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Aujourd’hui dans Argent Conté, il était une fois la reprise d’entreprise. Chaque année, plus de 185 000 entreprises en France sont susceptibles d'être transmises, mais 51 000 seulement changent effectivement de main. Cela dit, le marché de la reprise d’entreprise est loin d'être aussi important que ce qui est généralement annoncé. Si l'âge des dirigeants peut laisser supposer qu'il y aura un potentiel de l'ordre de 600 000 sociétés à céder dans les dix prochaines années, il faut être conscient d'un certain nombre de limites. Certaines sociétés sont intimement liées à leur dirigeant, ce qui les rend difficilement transmissibles. D'autres sont "vieillissantes" : carnets de commandes affaiblis, investissements non renouvelés, etc. Il n’est pas rare que nombre de belles sociétés puissent être reprises à la barre et c’est d’ailleurs souvent un des moyens les plus intéressants d’entreprendre avec parfois des marques bien installées et des équipes déjà qualifiées. Mais comment trouver la pépite et remporter la mise ? Est-ce toujours intéressant ou bien se retrouve t’ont criblés des dettes historiques de la boite en question ? Le sujet est si riche que je suis ravie d’accueillir Candice Cohen Louyot, ex-avocate fiscaliste devenue experte dans la transmission d’entreprises, en difficultés ou non, puis fondatrice de la plateforme Mesacquisitions. Avec Candice nous explorons toutes les facettes de la reprise d’entreprise pour que le sujet n’ait plus aucun secret pour vous ! Bonne écoute.

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Nouvel épisode d’Argent Conté ce matin : Investir dans le cinéma
Aujourd’hui dans Argent Conté, il était une fois le cinéma, le vrai. Pas seulement celui des paillettes, celui des passionnés de ceux qui ont travaillé toute leur vie à réaliser des films inoubliables, toujours à l’affût d’une nouvelle idée et si résilients car on apprendra aussi aujourd’hui que le cinéma c’est du temps long, voire parfois très long.
Mon invité est tombé dans le cinéma tout petit, il dit même qu’il n’a sans doute jamais voulu faire autre chose que produire des films. Fondateur de Radar Films, boite de production qui a récemment rejoint la galaxie Mediawan, Clément Miserez a accepté de partager a mon micro son histoire et son expérience du cinéma, car j’avais très envie d’en découvrir les mécanismes de financement. Vous avez sans doute tous entendu parler des Sofica et comme moi le produit ne vous emballe sans doute pas, alors dans cette épisode nous explorons d’autres pistes accessibles aux investisseurs privés qui eux aussi se rêvent un peu cinéastes…
Bonne écoute ! 

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Nouvel épisode d’Argent Conté ce matin : la finance peut-elle sauver la forêt ?
La forêt française, particulièrement précieuse pour le climat et la biodiversité, est en proie à des crises multiples : une mortalité croissante, qui a bondi de 80 % en dix ans, et des dépérissements massifs. Résultat de ces difficultés, la capacité de la forêt à stocker du carbone diminue : les arbres ont retiré de l’atmosphère 40 millions de tonnes de CO₂ (Mt CO₂) par an en moyenne entre 2013 et 2021, contre 60 Mt CO₂ au cours de la décennie précédente. Un enjeu majeur, alors que la France s’est engagée à atteindre la neutralité carbone en 2050. Et si des dispositifs financiers et digitalisés, dessinés pour rationaliser le traitement de la forêt, étaient la clef de sa conservation ?  Le sujet vous intrigue ? Je dois dire que moi aussi, j’étais donc ravie de rencontrer Georgine de Saporta, la fondatrice de Treemium et mon invitée pour cet épisode… Bonne écoute.

