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Ce bon vieux journal ‪!‬ 36 solutions contre l'épuisement

    • Mental Health

Vous pouvez aussi écouter cette article via le podcast du blog en cliquant simplement sur « play » dans le lecteur ci-dessus 😉







Il y a des personnes qui confient chaque jour la moindre de leur pensée, leur expérience de vie, dans les pages de leur journal quand d’autres n’auront sans doute jamais osé écrire une ligne de crainte d’en perdre leur virilité: « Tenir un journal ? C’est pour les petites filles ! ». Et puis il y a ceux et celles qui en ont tenu un, quelques jours, quelques années, avant de le laisser prendre la poussière sur une étagère ou au fond du tiroir de leur table de nuit.







Je me rappelle bien ! Les miens ont eu des couvertures enfantines, un champ de tournesol, un clown pastel dans le décor d’une chambre d’enfant, puis plus sobre en avançant en âge, en cuire et relié. Ensuite est venu le temps des écrans, une application qui ne m’a pas inspiré longtemps et finalement des pages de notes. Quelques feuilles volantes par moment. Je n’ai jamais réussi à m’y astreindre régulièrement et en y repensant je donnerais beaucoup pour recommencer de zéro et tout noter !







Et vous ? Avez vous déjà tenu un journal ? A quoi ressemblait-il ?





Des effets bénéfiques





Si vous avez suivi la semaine 2 du défi du cordonnier, vous avez pu lire les effets bénéfiques engendrés par l’écriture et la prise de note. J’avais en effet abordé la puissance de ces notes pour alléger l’esprit et éviter une partie de la charge mentale. Cette semaine on va parler de l’une des formes d’écriture: le journal.







Avec cette technique ancestrale, nous avons la possibilité de susciter chez nous un allègement de l’esprit mais également des opportunités de réflexion, davantage de clarté, la possibilité de se replonger dans notre passé, des pistes de compréhension, etc …







Après quelques points d’histoire et d’apports scientifiques afin de mieux comprendre comment l’utilisation d’un journal fonctionne, nous verrons ensemble comment nous l’approprier, ou nous le réapproprier, afin d’en faire, à notre tour, notre compagnon de route.













Chers diaristes





Le diariste est le nom que l’on donne aux personnes qui tiennent un journal personnel. Ce terme on le retrouve à la fois de l’ancien mot français « diaire » (registre des évènements de la vie quotidienne d’une institution religieuse) et du terme anglais « diarist » (auteur d’un journal intime).







L’utilisation d’un journal provient de divers domaines (diaire pour l’institution religieuse, journal de bord pour la navigation, journal de guerre, …) c’est donc un outil très ancien qui revêt, de près ou de loin, plusieurs utilisations et objectifs différents.







L’utilisation dont je vais vous parler aujourd’hui ressemble d’avantage à la forme du journal tel qu’il se développait à la fin du XIXème siècle. Après une période où l’on utilisait le journal comme un outil éducatif ou spirituel (journal de bon comportement, de bonnes actions), certaines personnes ont commencé à l’utiliser sous sa forme actuelle: un recueil daté de pensées, de réflexions et d’évènements du quotidien.







Il existe également un journal dont l’objet est « littéraire » ou « artistique ». Un support à travers lequel leur auteur transmet ces mêmes éléments personnels et créatifs mais avec l’intention que d’autres le lisent. On parle alors de journal « extime » ou de « journal personnel ».







Cet article concerne le journal « intime ». Celui qui est caché ou secret.

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Il y a des personnes qui confient chaque jour la moindre de leur pensée, leur expérience de vie, dans les pages de leur journal quand d’autres n’auront sans doute jamais osé écrire une ligne de crainte d’en perdre leur virilité: « Tenir un journal ? C’est pour les petites filles ! ». Et puis il y a ceux et celles qui en ont tenu un, quelques jours, quelques années, avant de le laisser prendre la poussière sur une étagère ou au fond du tiroir de leur table de nuit.







Je me rappelle bien ! Les miens ont eu des couvertures enfantines, un champ de tournesol, un clown pastel dans le décor d’une chambre d’enfant, puis plus sobre en avançant en âge, en cuire et relié. Ensuite est venu le temps des écrans, une application qui ne m’a pas inspiré longtemps et finalement des pages de notes. Quelques feuilles volantes par moment. Je n’ai jamais réussi à m’y astreindre régulièrement et en y repensant je donnerais beaucoup pour recommencer de zéro et tout noter !







Et vous ? Avez vous déjà tenu un journal ? A quoi ressemblait-il ?





Des effets bénéfiques





Si vous avez suivi la semaine 2 du défi du cordonnier, vous avez pu lire les effets bénéfiques engendrés par l’écriture et la prise de note. J’avais en effet abordé la puissance de ces notes pour alléger l’esprit et éviter une partie de la charge mentale. Cette semaine on va parler de l’une des formes d’écriture: le journal.







Avec cette technique ancestrale, nous avons la possibilité de susciter chez nous un allègement de l’esprit mais également des opportunités de réflexion, davantage de clarté, la possibilité de se replonger dans notre passé, des pistes de compréhension, etc …







Après quelques points d’histoire et d’apports scientifiques afin de mieux comprendre comment l’utilisation d’un journal fonctionne, nous verrons ensemble comment nous l’approprier, ou nous le réapproprier, afin d’en faire, à notre tour, notre compagnon de route.













Chers diaristes





Le diariste est le nom que l’on donne aux personnes qui tiennent un journal personnel. Ce terme on le retrouve à la fois de l’ancien mot français « diaire » (registre des évènements de la vie quotidienne d’une institution religieuse) et du terme anglais « diarist » (auteur d’un journal intime).







L’utilisation d’un journal provient de divers domaines (diaire pour l’institution religieuse, journal de bord pour la navigation, journal de guerre, …) c’est donc un outil très ancien qui revêt, de près ou de loin, plusieurs utilisations et objectifs différents.







L’utilisation dont je vais vous parler aujourd’hui ressemble d’avantage à la forme du journal tel qu’il se développait à la fin du XIXème siècle. Après une période où l’on utilisait le journal comme un outil éducatif ou spirituel (journal de bon comportement, de bonnes actions), certaines personnes ont commencé à l’utiliser sous sa forme actuelle: un recueil daté de pensées, de réflexions et d’évènements du quotidien.







Il existe également un journal dont l’objet est « littéraire » ou « artistique ». Un support à travers lequel leur auteur transmet ces mêmes éléments personnels et créatifs mais avec l’intention que d’autres le lisent. On parle alors de journal « extime » ou de « journal personnel ».







Cet article concerne le journal « intime ». Celui qui est caché ou secret.

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