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Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.

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Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.

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    Grèves : face aux menaces... le retour du quoi qu'il en coûte ? - Vos questions sms

    Grèves : face aux menaces... le retour du quoi qu'il en coûte ? - Vos questions sms

    C dans l'air du 27 avril 2024 - Grèves : face aux menaces... le retour du quoi qu'il en coûte ?

    LES EXPERTS :

    - Philippe DESSERTINE - Économiste, directeur de l’Institut de Haute Finance, auteur de "Le grand basculement"
    - Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L’Usine Nouvelle
    - Béatrice MATHIEU - Grand reporter – L'Express
    - Thomas PORCHER - Économiste - Membre des "Économistes Atterrés"

    • 4 min
    Grèves : face aux menaces... le retour du quoi qu'il en coûte ? - L'intégrale

    Grèves : face aux menaces... le retour du quoi qu'il en coûte ? - L'intégrale

    C dans l'air du 27 avril 2024 - Grèves : face aux menaces... le retour du quoi qu'il en coûte ?

    Bercy peut souffler un grand coup. L'agence de notation Moody's a annoncé hier qu'elle ne dégradait pas la note souveraine française, "Aa2". Elle juge la perspective stable, et le risque de défaut très faible malgré la récente dégradation des finances publiques du pays. Pour l'exécutif, c'est le soulagement, d'autant que les élections européennes approchent à grand pas : "Cette décision doit nous inviter à redoubler de détermination pour rétablir nos finances publiques et tenir l’objectif fixé par le président de la république : être sous les 3% de déficit en 2027", a réagi le ministre de l'économie Bruno Le Maire. Pourtant ce résultat est inattendu : avec 5,5 % de déficit public en 2023 contre 4,9 espéré, l'économie française va mal. La France affiche même le troisième plus fort ratio de dette (110,6% du PIB) de l'UE après la Grèce et l'Italie. Et le déficit pourrait bien se creuser. À trois mois de l'ouverture des JO de Paris, médecins, policiers et gendarmes, ou encore conducteurs de la RATP, ont obtenu des primes. Le gouvernement a cédé à la pression des syndicats qui avaient déposé des préavis de grève pour la période des Jeux.


    Alors que Bercy tremble à chaque nouvelle notation, au Portugal, la sérénité est de mise. Le pays collectionne les A depuis quelques années chez Moody's, Fitch et tout récemment Standard & Poor's. Huit ans après l'intervention de la Troïka pour sauver le Portugal de la faillite, et un plan de sauvetage de 78 milliards d'euros, le pays n'a plus le même visage. Le taux de chômage est de 6,5%, la croissance de 2,3% sur l'année 2023 tandis que la dette publique a énormément diminué à 98,7% du PIB. Le pays profite énormément de son attractivité touristique, qui rapporte environ 15% du PIB. En 2023, le Portugal a accueilli 30 millions de touristes pour 25 milliards d'euros de recettes. Un tourisme effréné qui n'est pas sans conséquence sur le quotidien des Portugais. Ces dernières années, le prix des logements a explosé, et les habitants ont de plus en plus de mal à se loger. Le miracle économique portugais a donc sa part d'ombre.


    En France, certaines catégories de la population sont plus touchées que d'autres par la crise économique. C'est le cas des mères célibataires, mises en difficulté par l’inflation et l’absence de politique d’aide spécifique. Selon Libération, elles représentent 20% des dossiers de surendettement traités à la Banque de France en 2023 alors qu'elles ne représentent que 10% des ménages. Et quand elles sont payées au smic, elles sont deux fois plus exposées à la pauvreté monétaire que les autres salariés avec la même rémunération. Début avril, une proposition de loi transpartisane a été déposée à l'Assemblée nationale pour établir de nouveaux droits spécifiques pour les parents isolés et "lutter contre la précarité des familles monoparentales. Certaines de ses mesures devraient être examinées en mai.


