Le cinéma est partout ! Thibaut Dopchie
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- TV & Film
Le cinéma n’est pas mort. Il est partout. Dans ce podcast, nous explorons les mutations d’un art qui n’a jamais cessé d’évoluer.
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Guerre des publics au BIFFF
La dernière édition du BIFFF a été au centre d'une polémique dont il se serait bien passé, suite à une séance houleuse.
Mais, plus que l'événement en lui-même, les commentaires et recensions après-coup révèlent un changement d'état d'esprit qui mettent à mal l'idée de cinéma comme expérience collective.
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Hollywood brûle-t-il ?
Le système des studios semble à nouveau vaciller. Comme tous les 20 ans environ.
Mais que trouvera-t-on derrière ce vacillement ? Sur quelles bases, économiques, mais aussi culturelles, Hollywood va-t-il se stabiliser ensuite ?
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Que nous apprend la crise du cinéma anglais ?
Le cinéma indépendant anglais est en crise aigüe. Entre une baisse des sources de financement et la pression des grands acteurs internationaux, le secteurs n'arrive plus à trouver la rentabilité. Et les travailleurs les plus fragiles (producteurs, techniciens, petits acteurs) peinent à trouver du travail.
Est-ce un phénomène spécifique à l'Angleterre ? C'est le sujet de cet épisode. -
A quoi servent (encore) les festivals de cinéma ?
Les festivals de cinéma s'enchaînent, comme tous les ans à pareille période. Pourtant, leur couverture médiatique semble se réduire d'année en année, tout comme l'engouement public.
Alors, qu'est-ce qu'un festival de cinéma aujourd'hui ? Quel est son modèle économique ? Qui attire-t-il, et qui cherche-t-il à attirer ? Est-ce que le festival est encore un outil aussi pertinent de nos jours ? -
La colère de l’outsider
C'est la petite polémique de l'année lors de la Cérémonie des Magritte du Cinéma Belge francophone: le grand favori des nominations, Augure, réalisé par Baloji repart sans aucune récompenses artistique.
Le journal Le Soir relaie alors les accusation d'entre-soi et mépris de classe de l'auteur ... et tout semble en rester là. Aucun commentaire, pas de vague.
Alors, est-ce seulement l'accès de colère d'un artiste déçu ? N'y a-t-il pas à aller voir plus loin d'où vient ce "ressenti" comme on lui a rétorqué ? En clair, Baloji ne pointe-t-il pas un mal qui semble ronger le cinéma belge francophone depuis un bon nombre d'années ?
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L’autocritique de la critique
Avec les révélations de Judith Godrèche, où elle dénonce le silence du milieu qui gravite autour du cinéma - critiques et organisateurs de festivals -, c'est maintenant une certaine vision du discours sur le cinéma qui est appelée à se justifier.Et les milieux de la critique cinématographique semblent répondre présents, après des articles en forme de mea-culpa de certains grands médias prescripteurs, entre autres.Est-ce que ce passé, où l'auteur (de cinéma, mais aussi de tout autre art) était sacralisé comme le porteur d'une "vision" qui justifiait de fermer les yeux sur toutes sortes d'abus, est vraiment passé ? Est-ce que la parité des rédactions, des comités d'organisation des festivals suffit pour changer le regard sur la création et celles et ceux qui la rendent possible ?
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