Cartel Podcast Colombe Charrier

Arnaud Andolina (tatoueur)
Louis Skorecki (critique cinéma, réalisateur, journaliste)
Yulia Neferedova (artiste russe)
François Hedin (associé, artiste et membre du onoffcrew)

Dans le podcast du jour nous parlerons de Takashi Murakami. Mais qui est ce ? Peut être que ce nom ne vous dit rien mais vous avez sans doute vu ses marguerites ou ses sculptures mangas.

De nombreuses questions nous viennent quand nous nous trouvons face à ses œuvres : d’où proviennent ces marguerites ? Ces champignons ? Qui sont ces personnages folkloriques? Son art incarne la culture pop japonaise. Il s’est approprié des images mangas, des symboles traditionnels japonais et des nouvelles influences contemporaines.

Pour comprendre son art il faut connaître ses différentes sources d’inspiration. Ses œuvres sont pétries de références, à la fois de l’iconographie bouddhiste, folklorique (des êtres surhumains provenant de légendes religieuses), des mangas et des maîtres anciens de la peinture.
 
Ce podcast va vous permettre de cerner l’art de cet artiste qui met en lumière la richesse de la culture actuelle japonaise.

Ce podcast est dédié à l'art qui serait un moyen de thérapie et de psychanalyse. L'art aurait permis à certains artistes de survivre et de canaliser leur rage ou leurs souffrances. De cette énergie inépuisable est née de magnifiques oeuvres d'art qui ont marqué l'histoire de l'art.

A l'occasion d'une conférence "Digit'art" à Paris qui mettait en lumière l'art digital, j'ai pu interviewer deux artistes conviés pour nous exposer leur métier en détail. Ces artistes s'approprient les derniers outils technologiques pour exprimer leur créativité. C'est un art accessible à tous mais qui se fait pourtant encore discret : l'aubaine d'échanger avec des acteurs de l’art post 2.0.
Bonne écoute !

Protagoniste du pop art des années 1950, né en Hongrie en 1906, il est le père, fondateur, de l'Op Art. L'Op Art, l’abréviation d’art optique, est une expression utilisée pour parler d’une tendance artistique à partir des années 1960, qui jouait avec la perception visuelle du spectateur et qui exploitait la faillibilité de l’œil à travers des illusions ou des jeux optiques. Regarder une toile de Vasarely est une expérience sensorielle. Où les effets optiques nous aspirent. Même si la surface est plate, nous croyons porter des lunettes 3D. Par l’illusion, on croirait avancer ou reculer. Elle crée une fausse perspective et simule des cubes et des sphères bombées. Les sollicitations visuelles placent le corps du spectateur en situation instable, plongé dans une sensation de vertige proche de certains états d’ivresse légère et parfois décupler par le caractère monumental parfois des environnements. Ce phénomène nous pouvons le rapprocher à l’art psychédélique.

Ce podcast est dédié à l'artiste symboliste Fernand Khnopff qui développe un art intellectuel, d'une infinie délicatesse, rempli de symboles spirituels et mystiques qui incitent à une profonde réflexion de la part du spectateur.