    Les Jeux olympiques vont-ils aggraver la situation économiques de la France ? Doit-on redouter des grèves pendant la compétition ? Comment le Portugal a-t-il réussi à assainir ses finances publiques depuis la crise de 2011 ? Et pourquoi les mères célibataires subissent elles davantage la crise que les autres catégories de la population française ?

    LES EXPERTS :

    - Philippe DESSERTINE - Économiste, directeur de l’Institut de Haute Finance, auteur de "Le grand basculement"
    - Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L’Usine Nouvelle
    - Béatrice MATHIEU - Grand reporter – L'Express
    - Thomas PORCHER - Économiste - Membre des "Économistes Atterrés"

    DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes

    PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40

    PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christ

    • 1 hr 8 min
    Antoine Flahault - Prévention: Le secret de la longévité

    Antoine Flahault - Prévention: Le secret de la longévité

    C dans l'air l'invité du 26 avril 2024 - Antoine Flahault, épidémiologiste, professeur de santé publique, auteur de "Prévenez-moi !", publié aux éditions Robert Laffont.

    Sa parole durant l'épidémie de Covid était bienvenue, scientifique et posée. Le professeur Antoine Flahault expose dans un essai original, écrit sous forme de roman, les bienfaits d'une politique de santé qui serait davantage fondée sur la prévention des maladies.
    Dans cet ouvrage, il passe en revue les principales stratégies en matière de santé, et livre quelques pistes.
    Pour l'épidémiologiste, l'enjeu n'est pas seulement de vivre plus longtemps mais de rester plus longtemps en bonne santé.

    • 10 min
    Couvre-feux, internats: Comment rétablir l'autorité

    Couvre-feux, internats: Comment rétablir l'autorité

    C dans l'air du 26 avril 2024 - Couvre-feux, internats: Comment rétablir l'autorité

    LES EXPERTS :

    - Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche

    - Étienne GIRARD - Rédacteur en chef du service Société - L’Express

    - Marie-Estelle PECH - Rédactrice en chef – Marianne, journaliste éducation et société

    - Driss AÏT YOUSSEF - Docteur en droit public - Spécialiste des questions de sécurité globale

    • 5 min
    Couvre-feux, internats: Comment rétablir l'autorité - L'intégrale

    Couvre-feux, internats: Comment rétablir l'autorité - L'intégrale

    C dans l'air du 26 avril 2024 - Couvre-feux, internats: Comment rétablir l'autorité

    Un couvre-feu pour les mineurs ? Le ministre de l’Intérieur a apporté hier un soutien appuyé aux maires qui, comme à Béziers ou Nice, ont décidé d’un couvre-feu pour les mineurs de moins de 13 ans. Une mesure qu’il l’a lui-même mis en pratique entre 20 heures et 5 heures à Pointe-à-Pitre, en Guadeloupe. "Il n’est pas normal que des enfants, des adolescents, des mineurs soient dans la rue à minuit, une heure, deux heures du matin. Ils doivent être chez eux, ils doivent dormir, ils doivent aller le lendemain à l’école", a expliqué Gérald Darmanin, jeudi soir, sur le plateau du journal de France 3 Occitanie.
    "Je suis favorable au couvre-feu qui touche les mineurs. Les mineurs, ça doit être chez eux, chez leurs parents. Et les maires qui ont la compétence pour prendre des arrêtés, en effet, comme l’État, pour empêcher ces mineurs d’être dehors, notamment les moins de 13 ans […], je les soutiens. Je les soutiens et les préfets de la République les soutiendront", a-t-il poursuivi.


