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    House of the Dragon saison 2 : la maison Targaryen plus déchirée que jamais

    House of the Dragon saison 2 : la maison Targaryen plus déchirée que jamais

    Attendue pour le 17 juin sur Canal+ Suisse, la saison 2 de House of The Dragon s’inscrit dans la continuité temporelle des chapitres précédents. Ravagée par le décès de son fils Luke, tué par Aemond Targaryen, Rhaenyra souhaite plus tout se venger de cette disparition dont elle ne se remet pas. Un souhait que son oncle et mari, Daemon, va prendre au pied de la lettre, appliquant une loi du Talion bien personnelle. Une escalade qui déclenche un courroux aussi bien du côté des Targaryen/Hightower que celui de sa nièce, qui soupçonne sa douce moitié d’utiliser sa douleur en tant que mère pour porter à bien ses propres desseins. Une tension familiale que l’on retrouve également entre Otto Hightower et son petit-fils, Aegon II, qu’il trouve instinctif et peu astucieux dans ses stratégies de combat. Entre conseils de guerre sous tension et attentisme fortement critiqué, ce début de la saison 2 du prequel de Game of Thrones fait avancer doucement, mais sûrement, les pions narratifs que la saison 1 avaient placés de manière beaucoup plus rapide.




    https://www.youtube.com/watch?v=YN2H_sKcmGw




    House of The Dragon saison 2 : une guerre qui se consume lentement



    Après presque deux ans d’absence, House of The Dragon est de retour ! La série produite par HBO et diffusée en France sur Max revient avec des épisodes dans lesquels règnent une haine plus vive que jamais entre les deux camps de la maison Targaryen. Emma d’Arcy brille toujours autant dans le rôle de Rhaenyra, la reine officieuse d’un royaume déchiré qui tente d’apporter une touche d’humanité dans un monde où règne le manque de pitié. En digne fille de son père. Olivia Cooke insuffle, elle, des nuances de jeu particulièrement intéressantes à une Alicent, déchirée entre ses convictions personnelles, en complète opposition avec les stratégies vindicatives de son fils, Aegon II (Ty Tennant) et de son amant, Sir Criston Cole (Fabien Frankel) et sa loyauté envers son camp. D’ailleurs, l’un des quatre premiers épisodes de cette nouvelle saison de House of The Dragon nous offre une confrontation inattendue et absolument savoureuse entre les deux héroïnes, antagonistes dans les faits, mais pourtant si proches dans leurs hésitations alors que leurs deux familles se dirigent inexorablement vers une Danse des Dragons qui s’annonce sanguinaire. Entre ces deux figures de proue, gravitent les personnages déjà introduits lors de la saison précédente : Otto (Rhys Evans), l’homme qui soufflait à l’oreille du roi, qui va subit un revers de taille dans ces nouveaux épisodes et évidemment Daemon Targaryen (Matt Smith), aussi imprévisible que loyal envers Rhaenyra qu’il aime et jalouse à la fois. Une saison deux bavarde à l’action retenue, qui risque de décontenancer les fans des chapitres précédents. Pour autant, si House of the Dragon est bien la progéniture de Game of Thrones, on se dit que ce ressort scénaristique est une simple technique permettant de reculer pour mieux sauter quand la tension entre la maison des Verts et celle des Noirs aura atteint son paroxysme et devra nécessairement exploser.



    [bs_show url="house-of-the-dragon"]



    Les huit épisodes de la saison 2 de House of The Dragon sont à retrouver sur Canal+ en Suisse tous les lundis à partir du 17 juin.

    Trois séries à retrouver pour le mois des fiertés

    Trois séries à retrouver pour le mois des fiertés

    Le mois des fiertés est l'occasion parfaite pour découvrir des séries qui célèbrent les relations et les histoires LGBTQ+. Que ce soit une série avec des relations principales ou secondaires, voici trois titres qui offrent une perspective différente de la diversité des expériences queer.



