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« Quand nous rions, nous rions ensemble » - Témoignage de Jose - #EnsemblePourLesVénézuéliens #EnsemblePourLesVénézuéliens

    • Government

Jose Quero - Colombie

La situation m’a obligé à prendre la décision de quitter le Venezuela.

Je n’ai pas pu trouver d’autre option.

J’ai choisi San Gil en raison des possibilités d’emploi actuelles dans l’industrie du café.

D’ici, on verra comment les choses se passent.

Quand j’ai décidé de venir ici, j’ai pris un autobus en direction de San Antonio.

De là, j’ai réussi à traverser la frontière colombienne et j’ai entrepris

mon voyage à pied.

Je n’avais jamais quitté ma maison. Je n’avais jamais quitté ma famille avant,

Et prendre cette décision du jour au lendemain n’a pas été facile.

Quand vous marchez, un pas peut vous donner envie d’arrêter,

Alors qu’un autre pas peut vous faire penser à votre famille qui vous encourage à continuer.

Ce n’est pas facile. Il n’est pas facile de devenir migrant et de vivre une telle situation.

Dieu merci, mes compagnons de marche et moi, nous nous soutenons mutuellement.

Quand nous rions, nous rions ensemble. Quand nous pleurons, nous pleurons ensemble.

Quand nous avons besoin de soutien, nous nous soutenons mutuellement.

Nous sommes comme une fratrie.

Si l’un s’arrête, nous nous arrêtons tous; si l’un continue, nous continuons tous.

Si l’un d’entre nous tombe malade, nous tombons tous malades.

Nous faisons plus que nous accompagner les uns les autres, nous sommes une sorte de famille.

Je remercie ce poste humanitaire. Vous nous avez beaucoup aidés.

Je crois que sans ce poste humanitaire, sans votre coup de main,

Nous ne serions pas ici. Nous n’aurions pas pu nous rendre.

Enregistrement réalisé avec l'aimable autorisation de l'OIM, l'Organisation internationale pour les migrations.

Jose Quero - Colombie

La situation m’a obligé à prendre la décision de quitter le Venezuela.

Je n’ai pas pu trouver d’autre option.

J’ai choisi San Gil en raison des possibilités d’emploi actuelles dans l’industrie du café.

D’ici, on verra comment les choses se passent.

Quand j’ai décidé de venir ici, j’ai pris un autobus en direction de San Antonio.

De là, j’ai réussi à traverser la frontière colombienne et j’ai entrepris

mon voyage à pied.

Je n’avais jamais quitté ma maison. Je n’avais jamais quitté ma famille avant,

Et prendre cette décision du jour au lendemain n’a pas été facile.

Quand vous marchez, un pas peut vous donner envie d’arrêter,

Alors qu’un autre pas peut vous faire penser à votre famille qui vous encourage à continuer.

Ce n’est pas facile. Il n’est pas facile de devenir migrant et de vivre une telle situation.

Dieu merci, mes compagnons de marche et moi, nous nous soutenons mutuellement.

Quand nous rions, nous rions ensemble. Quand nous pleurons, nous pleurons ensemble.

Quand nous avons besoin de soutien, nous nous soutenons mutuellement.

Nous sommes comme une fratrie.

Si l’un s’arrête, nous nous arrêtons tous; si l’un continue, nous continuons tous.

Si l’un d’entre nous tombe malade, nous tombons tous malades.

Nous faisons plus que nous accompagner les uns les autres, nous sommes une sorte de famille.

Je remercie ce poste humanitaire. Vous nous avez beaucoup aidés.

Je crois que sans ce poste humanitaire, sans votre coup de main,

Nous ne serions pas ici. Nous n’aurions pas pu nous rendre.

Enregistrement réalisé avec l'aimable autorisation de l'OIM, l'Organisation internationale pour les migrations.

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