Les bonnes élèves Les bonnes élèves

Bonjour à toutes et à tous.
Vous écoutez les bonnes élèves et je suis Audrey Douvre sa fondatrice.
Dans ce podcast, vous découvrirez des témoignages de femmes qui s’interrogent sur leur cheminement et qui remettent en perspective leurs cases à cocher. Vous entendrez aussi celles et ceux qui oeuvrent au quotidien pour faire bouger les lignes et faire évoluer les mentalités.

Dans ce nouvel épisode, je reçois Christine Moussot, coach vocale et autrice du livre Femmes faites-vous entendre. Nous avons parlé des femmes bien sûr et de leur construction vocale. On a fait un peu d’histoire, un peu de socio et on a surtout parlé de leurs voix. Un échange très riche qui j’espère nourrira votre réflexion ou répondra à vos interrogations sur votre propre voix.

Bonne écoute !
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Cela vous prendra moins d’une minute et ça l’aidera beaucoup à se faire connaître !
Pour suivre les actualités du podcast ou partager vos témoignages : https://www.instagram.com/lesbonneseleves/
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Réalisation, écriture et montage : Audrey Douvre
Cover : Roxanne Blondel https://www.instagram.com/roxanne.blondel/

Bienvenue dans l'épisode 14 des bonnes élèves.
Aujourd’hui je reçois Nalan Tabak, DRH. A l’approche des entretiens annuels, j’ai voulu échanger avec elle sur le rapport qu’entretenait les femmes à l’argent et comment elles se dépatouillaient en entreprise pour négocier leur salaire d’entrée ou demander une augmentation.
Je sais pas vous mais moi j’ai souvent eu du mal à demander plus d’argent. Au début parce que je ne me sentais pas assez légitime, puis parce que j’avais peur de paraitre trop gourmande ou demandeuse. Et puis quelques fois j’ai utilisé aussi cette parade qui consiste à dire que le collègue gagne plus et pensé que c’était forcément un argument de choc. Bref tout ça pour dire que finalement réclamer son dû n’est pas toujours une mince affaire.
Bonne écoute !

Un lundi matin au bureau on se débriefe du week-end. Je viens de passer 2 jours avec mes filles en tête à tête et entre la grande qui a passé son temps à chouiner pour un rien et la petite qui te perce un tympan dès qu’elle est pas d’accord, je trouve l’open space limite relaxant.
Bref je vide mon sac, balance un « c’était quand même plus simple avant » et je tombe sur le regard choqué de deux de mes collègues âgées de moins de 30 ans, sans enfant. Et là arrive la question : oui mais le bonheur qu’elles t’apportent efface tout le reste ? Je les regarde, presque étonnée de cette remarque aussi simpliste et leur répond sans hésiter : NON. Non ça ne fonctionne pas comme ça. Les moments de bonheur, d’amour inconditionnel n’effacent pas les doutes, la colère, la frustration, les difficultés qu’être mère entraîne. Ils se croisent, s’opposent, s’entremêlent même parfois. Je pense qu’il n’y a jamais eu autant d’informations autour de la maternité, de la vie avec bébé, de l’allaitement, etc etc. Et pourtant en 2020, on est encore surprise par le post partum, la solitude, le manque de temps pour soi, la fatigue qui s’accumule par manque de sommeil ou à devoir batailler pour lui mettre un pyjama, celui avec les pieds pour qu’elle n’ait pas froid.

C’est de ça dont on vous parle avec Claire aujourd’hui. De la solitude que l’on peut ressentir après la naissance du bébé, de la culpabilité, des doutes de ne pas bien faire, du regard des autres et de la peur de ne pas être normal parce que chez les autres cela semble toujours plus facile, le choc lorsque l’on se rend compte que sortir une baguette de pain va désormais se révéler une opération beaucoup plus complexe. ça vous parle ?

Bienvenue dans le 13e épisode du podcast Les bonnes élèves et bonne écoute !

Extrait du livre Nouvelle Mère de Cécile Doherty-Bigara aux éditions Leducs.
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Réalisation, écriture & montage : Audrey Douvre
Cover : Roxanne Blondel @roxanne.blondel

J'ai toujours adoré lire. Et je suis ravie de voir que j'ai communiqué cette passion à ma fille aînée avec laquelle je lis beaucoup. Des histoires de princesses surtout mais pas que. Et parce qu'aujourd'hui je fais plus attention à ce que je lui mets entre les mains, je trouvais intéressant de pouvoir échanger avec Laurence Faron, fondatrice et directrice des éditions Talents Hauts. Elle travaille à promouvoir une littérature non stéréotypée et éloignée des moules dans lesquels on a tendance à placer les filles et les garçons.
Bonne écoute !