    Les engagés sur Prime Video et France.tv



    À la base, Les Engagés est une websérie française qui suit l'histoire d'Hicham, un jeune homme qui quitte sa famille à Lyon pour trouver sa place dans la communauté LGBTQ+ de la ville. Il rencontre Thibaut, un militant passionné pour les droits queer, et s'implique progressivement dans les activités de l'association qu'il dirige. En France, la série est considérée comme l’une des références sur cette thématique puisqu’à part Skam et celle-ci, on a peu de productions avec des personnages principaux LGBTQ+. Elle tente de rendre avec réalisme et empathie les luttes quotidiennes de la communauté tout en cherchant à être pédagogue sur les enjeux et la discrimination actuelle. Quand les deux saisons se sont terminées, France.tv a commandé une suite intitulée Les engagés XAOC, une mini-série de trois épisodes de 45 minutes là où les anciens faisaient environ 10 minutes.




    https://youtu.be/6sRWwbtccyo?si=VG7OKC9xVbGc7aPK




    [bs_show url="les-engages"]



    Pose sur Netflix



    Pose est une série dramatique créée par Ryan Murphy, Brad Falchuket Steven Canals, qui se déroule à New York à la fin des années 1980 et au début des années 1990. La série plonge dans l'univers vibrant de la scène ballroom, un espace sûr et exubérant où les personnes LGBTQ+, en particulier les personnes de couleur, peuvent s'exprimer et trouver une communauté à travers la danse et le spectacle. La série suit des personnages comme Blanca Rodriguez (MJ Rodriguez), une femme transgenre qui fonde sa propre maison de ballroom, et Pray Tell, le maître de cérémonie respecté de la scène ballroom. Malgré des défauts narratifs, Pose reste révolutionnaire pour sa représentation authentique des personnes transgenres et des personnes de couleur tout en saupoudrant d’une pincée de style. La série a été saluée pour son casting inclusif, avec des acteurs transgenres jouant des rôles transgenres, ce qui était rarement le cas en 2018 encore. Les performances énergiques des scènes de ballroom contrastent avec les histoires poignantes des personnages, offrant une vision émouvante de la vie dans la communauté LGBTQ+ à cette époque.




    https://youtu.be/bxjmhardILg?si=tAOpD3kPRASQL6BW




    [bs_show url="pose"]



    Jane the Virgin sur TF1+



    Jane the Virgin est peut-être la moins évidente de cette reco puisqu’il s’agit de relations secondaires. Pourtant, dès le départ, un personnage secondaire est ouvertement homosexuelle mais ce sera surtout l’évolution du personnage de Petra qui en fait une série notable sur ce sujet. Pour rappel, Jane the Virgin est une dramédie dramatique qui rend hommage aux telenovelas. On y suit l'histoire de Jane Villanueva, une jeune femme religieuse et déterminée, qui est accidentellement inséminée artificiellement par la sœur de son patron avec le sperme de ce-dernier (vous suivez ?). Elle apprend donc qu’elle est enceinte sans jamais avoir eu de rapports sexuels ce qui en fait un peu l’immaculée conception, surtout pour quelqu’un d’aussi croyante qu’elle et sa grand-mère. Jane va alors tenter de naviguer les complexités de la maternité, de sa carrière d'écrivaine et de ses relations amoureuses. En combinant son humour, ses références aux telenovelas avec notamment un narrateur excellent, Jane the Virgin va plus loin qu’une simple dramédie. Dès le départ, la série a su montrer des personnages divers et de minorités et a continué tout au long des cinq saisons.