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Aujourd’hui dans Argent Conté il était une fois l’investissement à impact et plus précisément l’investissement climat. C’est le panorama annuel de l’Institut de l’économie pour le climat qui révèlait récemment, que les investissements publics et privés français destinés à mettre en œuvre la transition énergétique et climatique avaient atteint pour la première fois, en 2022, la barre des 100 milliards d’euros. Ils devraient se maintenir au même niveau en 2023. L’investissement pour la transition énergétique a définitivement le vent en poupe et nombre d’opportunités se sont créées ces 10 dernières années. Alors comment choisir quand on veut mettre un peu plus d’impact dans ses placements ? Parce que tous les labels se ressemblent et que peu d’entre eux sont très transparents, le sujet n’a rien d’évident. Chez Anaxago nous travaillions depuis plus d’un an à la création d’une activité d’investissement dans le climat, ce qui a donné naissance à AxClimat tout début 2024 et j’ai donc profité d’avoir à disposition notre super gérant, Christophe Pieri, spécialiste du sujet pour explorer avec lui les méandres de l’industrie. Normalement après ces quelques 30 minutes de conversation vous devriez être en mesure de choisir avec soin et raison vos prochains investissements verts.Bonne écoute !

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Aujourd’hui dans Argent Conté, il était une fois l’operating partner. L’operating partner c’est le nouveau druide des fonds d’investissement en venture capital. C’est celui, ou celle, qui apporte son expérience du terrain, la vraie, celle qui exécute les feuilles de route, pas celle qui ne fait qu’y réfléchir si vous voyez de quoi je parle.Operating Partner c’est un rôle qui commence à se développer en France, peu de fonds ont pour l’instant eu le nez (et l’argent) pour les mettre en place mais chez Serena c’est le cas avec une team de plusieurs partners dont la fulgurante Jessica. Parlez de Jessica à n’importe qui, déjà tout le monde la connait, et surtout tout le monde sourit en parlant d’elle. C’est une étoile, à la fois smart et pétillante, j’ai adoré notre entretien.Jessica est une figure éminente dans le monde de l'investissement et de l'entrepreneuriat. En tant qu'operating partner chez Serena Capital, elle apporte une expertise stratégique et opérationnelle précieuse pour soutenir le développement des startups dans lesquelles le fonds investit. Jessica apporte à Serena sa vaste expérience dans le domaine du conseil en stratégie et du développement d'entreprise. Son rôle en tant qu'operating partner consiste à travailler en étroite collaboration avec les équipes de direction des startups du portefeuille pour les aider à atteindre leur plein potentiel. Aujourd'hui, nous aurons l'opportunité d'explorer avec Jessica les défis et les opportunités qui façonnent le paysage de l'investissement, ainsi que les tendances émergentes dans le monde des startups et de la finance.Restez avec mois pour une conversation captivante avec Jessica Ifker Delpirou, Operating Partner chez Serena Capital. Bonne écoute !

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Aujourd’hui dans Argent Conté, il était une fois le salaire à la demande.

D’après un sondage OpinionWay de décembre 2022, près d’un Français sur deux préférerait recevoir sa paie au fil du mois plutôt qu’en fin de mois. L’objectif ? Faire davantage face aux imprévus. Et pour cause, aujourd’hui déjà, dans d’autres pays à l’image des États-Unis, les salariés reçoivent leur paie toutes les deux semaines. Bref, le salaire mensuel n’est pas universel. C’est une construction sociale qui peut, à ce titre, être revisitée.

Plébiscité par celles et ceux qui doivent s’acquitter de gros frais de découvert bancaire, le concept du « salaire à la demande » apparaît comme une possible solution de rendre plus « liquide » le salaire mensuel et d’offrir davantage de flexibilité aux salariés. Tous les employeurs devraient-ils alors le proposer ? Est-ce vraiment souhaitable ? Face à une inflation sans précédent depuis plusieurs décennies, la popularité de ce procédé ne cache-t-elle pas un danger immense, celui du surendettement ?

Pour en parler j’ai fait appel à Arbia Smiti, la fondatrice de la toute fraiche entreprise Rosaly. On y parle des avantages mais aussi des pièges du salaire à la demande, et des risques à ne pas prendre quand on est salarié avec cet argent qui rémunère notre travail. Bonne écoute !


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