours















Le trauma c’est le choc et le traumatisme c’est la conséquence de ce choc !







Il en existe 2 majeurs !







l’événement traumatisant provoquant un trouble de stress post traumatique  (accidents en tout genre, catastrophes, pertes soudaines…) ou le traumatisme complexe : qui est souvent associé aux traumatismes prolongés et répétés. (Maltraitances, négligences, perturbation de l’attachement…).







Pour expliquer simplement : C’est une réaction émotive

qui persiste… qui nous colle à la peau dont on a beaucoup de mal à se séparer…







Ça nous handicap fortement dans le sens ou cela vient

compromettre notre sécurité intérieur, notre construction identitaire et la

régulation de nos émotions. Ce qui irrémédiablement vient complexifier notre

relation et notre rapport à l’autre.







Le plus fréquent et ce qui nous pèse le plus ce sont toutes

les peurs qui y sont associés avec parfois un sentiment de honte, d’impuissance

et parfois de colère.







Je ne vais parler ici que de ce que je connais pour éviter

de m’éparpiller et d’expliquer des choses que je ne connais pas vraiment…







Finalement ce qui nous intéresse ici, c’est comment s’en

sortir ? Comment arrêter de souffrir ? Comment  arrêter de lutter avec nous-même et avec la

vie ?







Je ne peux pas ne pas vous parler de résilience ! Le

premier vulgarisateur de ce concept c’est Boris Cyrulnik !







La résilience il n’y a pas plus simple comme

définition : c’est la reprise d’un nouveau développement après un

traumatisme.







Qu’est ce qui vient favoriser cette résilience ?







La sécurisation, la relance, les relations et la culture.







Il faut savoir que l’entourage joue un énorme rôle dans la

résilience non seulement une fois qu’un traumatisme est survenu mais aussi dans

le fait de lui avoir donné la possibilité de pouvoir « résister » à

un malheur qui survient.







En fonction de l’individu, il peut y avoir un traumatisme ou

non. C’est aussi une question de sensibilité.







Pour qu’un enfant soit résilient, le point essentiel c’est

‘la sécurisation’ mais pas seulement, il faut sécuriser sa mère.  Car si la mère est sécurisée pendant la

grossesse, elle le transmettra sans le vouloir à son enfant.







Une fois que le bébé naît, il lui faut une niche sensorielle

favorable, structuré par la mère principalement et part une autre personne (le

papa, la grand-mère, les métiers de la petite enfance, le foyer familial…)







Quand cet ensemble sécurise le bébé, une fois arrivé à l’école, il a déjà acquis le plaisir d’apprendre…. Il y aura des stress mais théoriquement il le vivra plutôt bien. Boris Cyrulnik







Ce qui nous intéresse c’est si l’enfant  a été vulnérabilisé, à causes de divers

paramètres tels que la mère a subis des stresses, quand la niches sensorielle

n’est pas favorable et que la sécurisation n’est pas présente. Ce qui est le

plus récurrent ce sont les violences conjugales et la précarité sociale qui se

fait de plus en plus souvent.

Ce podcast viendra vous parler des traumatismes et de leurs conséquences. Je parlerai également brièvement du concept de résilience et de ce qui vient la favoriser. Bonne lecture ou bonne écoute 🙂











Notre 5′ podcast de notre défi, 5/30 jours















Le trauma c’est le choc et le traumatisme c’est la conséquence de ce choc !







Il en existe 2 majeurs !







l’événement traumatisant provoquant un trouble de stress post traumatique  (accidents en tout genre, catastrophes, pertes soudaines…) ou le traumatisme complexe : qui est souvent associé aux traumatismes prolongés et répétés. (Maltraitances, négligences, perturbation de l’attachement…).







Pour expliquer simplement : C’est une réaction émotive

qui persiste… qui nous colle à la peau dont on a beaucoup de mal à se séparer…







Ça nous handicap fortement dans le sens ou cela vient

compromettre notre sécurité intérieur, notre construction identitaire et la

régulation de nos émotions. Ce qui irrémédiablement vient complexifier notre

relation et notre rapport à l’autre.







Le plus fréquent et ce qui nous pèse le plus ce sont toutes

les peurs qui y sont associés avec parfois un sentiment de honte, d’impuissance

et parfois de colère.







Je ne vais parler ici que de ce que je connais pour éviter

de m’éparpiller et d’expliquer des choses que je ne connais pas vraiment…







Finalement ce qui nous intéresse ici, c’est comment s’en

sortir ? Comment arrêter de souffrir ? Comment  arrêter de lutter avec nous-même et avec la

vie ?







Je ne peux pas ne pas vous parler de résilience ! Le

premier vulgarisateur de ce concept c’est Boris Cyrulnik !







La résilience il n’y a pas plus simple comme

définition : c’est la reprise d’un nouveau développement après un

traumatisme.







Qu’est ce qui vient favoriser cette résilience ?







La sécurisation, la relance, les relations et la culture.







Il faut savoir que l’entourage joue un énorme rôle dans la

résilience non seulement une fois qu’un traumatisme est survenu mais aussi dans

le fait de lui avoir donné la possibilité de pouvoir « résister » à

un malheur qui survient.







En fonction de l’individu, il peut y avoir un traumatisme ou

non. C’est aussi une question de sensibilité.







Pour qu’un enfant soit résilient, le point essentiel c’est

‘la sécurisation’ mais pas seulement, il faut sécuriser sa mère.  Car si la mère est sécurisée pendant la

grossesse, elle le transmettra sans le vouloir à son enfant.







Une fois que le bébé naît, il lui faut une niche sensorielle

favorable, structuré par la mère principalement et part une autre personne (le

papa, la grand-mère, les métiers de la petite enfance, le foyer familial…)







Quand cet ensemble sécurise le bébé, une fois arrivé à l’école, il a déjà acquis le plaisir d’apprendre…. Il y aura des stress mais théoriquement il le vivra plutôt bien. Boris Cyrulnik







Ce qui nous intéresse c’est si l’enfant  a été vulnérabilisé, à causes de divers

paramètres tels que la mère a subis des stresses, quand la niches sensorielle

n’est pas favorable et que la sécurisation n’est pas présente. Ce qui est le

plus récurrent ce sont les violences conjugales et la précarité sociale qui se

fait de plus en plus souvent.

8 min