    https://youtu.be/JOKUcwrPFmg?si=ytT1zlyBvqnXC9DK




    [bs_show url="j…

    Présumé innocent, Jake Gyllenhaal au cœur d’un meurtre

    Présumé innocent, Jake Gyllenhaal au cœur d’un meurtre

    Un horrible meurtre bouleverse le bureau du procureur de Chicago. L’une de ses procureurs s’est retrouvée assassinée avec une mise en scène où elle était ballotée. Seulement ça ne s’arrête pas là, car un de ses collègues va être suspecté dans cette affaire, obligeant l’accusé à se battre pour garder sa famille unie. Si l’histoire de de Présumé innocent vous rappelle quelque chose, c’est bien normal, un film avec le même titre était sorti en 1990 adapté du roman éponyme de Scott Turow. Le film mettait en vedette Harrison Ford dans le rôle principal, tandis que dans cette nouvelle-mini série d’AppleTV+ c’est Jake Gyllenhaal qui endosse le rôle de Rusty Sabich. David E. Kelley est le showrunner de la série tandis que J.J. Abrams fait partie des producteurs exécutifs via sa société Bad Robot. Comme le film et le roman, la série en huit épisodes se concentre sur le suspense et l'exploration psychologique des personnages, tout en abordant des questions éthiques et morales au sein du système judiciaire.




    https://youtu.be/NQu6TJV_q2s?si=8fB_gSkG1Ekm3YTV




    Dès la bande-annonce on comprend que la famille de Rusty Sabich n’est pas si solide qu’elle en a l’air puisque Rusty entretient une liaison avec Carolyn Polhemus (Renate Reinsve), la victime de l’histoire. Dès le deuxième épisode, on apprend que sa femme Barbara (Ruth Negga) est au courant de cette liaison qui a bien failli détruire leur famille, mais qu’ils ont réussi à surmonter ce temps dur ensemble. Plus qu’une enquête, c’est au cœur du bureau du procureur de Chicago que la série se déroule. On y voit donc les dessous juridiques d’une affaire amplement médiatisée. Quand les soupçons vont se tourner vers Rusty, ses principes mêmes sont remis en question. Gyllenhaal est brillant dans son personnage qui semble vraiment porter deux visages différents. L’un, comme bon père de famille et l’autre comme avocat retors avec des pulsions inavouables. Des flashbacks ponctuent les épisodes évidemment, où on revient sur sa relation avec Carolyn, les événements qui prouvent que certains témoins au procès se parjurent. En tant que thriller judiciaire, le film se plaçait déjà comme un incontournable du genre, mais la série permet de développer encore plus les ficelles de la justice ainsi que les personnages, notamment les secondaires comme le mentor de Rusty ou encore ses détracteurs. En effet, l’affaire a lieu quand le procureur général change, son ancien mentor est mis de côté tandis que son némésis remporte la victoire. C’est eux, Nico Della Guardia (O-T Fagbenle) et un jaloux Tommy Molto (Peter Sarsgaard), qui vont accuser Rusty du meurtre de Carolyn. Où est la vérité ?



    [bs_show url="presumed-innocent"]



    Présumé innocent est à découvrir dès le 12 juin sur AppleTV+.

    Mode et séries, souvent liés, jamais égalés

    Mode et séries, souvent liés, jamais égalés

    Ces derniers mois, on a eu droit à plusieurs séries sur de grands couturiers ou designers, avec Becoming Karl Lagerfeld sur Disney+ le plus récemment. Si Balenciaga était un véritable biopic à suivre l’ascension et ses conséquences de la maison Balenciaga, The New Look par exemple a plutôt opté sur un moment très précis de l’histoire de Christian Dior. À l’écran, les designs vintage redorent les blasons de la haute couture. Pour tous ces drames autour de figures emblématiques, il s’agit de découvrir une époque via le prisme de la mode et non pas seulement lever le voile sur des personnalités mystérieuses.





    https://youtu.be/VFdPBEjFWlg?si=pnxgFjYpHkFLrMzp

    Trois séries inédites qui arrivent sur Max au lancement

    Trois séries inédites qui arrivent sur Max au lancement

    C’est que le temps passe et le 11 juin, date de lancement de la plateforme Max avec tous les titres classiques HBO, mais aussi le cinéma TMC et Warner Bros, approche bientôt. Pour cette reco du weekend afin de donner un aperçu des titres qui seront disponibles au lancement, voici trois séries qu’on n’a pas encore eu l’occasion de voir en France mais qui valent le détour.



