2 min

Pourquoi Airbus utilise le chiffre 3 pour nommer ses avions ‪?‬ Choses à Savoir

    • Education

Comme les concepteurs de trains, les avionneurs utilisent une nomenclature précise pour identifier leurs appareils. Si vous prenez parfois l'avion, vous avez dû remarquer, sur le fuselage de l'appareil ou sur votre billet, la présence de certains chiffres.
Chaque constructeur fait son choix en la matière. Ainsi, Airbus a adopté le chiffre 3. Tout a commencé en 1972, avec la mise en service de son premier avion, l'A300.
Le chiffre choisi indique le nombre maximal de passagers que peut contenir l'appareil. À chaque nouvel avion, Airbus s'est contenté d'ajouter une dizaine. Sont ainsi sortis de ses usines l'A310, l'A320 et ainsi de suite.
Par contre, on passe directement de l'A340 à l'A380. Ce dernier avion visant surtout le marché asiatique, certains expliquent ce saut par le choix délibéré du chiffre 8, réputé porter bonheur en Asie.
Il se peut aussi que le constructeur ait réservé les nombres manquant à des avions de capacité intermédiaire. On relève cependant une exception dans ces nomenclatures : l'A220, repris à l'avionneur canadien Bombardier.
Un autre géant de l'aviation, la firme américaine Boeing, a fait un autre choix en matière de nomenclature. En effet, tous ses avions sont désignés par un nombre commençant par le chiffre 7.
Cette numérotation suit simplement les règles de codification adoptées par l'aviation américaine. En effet, chaque type d'avion est identifié au moyen d'un code spécifique. Ainsi, les avions militaires reçoivent la numérotation 400 et tous les appareils relevant de l'aérospatiale le code 600.
De leur côté, les avions commerciaux doivent utiliser la codification 700. Ainsi, quand le premier appareil prend son envol, en 1958, le constructeur américain lui donne le nom de Boeing 707. Suivront notamment les Boeing 717,727 et 737, le dernier en date, le 787, recevant en prime le surnom de "dreamliner".
Certains n'ont pas manqué d'avancer une autre explication, en insistant sur la signification du 7, un autre chiffre porte-bonheur. On aura enfin noté que, pour donner une impression de symétrie, le dernier chiffre, toujours un 7, est semblable au premier.

Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Comme les concepteurs de trains, les avionneurs utilisent une nomenclature précise pour identifier leurs appareils. Si vous prenez parfois l'avion, vous avez dû remarquer, sur le fuselage de l'appareil ou sur votre billet, la présence de certains chiffres.
Chaque constructeur fait son choix en la matière. Ainsi, Airbus a adopté le chiffre 3. Tout a commencé en 1972, avec la mise en service de son premier avion, l'A300.
Le chiffre choisi indique le nombre maximal de passagers que peut contenir l'appareil. À chaque nouvel avion, Airbus s'est contenté d'ajouter une dizaine. Sont ainsi sortis de ses usines l'A310, l'A320 et ainsi de suite.
Par contre, on passe directement de l'A340 à l'A380. Ce dernier avion visant surtout le marché asiatique, certains expliquent ce saut par le choix délibéré du chiffre 8, réputé porter bonheur en Asie.
Il se peut aussi que le constructeur ait réservé les nombres manquant à des avions de capacité intermédiaire. On relève cependant une exception dans ces nomenclatures : l'A220, repris à l'avionneur canadien Bombardier.
Un autre géant de l'aviation, la firme américaine Boeing, a fait un autre choix en matière de nomenclature. En effet, tous ses avions sont désignés par un nombre commençant par le chiffre 7.
Cette numérotation suit simplement les règles de codification adoptées par l'aviation américaine. En effet, chaque type d'avion est identifié au moyen d'un code spécifique. Ainsi, les avions militaires reçoivent la numérotation 400 et tous les appareils relevant de l'aérospatiale le code 600.
De leur côté, les avions commerciaux doivent utiliser la codification 700. Ainsi, quand le premier appareil prend son envol, en 1958, le constructeur américain lui donne le nom de Boeing 707. Suivront notamment les Boeing 717,727 et 737, le dernier en date, le 787, recevant en prime le surnom de "dreamliner".
Certains n'ont pas manqué d'avancer une autre explication, en insistant sur la signification du 7, un autre chiffre porte-bonheur. On aura enfin noté que, pour donner une impression de symétrie, le dernier chiffre, toujours un 7, est semblable au premier.

Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

2 min

Top Podcasts In Education

Go учиться
Forbes Russia
Не учи меня жить
Научись искусству помощи себе (с Аленой Борьессон)
Hot Girl Energy Podcast
Kaylie Stewart
For You From Eve
For You From Eve
The "That Girl" Guide
Paige Morris & Ellie Johnson
Claim Your Power
Kim Peretz

More by Choses à Savoir

Choses à Savoir ÉCONOMIE
Choses à Savoir
Choses à Savoir SANTE
Choses à Savoir
Choses à Savoir
Choses à Savoir
Incroyable !
Choses à Savoir
Choses à Savoir HISTOIRE
Choses à Savoir
Choses à Savoir TECH VERTE
Choses à Savoir