Vivre FM - L'invité(e) du 7/9 Unknown

Florent Maréchal, Directeur des programmes de Solidarité Sida, organisateur du festival Solidays est au micro de Frédéric Cloteaux. A quelques jours de l'événement phare de l'association, il revient sur les priorités d'allocation des fonds récoltés grâce à cet événement solidaire qui génère plus de 2 millions d'euros de bénéfices intégralement reversés à des associations de terrain. Si les têtes d'affiche du festival font des efforts conséquents sur leurs rémunération pour encourager ces actions, il n'en demeure pas moins que les coûts augmentent considérablement et que l'association doit faire des prouesses pour maintenir les investissements positifs qu'elle fait dans le monde associatif. La mise en avant de plusieurs dizaines d'associations dans le village du festival et en particulier de trois d'entre-elles - Nightline dédiée à la santé mentale des étudiants, Surfrider foundation engagée dans la protection de l'environnement et Sol en si qui vient au secours d'enfants atteints du sida - n'est pas suffisante. L'argent est le nerf de la guerre pour intervenir rapidement et efficacement contre les fléaux et les discriminations. 260,000 festivaliers l'an dernier ont prouvé le succès populaire d'engagement des jeunes et la mobilisation de centaines de bénévoles dans l'organisation témoigne d'une volonté de poursuivre les combats de l'association. Et même de toutes les associations car beaucoup de jeunes découvrent certaines d'entre-elle lors du festival et s'engagent à leur venir en renfort tout au long de l'année. Luc Baruet, Président de Solidarité Sida et organisateur de Solidays n'oublie pas pour autant de coller à la réalité du moment et de mobiliser les festivaliers pour qu'ils aillent voter le 30 juin, le festival ne pouvant en aucun cas être une excuse pour s'abstenir de remplir son devoir électoral ! Il reste encore quelques billets disponibles pour Solidays - 28/29/30 juin - Hippodrome de Longchamp - Paris

Alors que Paris se prépare pour les JO, et attends 350 000 personnes en situation de handicap, Rajae El Harrak a créé VeebyA, une solution de transports privés destinées aux personnes en situation de handicap, au micro de Clara Molinas. www.veebya.fr/

Nous avons déjà évoqué sur Vivre FM la nécessaire décarbonation du secteur de l'autonomie et du médico-social. Ce fut d'abord Baptiste Verneuil du Shift project, qui est venu présenter le Bilan Carbone du secteur. Jean-Michel Ricard, président de l'association Siel Bleu est venu nous présenter l'initiative Just in Move qui vise à sensibiliser plus de 100 000 personnes du secteur à une mobilité décarbonée. Mais il reste encore beaucoup à faire. Et c'est pourquoi Nexem, le syndicat des employeurs des établissements de santé, qui représente 10 000 établissements et plus de 250 000 professionnels prend désormais à bras le corps le nécessaire accompagnement des établissements. Didier Arnal, Directeur de la prospective, vient présenter la feuille de route déjà mise en œuvre, issue de la Convention des entreprises pour le Climat, afin de tenir les objectifs. Il est au micro de Christophe Meunier-Jacob.

Ibrahima TRAORE est Conseiller Départemental du Val de Marne Il connaît très bien ce territoire où il mène des actions en faveur de la lutte contre les discriminations Homme de terrain, il témoigne aujourd'hui au micro de notre journaliste Jason JOBERT de la situation concrète d'actions politiques et citoyennes en faveur de personnes en situation de handicap

En France, en 2022, on a estimé à 217 000 le nombre de femmes victimes de violences sexuelles. Une estimation minimale qui ne prend pas en compte les victimes mineures ou celles qui ne parlent tout simplement pas de leur agression. Des violences qui ont un impact important sur la santé des femmes. Avec Indira Chowdhury, fondatrice de l'association Orphéos, on parle justement de cet impact sur le plan psychologique et physique et de la manière dont la danse-thérapie et la médiation équine permettent une reconnexion avec le corps... mais pas que ! Aidez l'association Orphéos en participant à leur cagnotte Ulule : https://fr.ulule.com/association-orpheos/ Pour en apprendre plus sur l'association Orphéos : https://www.orpheos.org/

Vincent Canu, Directeur de Osapiens est au micro de Frédéric Cloteaux en direct du Congrès RSE à Paris. De la viande de cheval dans des raviolis en grande distribution, 1100 morts dans l'effondrement d'un atelier de couture au Bangladesh, deux exemples de non traçabilité des productions qui ont défrayé la chronique parmi tant d'autres qui n'apparaissent pas dans les médias. Osapiens, société d'origine allemande implantée en France se consacre depuis des années à accompagner ses clients pour leurs rappeler leurs devoirs de vigilance fixés par des lois visant à protéger les humains et la planète, quel que soit l'endroit où sont produits les matières premières ou services. Depuis trop longtemps, les marques commercialisant des produits finaux sous de grandes appellations parfois, pouvaient faire retomber la responsabilité d'une inaction sur le dernier fournisseur l'approvisionnant. Aujourd'hui, ce n'est plus le cas et les lois européennes engagent chaque entreprise à s'assurer que tout ce qui compose un produit soit traçable et éthiquement responsable. Sans compter le respect des normes carbone qui modifient parfois totalement les chaînes de production des produits que nous achetons. Une tolérance est acceptée pour les toutes petites entreprises pour qui les lois sont plus difficilement applicables, nous dit Vincent Canu. Mais une petite entreprise n'a t elle pas vocation à devenir grande ? Autant appliquer les règles tout de suite !