    The Girls on the Bus, la sororité dans la politique



    The Girls on the Bus est une libre adaptation du livre Chasing Hillary d'Amy Chozick, ou plus exactement d’un chapitre précis du livre. La série suit le parcours de quatre journalistes féminines couvrant la campagne présidentielle américaine. En plus de leurs aventures professionnelles, elle explore leurs vies personnelles et les défis qu'elles rencontrent dans un environnement dominé par les hommes. Melissa Benoist, connue pour son rôle dans Supergirl, incarne l'une des journalistes centrales, qui est poussée par la passion de la politique mais aussi par des idéaux. Malheureusement, la candidate qu’elle a suivie a perdu, et maintenant elle doit trouver un autre poulain sur qui parier qui saura aussi la motiver. Plongée au cœur du journalisme politique, The Girls on the Bus offre un regard incisif sur les rouages des campagnes électorales et la quête de vérité, tout en célébrant la solidarité féminine et le pouvoir de la presse. Même si la série a été annulée au bout d’une saison, elle se suffit à elle-même.




    https://youtu.be/dRM5UwaY-XU?si=cjGiIaG_z1CtgZdC




    [bs_show url="girls-on-the-bus"]



    Julia, de la douceur dans ce monde de brutes



    Vous connaissez déjà le film Julie et Julia avec Amy Adams et Meryl Streep dans les rôles titres, découvrez à présent juste Julia. La série est inspirée de la vie de Julia Child et de son émission culinaire révolutionnaire, The French Chef. Elle retrace l'ascension de Julia Child, interprétée par Sarah Lancashire, et son impact monumental sur la télévision et la culture culinaire américaine. Sarah Lancashire brille dans le rôle de Julia Child, capturant son esprit inébranlable et son amour pour la cuisine (difficile de passer derrière Meryl Streep et pourtant), tandis que David Hyde Pierce joue Paul Child, le mari dévoué de Julia. On entre dans les coulisses de l’émission mais aussi dans l’inspiration de Julia. On se retrouve plongé dans une reconstitution fidèle de l’époque et dans l'univers de la gastronomie avec une touche d'émotion et d'humour. Deux saisons pleines de bonnes choses sont à découvrir !




    https://youtu.be/s69fQRE-GaA?si=L9BA8Nm0b-lSIvE6




    [bs_show url="julia-2022"]



    Our Flag Means Death, ô à la piraterie



    On termine sur Our Flag Means Death, une comédie d'aventure créée par David Jenkins, qui revisite avec humour et originalité le monde de la piraterie et grandement appréciée du public. Inspirée des véritables aventures de Stede Bonnet, un aristocrate qui abandonne sa vie de luxe pour devenir pirate, la série met en vedette Rhys Darby dans le rôle de Bonnet, et Taika Waititi en tant que capitaine Barbe Noire. Ensemble, ils naviguent sur les mers tumultueuses tout en développant une relation inattendue et touchante. Ce mélange de comédie absurde et de moments sincères, remet au goût du jour le mythe du pirate. Les performances charismatiques de Darby et Waititi, ainsi que l'écriture inventive, font de cette série un incontournable pour ceux qui cherchent une évasion drôle et émotive. En plus de son humour décalé, la série brille par ses personnages attachants et ses dialogues savoureux, créant un univers unique où l'absurde côtoie la tendresse, ce qui touchera plus d’un cœur.




    https://youtu.be/prQDst-tAJ8?si=2Cgw3_-TRIEuqbuh




    [bs_show url="our-flag-means-death"]



