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Tous les matins, le journaliste Thomas Sotto, du lundi au jeudi, et ses confrères, Jeff Wittenberg ou Guillaume Daret, le vendredi, interviewent en direct pendant dix minutes une personnalité de la vie politique, sociale, économique ou culturelle, sur l'actualité du jour. Un entretien quotidien, inclus dans l'émission Télématin, sur France 2.

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Tous les matins, le journaliste Thomas Sotto, du lundi au jeudi, et ses confrères, Jeff Wittenberg ou Guillaume Daret, le vendredi, interviewent en direct pendant dix minutes une personnalité de la vie politique, sociale, économique ou culturelle, sur l'actualité du jour. Un entretien quotidien, inclus dans l'émission Télématin, sur France 2.

    Jean Lassalle, le retour dans l'arène... Jean Lassalle est l'invité des 4V du 1er mai 2024

    Jean Lassalle, le retour dans l'arène... Jean Lassalle est l'invité des 4V du 1er mai 2024

    • 11 min
    Manifestations propalestiennes à Sciences-Po et la Sorbonne, liberté d’expression… Sylvie Retailleau est l’invitée du 30 avril 2024

    Manifestations propalestiennes à Sciences-Po et la Sorbonne, liberté d’expression… Sylvie Retailleau est l’invitée du 30 avril 2024

    Après les manifestations pro-palestiniennes qui ont débuté à Science Po il y a plusieurs semaines, c’était au tour de l’université La Sorbonne de voir sa cour investie d’étudiants, ce lundi 29 mars, avec des tentes et des drapeaux palestiniens, dans l’intention d’un blocage. Invitée dans les 4 vérités, Sylvie Retailleau, Ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche de France, argue qu’il est important que l’université reste un lieu de débat, mais d’un « débat cadré », « acceptant la controverse », et « avec un cadre serein ». Pour la ministre, il existe également une différence entre les lieux de manifestations : si celles à l’intérieur de l’université n’entrent pas dans ce cadre, celles au dehors de ses murs, au contraire, « font partie de la démocratie ».

    À l’heure actuelle, des blocages existent seulement au sein de Sciences Po, La Sorbonne, et nouvellement Nanterre, avec une vingtaine d’étudiants au 29 mars, mais des appels sont relayés partout en France. « On reste vigilants », assure la femme politique, qui a invité l’ensemble des présidents d’université à discuter avec elle jeudi 2 mai afin de « trouver l’équilibre entre la liberté d’expression et le non-blocage ».

    Le 29 avril, sur X, Valérie Pécresse a annoncé « suspendre tous les financements de la région Ile-de-France » destinés à l’IEP tant que la sécurité ne sera pas rétablie. Pas question, en revanche, de couper les subsides de l’État aux universités à l’heure actuelle, indique la ministre. Pour autant, un « contrat d’objectifs de moyens et de discussions » est en cours avec le Premier ministre Gabriel Attal. Comme son nom l’indique, ce contrat se veut un moyen de trouver des leviers de discussion.

    « Nous resterons fermes », martèle Sylvie Retailleau

    Face à ces mobilisations, la direction de Science Po est-elle en train de faillir ? La ministre rappelle que vendredi 26 avril, celle-ci a dû saisir la préfecture de police. Les échanges ont finalement abouti à ce que François-Xavier Bellamy a qualifié le 28 avril sur Europe 1 d’« accord de la honte. » « On va organiser un grand débat sur la légitimité de ces expressions antisémites ? », s’était insurgé le chef de file LR aux élections européennes. « Je pense qu’[il] devrait regarder l’accord un peu plus précisément. Nous resterons fermes », a martelé Sylvie Retailleau, précisant qu’aucune sanction contre les propos antisémites n’avait été abandonnée. Dans le même temps, du côté de Science Po, il n’y aura, indique-t-elle, aucun boycott des relations avec les académies d’Israël, comme demandé par les manifestants.

    Lundi 29 avril, le gouvernement a annoncé qu’il allait porter plainte pour « injures publiques devant un agent public » à l’encontre de Jean-Luc Mélenchon après qu’il a comparé le président de l’université de Lille au nazi Adolph Eichmann. « Je ne l’ai pas traité de nazi. Je ne pense pas qu’il le soit. J’ai dénoncé l’exemple de sa lâcheté », a rétorqué le chef des Insoumis. « Faisons une campagne européenne (…) Il y a tant de choses à défendre au niveau de l’Europe », revendique la ministre, incitant à concentrer son attention sur les priorités.