    Ces déclarations s’inscrivent dans un contexte où la France a connu ces dernières semaines une succession de faits divers sinistres impliquant des auteurs ou des victimes très jeunes. Il y a eu le passage à tabac mortel infligé à Philippe, 22 ans, à Grande-Synthe par des agresseurs présumés de 14 et 15 ans, celui de Shemseddine, 15 ans, à Viry-Châtillon, l’agression de Samara, 13 ans, devant son collège, à Montpellier, et le meurtre d’un jeune de 15 ans, tué d’un coup de couteau à Romans-sur-Isère. Un déferlement de violences qui a provoqué l’émoi et de nombreuses réactions dans le monde politique jusqu’au sommet de l’Etat.
    A la demande du président de la République, le Premier ministre a lancé une grande concertation sur le sujet de la violence des mineurs sur le modèle du Grenelle des violences faites aux femmes, avec l’idée de présenter un projet de loi avant l’été. Parallèlement Gabriel Attal a prôné un "sursaut d’autorité" auprès d’une partie de la jeunesse et fait de nombreuses annonces : sanctions sur le dossier scolaire des élèves "fauteurs de troubles", aides aux parents et aux familles monoparentales, accueil dans les collèges de 8 h à 18 h pour éviter que les élèves ne trainent dans les rues ou encore internats pour éloigner les jeunes des "mauvaises fréquentations".


    Dans la foulée, le chef du gouvernement était lundi au lycée du Parc impérial, à Nice, afin de visiter un internat d’expérimentation où des jeunes en difficulté sont accueillis pendant les vacances scolaires. Cela concerne des "élèves décrocheurs" et des "primo-délinquants" a expliqué le Premier ministre. Si cette expérimentation de 15 jours porte ses fruits, le dispositif pourrait être généralisé à l’avenir sur tout le territoire.


    L’exécutif veut également mieux réguler les écrans et notamment les réseaux sociaux qui sont "un accélérateur de haine" et un "catalyseur de violence" selon le chef du gouvernement. Pour cela, le président Emmanuel Macron a demandé à une commission de se réunir pour faire des propositions en ce sens. Celle-ci rendra ses conclusions d’ici la fin du mois. Gabriel Attal a indiqué que l'exécutif "n'exclut aucune piste". Le Premier ministre s’est également dit prêt à ouvrir le débat sur des "atténuations à l'excuse de minorité", principe qui fait qu'un mineur est sanctionné moins sévèrement qu'un majeur.


    Autant d’annonces qui ont fait vivement réagir et n’ont pas convaincu l’opposition, les associations, les professionnels de l’éducation mais aussi de la justice (avocats et magistrats).
    Alors que prévoit le plan du gouvernement ? Quelles solutions pour lutter contre la violence des mineurs ? Comment sont-ils jugés aujourd’hui ? Pourquoi les écrans sont-ils pointés du doigt ? Comment mi

    • 1 hr 3 min
    François Molins - Terrorisme: un magistrat en première ligne

    François Molins - Terrorisme: un magistrat en première ligne

    C dans l'air l'invité du 25 avril 2024 - François Molins, l’ex-procureur publie ses mémoires "Au nom du peuple français", aux éditions Flammarion.

    L’occasion de plonger dans les "méandres" de la justice, et revenir sur des moments forts de sa carrière. Le magistrat le plus connu de France rembobine sa carrière et offre une plongée dans le monde judiciaire.
    Figure majeure de la lutte contre le terrorisme pendant les attentats qui ont frappé la France ces dernières années, en particulier entre 2012 et 2018, François Molins livre un récit intime et captivant. Une immersion "au cœur de l’institution judiciaire à laquelle il s’est dédié quarante-six ans durant, avec toujours la même boussole : l’indignation face à l’injustice".


    Le livre évoque aussi plusieurs procès dans de grandes affaires politico-financières, dont "Bygmalion, Cahuzac, Dupond-Moretti", auquel le magistrat a contribué en incarnant "un inflexible contre-pouvoir".


    Le haut magistrat avait quitté ses fonctions en juin 2023, partant à la retraite après "quarante-six ans et demi au service" de la justice. Il avait terminé sa brillante carrière à la Cour de cassation, où il officiait en tant que procureur général depuis 2018. Celui-ci avait marqué les esprits avec sa liberté de ton.

    • 11 min

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