    Que vous soyez amateur de drames politiques, de biopics inspirants o…

    Becoming Karl Lagerfeld sur Disney+ : la genèse d’un génie

    Becoming Karl Lagerfeld sur Disney+ : la genèse d’un génie

    Comment devient-on une icône de la mode ? Avec du talent, certes, de la persévérance évidemment et une grande dose de créativité. Des traits qui habillent à la perfection le héros éponyme de la nouvelle fiction de Disney+ : Becoming Karl Lagerfeld. Un héros aux ambitions extra-larges engoncées dans une réalité aux coutures trop étroites. En effet, en 1972, lorsque la série débute, Karl Lagerfeld est un quasi-inconnu qui s’illustre tant bien que mal dans l’univers du prêt-à-porter. Une carrière trop en deçà de ses attentes et de, sans doute, son talent alors qu’Yves Saint Laurent, qui a commencé sa carrière en même temps que lui, est un créateur adulé de la haute couture. Complexe et complexé, le styliste ingurgite la nourriture sans limites, mais abhorre sa silhouette, subvient au moindre besoin d’un jeune homme, Jacques de Basher, à qui il n’a pourtant jamais dit « je t’aime » et vit avec sa mère, la seule personne en qui il a totalement confiance. Un trop-plein de frustrations qui va – enfin – le pousser à devenir le grand nom de la mode qu’il a toujours ambitionné de devenir.




    https://www.youtube.com/watch?v=7hugYD-nb58




    Becoming Karl Lagerfeld : « Il n’y a pas un jour de ma vie où je n’ai pas rêvé d’être un grand homme »



    Quand nous avons interviewé Isaure Pisani-Ferry, l’une des créatrices de cette nouvelle fiction signée Disney+ lors de l’édition 2024 de Canneséries, Becoming Karl Lagerfeld allait être projeté en avant-première mondiale le soir-même sur l’écran géant de l’auditorium Louis Lumière. Et si la jeune femme était nerveuse, elle a pris ce moment comme l’apogée des trois années de travail qu’a représenté la création de la série. Une série « qui n’est pas un biopic », précise-t-elle, puisque lors du premier épisode, Karl Lagerfeld a déjà 38 ans. Non, ici, la narration se concentre sur un pan de vie intense et dramatique, ou, pourrait-on dire de manière quasi-géométrique, sur le carré d’amour/haine constitué d’Yves Saint Laurent, Pierre Bergé, Jacques de Basher et enfin de Karl Lagerfeld. Et lorsqu’on a demandé à Isaure Pisani-Ferry quelle a été la découverte la plus surprenante lorsqu’elle s’est plongée dans la vie romanesque de ce personnage haut en couleur, elle nous répond : « sa capacité à affabuler, voire à mentir ! Sur son âge, ses origines sociales, son pays d’origine et même sur son prénom ! À un moment, il se faisait même appeler Roland ! Mais aussi, sa disposition à se réinventer, à n’importe quel âge. Ce qui est une belle leçon de vie. »



    Une complexité brillamment retranscrite à l’écran par Daniel Brühl qui trouve des partenaires de jeu de haut vol avec Théodore Pellerin, interprète toujours très juste d’un Jacques de Bascher indolent et provocateur, Alex Lutz qui prête ses traits à Pierre Bergé, nerveux et hautain et Arnaud Valois dans le rôle crucial d’Yves Saint Laurent. Un casting qui a l’étoffe nécessaire pour nous happer immédiatement dans les rivalités amoureuses et professionnelles qui jalonnaient alors la vie de Karl Lagerfeld. Un jeu d’acteurs qui s’inscrit dans la qualité globale de la mini-série à l’esthétique soignée et à la réalisation sans faute, assurée de concert par Jérôme Salle et Audrey Estrougo. Et un souci du réalisme qu’Isaure Pisani-Ferry a pris très à cœur : « J’ai rencontré Gilles Dufour, qui a longtemps été son assistant, puis son bras droit. Patrick Hourcade, son décorateur et meilleur ami ou encore Carlos Munoz, son filleul, pour avoir une idée précise de qui était Karl Lagerfeld dans les années 70. » Consciente du challenge de s’attaquer à un véritable mythe de la mode internationale, la jeune femme a dû, et a su, trouver le bon équilibre entre les codes d’écriture d’une fiction et l’exigence de ne pas éclabousser le nom d’une ic

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