    • 9 min
    Question palestinienne, terrorisme, élections européennes... Rima Hassan est l'invitée du 29 avril 2024

    Question palestinienne, terrorisme, élections européennes... Rima Hassan est l'invitée du 29 avril 2024

    Septième sur la liste de La France Insoumise pour les élections européennes, Rima Hassan sera, comme Mathilde Panot, convoqué le mardi 30 avril par la police pour de potentiel faits d’apologie du terrorisme. En cause ? Des propos qu’elle aurait tenus sur les réseaux sociaux entre novembre et décembre. « Cela fait sûrement référence à des posts que j’ai pu avoir sur les réseaux sociaux qui sont publics. On va répondre à cette convocation avec mon avocat », souligne la militante franco-palestinienne, invitée des 4 Vérités ce lundi 29 avril 2024, sur France 2. Elle dénonce notamment un « recours abusif de ces procédures » et une « criminalisation des voix qui s’expriment sur la question palestinienne ». Les propos visés auraient été tenus après les attentats du 7 octobre 2023 perpétrés par le Hamas en Israël. « La logique est aussi de dénoncer les soutiens inconditionnels d’Israël qui pourchassent les voix qui s’expriment sur la question palestinienne. A l’inverse, nous devons défendre nos libertés fondamentales et notre liberté d’expression », affirme-t-elle.

    En janvier, une polémique avait éclaté après la publication d’une vidéo du média en ligne le Crayon, où la juriste était invitée à répondre simplement par «vrai» ou «faux». A la question «Le Hamas mène-t-il une action légitime ?», elle avait alors répondu : «Vrai». Après plusieurs signalements pour «apologie du terrorisme», l’extrait avait finalement été supprimé. « Il faut distinguer la légitimité pour un groupe armé à opérer dans un contexte de lutte pour l'autodétermination. Et ensuite du caractère légal ou illégal de son mode opératoire. Les attaques du 7 octobre ne peuvent pas être légitimées, ni justifiées. Elles relèvent au contraire du crime de guerre voire du crime contre l’humanité », souligne Rima Hassan.

    Vendredi 26 avril, Rima Hassan faisait partie des élus venus soutenir la mobilisation pro palestinienne de certains étudiants de Sciences-Po. Elle a notamment appelé à un « soulèvement ». « Je l’assume totalement. Je fais référence à la définition du Larousse. C’est un mouvement collectif et massif », assure-t-elle, au micro de Thomas Sotto. Pour l’élue, le terme de « génocide ne fait pas débat ». De son côté, la Cour internationale de Justice parle d’un « risque génocidaire ». « Nous avons tous collectivement un rôle de prévention sur ce génocide, et la prévention passe par la dénonciation de tous les actes génocidaires », souligne Rima Hassan, appelant à une « mobilisation dans toute la France ».

    • 11 min
    Le candidat qui veut changer d'Europe... Pierre Larrouturou est l'invité des 4V du 27 avril 2024

    Le candidat qui veut changer d'Europe... Pierre Larrouturou est l'invité des 4V du 27 avril 2024

    Pierre Larrouturou s’inscrit dans la course aux européennes. Cette semaine, la tête de liste de Nouvelle Donne a publié une tribune dans le journal Le Monde. L’occasion de dévoiler dans les grandes lignes son programme. Et ce dernier tire le même constat que le Président de la République sur l’instabilité de l’Europe « en danger de mort ». Dans son nouveau discours à La Sorbonne, Emmanuel Macron n’a pas mâché ses mots et a tenu des propos particulièrement alarmistes. Un point de vue sur l’état de l’Europe que partage le candidat Nouvelle Donne, bien qu’il souhaite lui donner une toute autre trajectoire. « Pour nous la priorité, c’est de sortir de la crise sociale » explique notre invité qui milite ardemment pour l’amélioration de la condition des agriculteurs.

    Hier soir, les agences de notation ont mis fin au suspens en dévoilant la note de la France. Contre toute attente et malgré des prévisions très pessimistes dues au déficit record de 5,5% en 2023, l’Hexagone conserve sa note positive. Une bonne nouvelle si l’on considère que la France pourra emprunter de l’argent à un taux moindre que si la note avait été dégradée. Pour Pierre Larrouturou, cela est encore nettement insuffisant pour résoudre la crise économique dans laquelle le pays s’est enlisé : « Je préférerais qu’on arrête le dumping fiscal et social […] il n’y a que les milliardaires qui profitent de cette politique ». Pour redistribuer les cartes du jeu, notre invité souhaite augmenter les impôts des catégories les plus aisées ce qui aurait pour effet de redresser les hôpitaux et régler le problème des retraites. Ce dernier planche déjà sur un référendum comme antidote au marasme que connaîtrait l’Europe : « L’objectif c’est de réorienter l’Europe […] on veut des critères sociaux pour faire baisser les loyers, pour une Europe qui s’intéresse à la vie quotidienne, qui fait baisser les factures comme en Espagne. Aujourd’hui tout est bloqué » martèle l’élu européen Nouvelle Donne qui préconise un électrochoc pour sauver le climat et la cohésion sociale. Bien décidé à faire bouger les lignes avec l’espoir de réunir la gauche et les écologistes pour former une alliance, Pierre Larrouturou sous l’égide de Nouvelle Donne a rédigé un traité clé en main qui permettrait de mettre 300 milliards sur le climat. Et pour financer ce projet, « il faut un impôt européen sur les grandes entreprises ».

