Grand reportage RFI

Derrière le football, qui brille de mille feux depuis la CAN remportée en février, le taekwondo est le deuxième sport le plus populaire de Côte d’Ivoire. Près de 64 000 Ivoiriens le pratiquent aujourd’hui, et nombre d’entre eux ont rejoint les tatamis en suivant les exploits de Cheick Cissé et Ruth Gbagbi. À eux deux, ils représentent trois quarts des médailles olympiques de l’histoire de la Côte d’Ivoire. Tous deux formés à Koumassi, commune populaire d’Abidjan, les champions s’entraînent depuis sept ans en Espagne, sur l’île de Majorque. Dans le calme des Baléares, les deux icones murissent un rêve : réaliser le doublé cet été dans la capitale française.

La Colombie pourrait être le premier pays producteur de pétrole à renoncer à ses exportations et tout projet d’exploitation de combustibles fossiles. C’est, en tout cas, le souhait du président de gauche Gustavo Petro. Il l’a annoncé dès janvier 2023. Son objectif est de lutter contre le réchauffement climatique. L’une des alternatives au pétrole serait alors le tourisme.

Dans le supplément de ce dimanche, Grand reportage weekend vous emmène en Zambie, pays d'Afrique australe qui tente d'adapter son agriculture face à la sécheresse, puis à Paris, dans les  coulisses des Champs-Élysées, la « plus belle avenue du monde ».  

Dans le supplément de ce samedi, Grand reportage weekend vous emmène aux Émirats arabes unis qui accueillent des enfants palestiniens blessés, puis à Tahiti qui se prépare à accueillir les épreuves de surf des JO de Paris 2024. 

Paris 2024, c’est aussi en Polynésie française. Tahiti accueille, du 27 au 30 juillet 2024, l’épreuve de surf des jeux Olympiques. C’est la première fois dans l’Histoire des Jeux qu’une épreuve se déroule aussi loin de la ville-hôte : 15 700 kilomètres séparent Paris de Tahiti ! À un peu moins de 2 mois de ce rendez-vous international, l’île est-elle prête ? Comment se préparent les habitants et les professionnels ? Des cuisines de restaurants aux chambres d’hôtes, en passant par la mobilisation des agriculteurs, nous voici donc à Tahiti.

D'où vient cette affirmation quand on sait que les Parisiens la boudent et que seuls les touristes semblent s'y précipiter pour se prendre en photo ou visiter les magasins de luxe ? Construite au XVIIè siècle, l’avenue n’a pas toujours été prestigieuse. Mais, depuis toujours en revanche, elle semble avoir été érigée en symbole de célébration de toutes sortes, on y fait le fête et on y manifeste.