    Pour Emmanuel Macron, la priorité est tout autre. Selon le chef d’État, il faut s’armer militairement compte tenu des tensions aux portes de l’Europe, et particulièrement en Ukraine, et se protéger économiquement face aux concurrents chinois et américains. Un discours presque inaudible pour Pierre Larrouturou qui se bat actuellement au Parlement européen « pour qu’on puisse garder notre industrie », et ce, malgré le blocage de la France qui rejette l’idée d'une taxe de transaction.



    Semaine de 4 jours : le débat



    Parmi les nombreux combats que mène le cofondateur de Nouvelle Donne depuis des années, la semaine de 32 heures en quatre jours divise. Ce dernier vient même de publier un nouveau livre à ce sujet. Un projet ambitieux sur lequel le Premier ministre Gabriel Attal n’est pas complètement opposé, bien qu’il souhaite revoir la copie de l’élu européen. De son côté, Matignon propose de tester la semaine de 36 heures par semaine. Mais Pierre Larrouturou ne compte pas renoncer : « Il y a déjà eu 500 entreprises qui sont passées à 4 jours 32h sans baisser les salaires […] l’idée c’est que si l’entreprise passe à quatre jours et qu’elle crée des emplois, elle arrête de payer les cotisations chômage comme ça c’est équilibré pour tout le monde » défend notre invité. Si ce modèle a été adopté pour d’autres pays de l’Union européenne, le bilan des 35 heures en France rest

    • 8 min
    Défense : la nouvelle priorité européenne - Sébastien Lecornu est l'invité des 4V du 26 avril 2024

    Défense : la nouvelle priorité européenne - Sébastien Lecornu est l'invité des 4V du 26 avril 2024

    « Notre Europe est mortelle » : c’est l’une des phrases chocs retenues lors du discours d’Emmanuel Macron à La Sorbonne ce jeudi 25 avril 2024. Invité à prendre la parole sur l’Europe, le président de la République a évoqué à plusieurs reprises la « puissance européenne » qui passe selon lui par un effort sur la défense et les crédits militaires. Est-ce donc l’antidote pour sauver l’Europe du péril ? Pour Sébastien Lecornu, ministre des Armées, les multiples conflits actuels justifient une telle prise de position, aussi alarmiste qu’elle soit. « Les risques d’insécurité sont bien là avec tous les défis que nous posent la Russie, l’Iran, les proliférations nucléaires, le terrorisme qui n’a pas disparu, les contestations d’espaces nouveaux, les fonds sous-marins, la militarisation de l’espace, les menaces cyber… On vit une époque objectivement qui n’est pas que romantique » constate notre invité. Longtemps déléguée à Washington, l’Europe doit à présent reprendre la main sur sa capacité de défense et s’émanciper progressivement de sa dépendance internationale pour consolider la souveraineté et l’autonomie du territoire. C’est certainement l'une des premières leçons que les gouvernement européens respectifs peuvent tirer de la guerre en Ukraine. Tous ou presque ont compris l’importance de produire en quantité malgré les réticences de la commission européenne qui a pendant longtemps freiné des quatre fers le financement des industries de défense. Aujourd’hui, les institutions européennes ont décidé de soutenir le développement de ces industries parfois stigmatisées en les finançant, en accompagnant les investissements en matière de production et d’innovation. « Les grands programmes européens entre nations créent de la valeur, de l’emploi et ça permet de résister au choc des compétitions internationales » défend le ministre des Armées.

    Dans ce jeu d’échec grandeur nature et malgré les alertes d’Emmanuel Macron, qui appelle à la préférence européenne, certains pays à l’instar de nos voisins allemands continuent d’acheter du matériel aux États-Unis. En effet, leur projet de bouclier anti-missile sera difficilement estampillé européen bien que la France n’y ait pas totalement renoncé. Emmanuel Macron est-il condamné à faire cavalier seul ? Pour Sébastien Lecornu, c’est avant tout un vieux réflexe protectionniste : « Beaucoup de capitales européennes […] sont dans la promesse que Washington viendra les protéger y compris avec un non-dit de ces opinions publiques là qu’est le parapluie nucléaire américain » explique notre invité. Pourtant, il soutient le modèle de dissuasion nucléaire européen qui est « complètement autonome ». Dans son allocution à la Sorbonne, Emmanuel Macron a donné quelques détails sur cette future défense européenne avec notamment la création d’une prochaine académie militaire. Le chef d'État français a également évoqué la cyber défense et a parlé d’une force de réaction rapide qui pourrait se constituer et atteindre 5000 hommes. « C’est un sujet clé et sur lequel je souhaiterais qu’on puisse aboutir dès l’année prochaine en étant très réactif. Il y a beaucoup de crises sur lesquelles l’OTAN n’est pas compétente et sur lesquelles la France mène souvent des opérations seules comme les exactions de nos ressortissants dans des pays qui sont en crise […] ce partage là a du prix et de la valeur. C’est du pragmatisme. Cette force la permet de faire de la mise en sécurité des ressortissants européens, on doit pouvoir la mettre en place très rapidement » affirme le ministre.



    Européenne : le RN creuse le fossé



    Malgré de nombreuses dissonances avec l’Allemagne du point de vue de la défense, Sébastien Lecornu s’apprête à signer avec son homologue allemand un accord sur le char du futur, un véhi

    • 9 min
    Le programme du RN pour les européennes - Jordan Bardella est l'invité du 25 avril 2024

    Le programme du RN pour les européennes - Jordan Bardella est l'invité du 25 avril 2024

    Jordan Bardella, le président du parti d’extrême-droite fondé par Marine Le Pen, revient sur les propos qu’il a tenu dans le Journal du Dimanche ce weekend : « ma plus grande peur, c’est de décevoir ». Il explique cette phrase sur le plateau de Télématin, indiquant qu’il est « conscient de l’imminente responsabilité qui pèse sur ses épaules » en tant que chef d’un parti qui pourrait arriver au pouvoir dans les prochaines années ; rappelant que « la politique, c’est aussi des sentiments, on reste des hommes et des femmes comme tout le monde ».

    Le président de la République va tenir aujourd’hui un discours à la Sorbonne sur le thème de l’Europe, discours où le président du Rassemblement national a indiqué, au micro de Thomas Sotto, ne pas se rendre. Il estime l’invitation d’Emmanuel Macron « provocatrice » puisqu’il le considère comme son grand adversaire politique et quelqu’un qui se fiche de l’Europe : « je pense qu’Emmanuel Macron sera le seul à se réjouir s’il y a des abstentions le 9 juin ». Pour son propre programme dans la campagne des élections européennes, Jordan Bardella annonce son intention de résister au pacte vert (qui vise à interdire les moteurs thermiques d’ici 2035) qui pèserait, selon lui, trop lourd sur le pouvoir d’achat, ainsi que protéger le continent d’une concurrence internationale qu’il estime « déloyale », et insister sur plus de patriotisme économique en France.

    Un programme antisocial

    Autre sujet au cœur du programme du Rassemblement national : l’immigration. L’homme politique avoue avoir retiré Saidali Boina Hamissi, le délégué départemental de Marine Le Pen à Mayotte, de sa liste aux élections européennes. La cause ? Des déclarations précédemment faites par ce dernier mettant mal à l’aise les représentants de l’extrême-droite. Il a notamment qualifié les migrants comoriens de « vermines », tenu des propos complotistes sur la pandémie de coronavirus, fait l’éloge de Vladimir Poutine, et parlé de « soumission de la femme ».

    Il soutient à l’inverse la candidature de Fabrice Leggeri, ancien patron de Frontex, et accusé de crimes contre l’humanité par diverses associations. Jordan Bardella défend son collaborateur et s’estime fier de son travail fait « au service de la France » de renvoyer des migrants clandestins dans leurs pays d’origine. Pour lui, les ONG qui combattent les positions anti-immigrationnistes prônées par le RN sont « complices du trafic d’être humains ». Il indique également souhaiter que les demandes d’asile soient traitées dans les pays d’origine, et non sur le sol français.

    Autre sujet dans les préoccupations du jeune leader d’extrême-droite : la gestation pour autrui. Sur la plateau de France 2, il s’annonce « opposé » à ce droit, considérant qu’il « participe à une logique de marchandisation du corps des femmes ». Rappelons que la GPA reste interdite en France. Questionné à propos de la mise en examen de Mathilde Panot pour apologie du terrorisme, Jordan Bardella estime que les propos tenus par des représentants de la France insoumise « fleurtent avec les communautarismes les plus hostiles à notre civilisation ». Enfin, le « retour à l’autorité » proclamé par le gouvernement n’est pas assez « ferme » pour le conseiller régional d'Île-de-France, qui veut retirer les allocations familiales des ménages avec des enfants délinquants, et « responsabiliser les parents face à la violence et l’ensauvagement ». Il se dit favorable à un couvre-feu généralisé pour les mineurs.

    • 12 min

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